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Mar 12 Oct 2010, 08:09
Après le chariot à roulettes volant, le couloir du premier étage accueille désormais une chaise roulante enflammée.
La torche fabriquée par Antonio roule de moins en moins vite jusqu'à percuter le chariot. Stoppé à environ vingt mètres, le brasero illumine plus ou moins le couloir. Il est désormais possible de voir des silhouettes à une trentaine de mètres.
Si d'abord elles restent immobiles, tu perçois vite un mouvement de foule abstrait, sans doute généré par l'apport de lumière. Subséquemment, de nombreux gémissements étouffés se chevauchent. Des gémissements de... plaisir ?
Désormais à une quarantaine de mètres, aussi bien sur ton contrôleur qu'en distance réelle, cette dizaine de formes t'apparaissent de plus en plus clairement comme des répliques de ton premier adversaire... mais certaines ne semblent pas armées. Ou alors, possèdent un armement différent.
Etant donné l'étroitesse du couloir et le nombre de créatures en position, il te sera difficile de te frayer un chemin à travers le groupe. Difficile, mais pas impossible.
Civil
Jérôme Lantier
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Arrivé dans le couloir juste derrière Antonio, Jérôme l'interpella en français.
"J'ai compris de quoi tu parlais et sache qu'il y de la nitroglycérine dans les hôpitaux. On s'en sert comme vaso-dilatateur pour les personnes cardiaques."
Sur ces mots, Jérôme attendit la réaction de son compatriote.
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Mar 12 Oct 2010, 21:13
Alors que la chaise roulait en direction du centre du couloir, une voix familière interpella Antonio…
"J'ai compris de quoi tu parlais et sache qu'il y de la nitroglycérine dans les hôpitaux. On s'en sert comme vaso-dilatateur pour les personnes cardiaques."
C’était le guitariste qui faisait part d’une de ses idées à Rossa, et c’était une riche idée…
Il tourna la tête pour regarder le rockeur et lui répondre.
« T’es pas si inutile que ça au final. »
De la nitroglycérine… Une giclée bien placée pourrait faire des trous dans des parois bétonnées, ou réduire un martien en bouillie, voir plusieurs. Et si on en utilisait plus… Ca pourrait être bien pire… Pourquoi pas après tout…
La chaise avait maintenant parcourue une bonne distance, s’arrêtant à proximité du chariot qui avait été lancé auparavant. Ses flammes denses éclairaient à présent convenablement le couloir. Du moins suffisamment pour qu’un groupe d’une dizaine de martiens « nurse » soient visibles, un peu plus en avant.
« Jackpot ! »
Les créatures, attirés par la lumière qu’Antonio avait créée, s’étaient mise en mouvement. Le combattant vérifia alors leur nombre sur le contrôleur, rien n’était mentionné qu’il ne puisse voir de ses yeux. Ainsi une nouvelle escarmouche allait pouvoir commencer…
Trois pas en arrière, et Rossa, après avoir éteint et rangé sa lampe-torche, et placé son x-shotgun sous son bras aisselle gauche, attrapa cette fois un objet alors plus volumineux qu’au préalable.
Il s’agissait de la porte coupe-feu qu’il avait dégondé, pesant facilement 20 kilos voir plus ; large et dure, renforcée de métal, c’était un projectile de choix.
Pas de pistolet, fallait bien trouver de quoi improviser…
C’est alors qu’il s’élança à toute allure, la porte placée sur son épaule droite, à travers le couloir.
* Vous êtes un peu trop serrées mes salopes… On va un peu vous disperser !!! *
Arrivé à une dizaine de mètres du groupe d’ennemis, il banda ses muscles, concentrant ses afflux sanguins et augmentant la tension de tout son corps à son maximum. La combinaison avait beau être HS, le français avait de la ressource physique et savait l’exploiter.
Avec puissance, il propulsa alors sa cargaison. L’envoyant faire un vol-plané horizontal, comme s’il s’agissait d’un javelot, un javelot très large cependant…
« OOOORRRRRAAAAAA !!!!!!!!!!!!!! »
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Gantz.
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Mer 13 Oct 2010, 10:49
Après les lancers de bûches, les portes d'hôpital. Pourquoi pas, c'est une discipline comme une autre...
Quoiqu'il en soit, la lourde planche de bois utilisée comme javelot traverse le couloir, rasant les flammes au passage - très bel effet.
L'impact est brutal tout comme la réception mauvaise. Trois créatures sont percutées, les premières lignes. Celle du milieu, la moins bien placée pour le coup, est emportée par la violence du choc. Au sol, elle reste coincée sous la porte.
Les deux autres se relèvent et entament la marche, suivies de près par le reste du groupe. Ce sont toujours ces mêmes gémissements malsains de plaisir qui résonnent dans le couloir.
- - - -
CARNAGE
Activation du Carnage. À toi de lancer le dé. (c'est un dé à dix faces donc un seul lancé est requis) Le résultat indique le nombre de Martiens que tu tues dans un même assaut. L'action Carnage présente, qu'importe le nombre de victimes, ne soit se dérouler que dans un délai de 20 sec. Max. Pas de limitations de mouvements.
Dernière édition par Gantz le Mer 13 Oct 2010, 13:40, édité 2 fois
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Mer 13 Oct 2010, 11:33
Et la porte volait, volait, volait…
Jusqu’à ce quelle s’écrase contre le pack d’ennemis, formé par les martiens « nurse », les dispersant quelque peu. Dans la foulée elle avait renversé une des créatures, qu’elle bloquait dorénavant l’une des trois infirmières de tête sous son poids.
L’agression d’Antonio amena deux martiens à s’avancer avec plus d’entrain dans sa direction…
Le combattant laissa tomber son X-Shotgun par terre alors qu’il avançait tranquillement, d’un pas nonchalant, vers ses adversaires ; observant leur placement.
Il s’arrêta à quelques mètres d’eux, et fit craquer les métacarpiens de ses poings…
Le sang du jeune homme se mit à bouillir...
Et d’un seul coup s’élança, trois foulées, et un saut… « SU !!! »
Il décolla à plus d’1m50 du sol, comme un lion bondissant sur sa proie, son genou droit vint percuter ce qui aurait dut être l’emplacement de la bouche de la première infirmière zombie.
Ses mâchoires se brisèrent vers l’intérieur… Ses sinus s’enfoncèrent à leur tour… Ses vertèbres soumises à l’impact suivirent le mouvement est se disloquèrent…
Rossa atterri debout, jambes légèrement fléchies tandis que sa première victime tombait de tout son long derrière lui, le crâne et la nuque brisés.
La seconde ennemie la plus en avant vint essayer de frapper Antonio avec un scalpel…
On ne put vraiment discerner la chorégraphie exécutée par les bras du français tant se fut bref. Mais avec une économie certaine de mouvements l’attaque fut bloquée, le bras désarmé, et le scalpel planté à 3/4 de sa longueur dans la tempe de l’opposant.
« ORA !!! »
L’infirmière s’effondra sur ses genoux, le buste avachi, la tête pendant de 45° en avant…
Désormais face au martien coincé sous la porte, il franchit d’un pas rapide l’objet, marchant dessus, pour venir ensuite écraser fermement du talon gauche la trachée de l’ennemi à terre.
Augmentant la puissance de l’impact en pliant ses genoux à 90°, et allant jusqu’à contracter les muscles de sa mâchoire sous l’afflux de tension musculaire…
« SOREHHHAAA !!! »
Les trois prochaines victimes vinrent en même temps sur le français qui se jeta au contact. Esquivant un swing à la béquille en inclinant la tête, pour contre-attaquer avec un seiken tsuki à l’abdomen qui tua net le martien du centre, lui éclatant les organes internes et le projeta vers le l’arrière.
« SE-YA !!! »
Une grosse seringue de pour prises de sang fusa vers ses yeux, le bras fut dévié et alla planter son arme dans le coude du martien de droite qui avait tenté d’abattre son bras droit sur le combattant. Surprises, les deux créatures ne se virent pas attraper leurs deux têtes, qui vinrent se heurter dans un craquement lugubre.
Puis d’un coup de poing du dragon (frappe directe avec les deux poings) il dégagea à leur tour les deux derniers opposants qu’il venait de broyer. « HUUUU-YAAAA !!!!! »
…
Il restait encore quatre nurses.
La rencontre avait été brève, brutale, et facile. Elle n’avait en rien entamé l’endurance d’Antonio, habitué des combats contre des professionnels, qui a eux seuls étaient bien plus redoutables que la dizaine de créatures réunies.
Ces bestioles étaient faibles, comme de vulgaires humains.
Rossa fit, une nouvelle fois, craquer les métacarpiens de ses poings et s’avança en direction du reste des ennemis…
Dernière édition par Antonio Rossa le Jeu 14 Oct 2010, 11:13, édité 3 fois
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Gantz.
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Mer 13 Oct 2010, 11:33
Le membre 'Antonio Rossa' a effectué l'action suivante : Destin
'Carnage' : 6
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Jérôme Lantier
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Après cette remarque qui en aurait désobligée d'autres, la torche roulante mit en évidence les ennemis présent au bout du couloir. Attirées par la lumière, une dizaine de martien nurse se précipitaient vers eux, comme une souris hémiplégique sur une bout de gruyère.
Dans une parodie de démarche, saccadées, tordues, retentissantes de sons ignobles de craquements articulaires et de cris de jouissance. Un spectacle à vous glacer le sang, mais pas celui de Jérôme.
Une fois, il avait dû emmener une fille à l'hôpital à cause d'une soirée qui finissait mal. Camée, ivre et traumatisée; la fille ne cessait de gesticuler, vomir, pisser et se chier dessus. Elle se débâtait en poussant des gémissements stridents mêlant crainte, dégout et fureur; comme assaillit par des agresseurs invisibles qu'elle voulait fuir et détruire à la fois.
La trainer jusqu'à l'hôpital le plus proche avait pris une heure et avait couté à Jérôme son jean et son t-shirt, ainsi que de nombreuses griffures au torse et au visage. Il était plutôt content que gantz en ait fait disparaitre les cicatrices d'ailleurs.
« Jackpot ! » s'exclama Antonio avec une joie dans la voix qui frisait la démence.
Sur ceux, il empoigna la porte qui gisait au sol et la propulsa de toutes ses forces sur les aliens, en en touchant trois, dont une resta coincé dessous.
Il se jetât, alors, sur les autres comme un possédé. Leur assenant des coups aussi vifs que puissants, caractéristiques des arts martiaux asiatiques. Des coups qui se basait sur l'élasticité des muscles, la gestion corporel de l'énergie cinétique et la dureté des poings.
*Comme disait Bruce Lee dans la fureur du dragon, "Il faut projeter tout le poids du corps, la hanche projeter en avant".*
Et c'était vrai, Jérôme l'avait découvert seul pendant les très nombreuses rixes qu'il avait remporté, puis pratiqué en dojo pour enfin mettre un nom dessus et le faire correctement.
"C'est la base." Avait dit un de ses sensei. "Ensuite, tu frappe avec n'importe quelle partie du corps. Mais la puissance doit venir de la hanche."
Six nurses avaient succombées aux assauts d'Antonio. Il en restait 4. À Jérôme d'agir maintenant.
Les martiens restant, se trouvant quelques pas devant. Il décida, alors, d'utiliser son X-shotgun. Comme Sakyo l'avait expliqué, Jérôme maintînt la gâchette du haut et appuya sur la gâchette du bas quatre fois en visant les quatre nurses l'une après l'autre.
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Gantz.
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Ven 15 Oct 2010, 08:32
Le X-Shotgun semble marcher normalement. Tu ne vises pas trop mal, en plus. Tes cibles devraient bientôt être victimes de tes tirs... sans ces foutus dysfonctionnements. Rien ne se passe.
Sur le front, Antonio est confronté à ses derniers ennemis, tournant le dos à un brasier s'étouffant peu à peu. Les émanations de la combustion sont dérangeantes sans être problématiques. En revanche, une explosion de verre à l'étage supérieur te distrait.
Tu es soudain attaqué par les quatre infirmières en même temps. Les deux à ta gauche se ruent sur toi, menaçantes. Plus effacées, celles de droite semblent préparer quelque chose. Dans le feu de l'action, une Nurse est volontairement poussée contre toi. L'infirmière derrière la suit vivement. Assez proche, elle transperce sa semblable au niveau de son estomac, passant à travers son corps rigide grâce à sa main armée d'un scalpel. Dans son élan suicidaire et fourbe, elle tente de te planter à ton tour au niveau du ventre.
- - - -
DESTIN
Activation du destin. À toi de lancer le dé. (c'est un dé à douze faces donc un seul lancé est requis) Voici les conséquences en fonction de ton résultat.
1-4 : Prévisible et vaine tentative. Comme une vulgaire mouche à merde, tu repousses cet assaut et te venges. Je pense qu'il y en a une qui va prendre cher, mais cher. Enfin je dis ça comme ça, personne m'écoute jamais de toute façon... [Initiative totale : esquive, contre, bloque, riposte... [2 actions Max. dans la chrono de 10 sec Max.]] + Possibilité d'enchaîner les deux dernières (réussite critique) si désiré.
5-6 : Pouf.......... Elle vient de te planter ? Sérieusement ?! J'en pleure de rire tellement sa diversion était ridicule et ça... ça a marché ? Jour de gloire ! La blessure est profonde mais en aucun cas mortelle, grâce au PCP. On va dire que c'est ton orgueil qui en prend un sacré coup. [Initiative totale : esquive, contre, bloque, riposte... [2 actions Max. dans la chrono de 10 sec Max.]] (attention aux conséquences d'un sang appétissant versé en offrande à des créatures plus... dangereuses)
7-12 : Prévisible et vaine tentative. Comme une vulgaire mouche à merde, tu repousses cet assaut et te venges. Je pense qu'il y en a une qui va prendre cher, mais cher. Enfin je dis ça comme ça, personne m'écoute jamais de toute façon... [Initiative totale : esquive, contre, bloque, riposte... [2 actions Max. dans la chrono de 10 sec Max.]]
Dernière édition par Gantz le Sam 16 Oct 2010, 00:07, édité 3 fois
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Ven 15 Oct 2010, 13:38
Une puissante détonation retentit à l'étage supérieure, dont les vitres venaient de voler en éclat.
Il avait suffit de cela pour déconcentrer bêtement Rossa, qui avait prêté l'oreille, détournant momentanément le regard des ses adversaires. La drogue augmentant sa capacité physiques aux dépends de sa concentration intellectuelle, l’erreur avait été commise, donnant une ouverture aux créatures.
Aussi quand les infirmières foncèrent, le français n'eut pas le temps d'analyser clairement la nature de leurs mouvements. Une nurse fut vivement poussée dans sa direction, servant de diversion et de bouclier à une autre qui se définissait comme étant l'auteur de l'offensive. Armée d'un scalpel, l'agresseur traversa le ventre de sa congénère, la lame scintilla sous l’éclat du brasier alors qu’elle ressortait par l'avant de l'abdomen puis fonçait en direction du ventre du combattant.
L’inconscient de celui-ci pensa de manière réflexe.
* Merde ! *
* Comment ai-je fais pour être aussi…*
* STUPIDE ?!!! *
La main gauche d’Antonio vint saisir entre le majeur et l'annulaire l'arme, juste à temps pour amortir la collision, mais pas assez pour l'éviter.
Le scalpel s’enfonça de quelques centimètres entre les abdominaux, un peu au dessus du nombril. L’épaisse musculature du français avait aidé à faire rempart, protégeant ce qui se trouvait plus en profondeur, mais la blessure était quand même notable bien que de faible gravité.
Ainsi la blessure entraina la colère, car blessant l’orgueil. La colère entraina une surproduction d’adrénaline. La douleur potentielle, bien que couverte par l’anesthésiant, entraina la production d’endorphines. Les substances se mélangeant au sang et au PCP amplifièrent les effets de la drogue. Les pulsations cardiaques se firent plus rapides. La rage naquit dans l’esprit d’Antonio, faisant écho aux propriétés spécifiques du PCP.
Et en une seconde, l’homme entaillé, furieux, sembla trait pour trait adopter la rage animant les fauves blessés.
Il emprisonna l'arme entre ses doigts, les transformant en un étaux d'acier, pour immobiliser la lame et l'empêcher de faire plus de dégats. Et dans le même timing, la main droite de Rossa passa derrière la nuque de la nurse transpercée, agrippa par l’arrière son menton, et le tira violemment dans un mouvement circulaire.
« HAAAAAAAAAAAA !!!!!!! »
La violence de l’impulsion vrilla les vertèbres de la créature, la faisant tournoyer en raison de la puissance de la rotation, le tout s’accompagnant d’un craquement caractéristique de la méthode de combat du français.
CCCRRRAAACCC !!!
La manœuvre avait tué net la nurse déjà mourante, la projetant sous l'effet de sa force centrifuge sur le côté droit de l'homme, tout en désarmant le martien fourbe.
Le scalpel, qui était resté fiché dans les muscles abdominaux, fut retiré et jeté à la va vite sur le sol, et pour finir la contre-attaque se manifesta sous la forme d’un terrible coup de pied latéral frontal gauche à mi-hauteur, qui vint cueillir au creux du ventre la nurse qui avait été l'instigatrice de cette attaque.
Un tel coup de pied permettait, s'il était pratiqué par un pratiquant puissant et talentueux, de briser d'un seul coup 8 blocs de glace renforcée destinée à la casse (voir plus).
« ORAAAAA !!! »
L'agresseur agressé fut projeté en direction des deux autres martiennes...
Dernière édition par Antonio Rossa le Sam 16 Oct 2010, 15:41, édité 6 fois
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Ven 15 Oct 2010, 13:38
Le membre 'Antonio Rossa' a effectué l'action suivante : Destin
'Destin' : 6
Le bout de la lame s'est frayée un chemin de quelques centimètres entre tes abdominaux.
Le Martien Kamikaze, tout proche, gémit longuement, secoué de spasme mais pas encore mort. Tu peux riposter immédiatement.
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Sam 16 Oct 2010, 16:27
Complètement pliée en deux, l'infirmière est envoyée sur les deux dernières du groupe. Elle percute la première qui se cogne au mur, tandis que l'autre s'écarte de justesse. Au sol, la martienne brisée est secouée de spasmes, encore vivante mais plus pour longtemps, sa semblable bloquée sous son poids tente de se relever.
La seule encore debout titube et s'avance vers toi pour essayer de te porter un coup diagonal avec sa barre de métal.
[ Tu as l'avantage, tu peux donc frapper et tuer. ]
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Sam 16 Oct 2010, 18:38
La colonne brisée, la nurse volante termina son voyage sur une de ses deux autres congénères, lui faisant heurter le mur adjacent et l’emportant sous son poids. Les deux créatures étaient désormais immobilisées au sol.
La troisième avait évité le projectile, et elle fonça sur Antonio, armée de sa barre de fer pour essayer de lui assener une attaque en diagonale, brutale mais balourde. Un coup facilement esquivable, via une projection classique.
Rossa se précipita sous l’attaque, s’emparant du poignet d’une main et du décolleté de l’infirmière de l’autre, tout en pivotant à 180° ; la garce fut soulevée de terre, et dans un arc de cercle aérien, passa par-dessus le combattant, pour venir s’écraser le crâne et la nuque sur le sol, à la verticale.
VLAAAM !!!
Sous l’impact elle lâcha la barre métallique, qui tinta lors de son contact au sol. Le français la laissa là, s’effondrer sur elle-même, dans les filets de sang qui s’échappaient de sa fracture crânienne.
Il ramassa l’arme de métal et s’approcha tranquillement des nurses au sol…
« HUUUUUUSH !!! »
D’un coup de talon décisif il frappa à nouveau la créature cassée en deux, au même endroit que précédemment, pour l’achever, tandis que celle qui était en dessous était en train d’extraire son corps de la pression du cadavre.
Le combattant la toisa de haut, tel un prédateur se penchant sur sa proie, une lueur de violence primaire dans les yeux…
« Alors on veut s’échapper ? »
La barre décrivit une courbe, puis fendit les airs dans un puissant swing.
WHOOOOOSHHHH !!!!!
Les os du martien avait été cassés au niveau de la tempe, et la peau en partie arrachée par le métal usé, teintant de mur de gouttes de sang. Le nouveau cadavre s’écroula alors à son tour.
Un tintement de plus, l’arme fut abandonnée pour de bon au sol.
Antonio ramassa son X-Shotgun, sans prêter attention à sa blessure qui avait quelque peu perlée, sur la combinaison et le long de la jambe. La densité des muscles empêchait toute hémorragie importante, au maximum il ne laisserait que de rares gouttes derrière lui. La douleur, pour 4 heures de plus, ne serait même pas notable.
Il scruta alors les alentours, à la recherche d’un signe de mouvement…
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Jérôme Lantier
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Quatre éclair, une légère attente et puis... Rien.
*Putain de matos chinois de merde.*
Jérôme était sure de ses tirs. Il avait fait mouche les quatre fois, mais cette saloperie de vibromasseur futuriste ne faisait que de la lumière. Un jouet pour enfant. Gantz devait bien ce marrer, enfermer dans sa boule, à les voir galérer avec du matos sortie de cher Fisher price.
*Même les surplus de l'armée rouge seraient plus fiable.*
De rage, il saisi son X-gun et le jeta au sol, rangeant ensuite sont X-shotgun dans le holster libre.
*Antonio m'avait dit que le fusil était une valeur sure. Donc, soit il s'est foutu de moi, soit les défaillances font partie de la mission et on réessayera plus tard.*
Il ramassa le bout de canalisation qu'il avait laissé tomber pour mieux manipuler son fusil.
*Nous avons des martiens et une barre de fer. Aujourd'hui nous allons étudier comment ses deux éléments interagissent ensemble.*
Il regrettait un peu de ne pas avoir prit une gantz blade comme Antonio, mais il devait admettre qu'il n'avait rien d'un Musashi en blouson noir.
En parlant de son coéquipier, il venait de finir de hacher menu les dernières nurses du couloir.
*Dévore tout ce que tu pourras. Ta gerbe n'en sera que plus marrante.*
Jérôme n'avait jamais rencontré quelqu'un comme Antonio, ni vu ce qu'il était capable de faire. Il avait déjà participé à des bagarre de bistrot, écharpé des ennemis à coups de gentes de voiture, de buches, de chaines de vélo, de bocs de bière, de tabourets, de guitares. Il avait déjà plier des mecs dans le mauvais sens, leurs faisant chier leurs dents et pisser du sang.
Mais, jamais il n'aurait imaginé qu'il soit possible de faire tous ça en un seul coup par ennemis, d'en plier 6 en moins de 20 secondes, de les attaquer tous de front en les prenant de vitesse et sans se prendre une égratignure.
Antonio surpassait et transcendait tous ce que Jérôme savait de la baston. Ce n'était plus de la baston, mais de l'art.
Cette prise de conscience frappa Jérôme comme la police française sur un noir.
"Un art." ne put se retenir Jérôme et il était artiste lui même. Laura lui manqua alors terriblement. Il voulut jouer "Sympathy for the devil" des Roling Stones. Il s'approcha d'Antonio au moment où il ramassait son X-shotgun et remarqua une petite plaie au niveau de ses abdominaux. La blessure saignait à peine.
"Pas besoin de t'ouvrir en deux pour connaitre la couleur de tes tripes. Je regrette vraiment pas de t'avoir suivit. Tu peut courir aussi vite que tu veux, je serais là pour couvrir tes arrières désormais."
Dernière édition par Jérôme Lantier le Mar 19 Oct 2010, 10:28, édité 2 fois
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Dim 17 Oct 2010, 19:36
En s'attendant à un moment de répit, c'est une nouvelle mission qui t'appelle. Pas le temps de changer de slip quand on est un super héros de ta trempe.
Ton contrôleur affiche à environ 30 mètres de ta position, juste après la Pharmacie de l'étage, exactement neuf cibles clignotantes, toujours représentées par des points rouges. Cette fois, pas de coup fourré en vue, même si l'obscurité t'empêche encore de distinguer les cibles, tu entends clairement leurs hurlements désormais très reconnaissables.
C'est une aventure pour Frenchy Fighter !
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Dim 17 Oct 2010, 20:51
Alors que la pression du dernier redescendait, l’autre français s’était laissé aller à commenter les faits.
"Un art."
Encore sujet à la frénésie intérieure du combats, les oreilles bourdonnant de ses pulsations cardiaques, Rossa n’entendit pas ces paroles.
C’est quand le guitariste s’adressa directement à lui qu’il put distinguer son propos.
"Pas besoin de t'ouvrir en deux pour connaitre la couleur de tes tripes. Je regrette vraiment pas de t'avoir suivit. Tu peux courir aussi vite que tu veux, je serais là pour couvrir tes arrières désormais."
Ainsi ce français l’avait en estime, bien qu’il n’ait rien fait pour le mériter. Mais surtout, au milieu de cette boucherie, il avait été capable de distinguer la beauté.
Le combattant se tourna vers son interlocuteur, le regardant dans les yeux, son regard n’était plus vide et froid comme auparavant, il était brillant, brulant comme s’il avait été irradié par la chaleur du combat, teinté d’ironie et d’une certain forme de folie ; une forme de folie qui portait Antonio dans sa transcendance et dans sa danse macabre… Ou peut-être n’était-ce là qu’une conséquence de la rage induite par le PCP ?
Un rictus se dessina sur son visage. Il n’avait aucune affinité, ni sentiment vis-à-vis du musicien, mais d’une certaine façon, ils se comprenaient.
A ce moment de nouveaux points apparurent sur le contrôleur, neuf, à peine plus loin dans la noirceur du couloir. Puis des cris et gémissements se firent entendre, leur nature était déjà devenue familière aux deux hommes du couloir.
Antonio commença à dévêtir sans ménagement plusieurs infirmières, formant une boule avec leurs vêtements, qu’il éparpilla sur la chaise-torche dont la flamme commençait à faiblir ; pour lui donner des choses à brûler.
Et il lança au guitariste.
« J’en ai pas fini avec elles, quel est ton nom ? »
Puis à nouveau il poussa la chaise dans le couloir, pour décaler sa source de lumière plus en avant, tandis qu’il marchait en direction des ennemis.
L'affrontement allait pouvoir se poursuivre…
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Lun 18 Oct 2010, 13:46
Dès que tu rapproches ta torche improvisée, des gémissements étouffés de plaisir caractéristiques se multiplient. Tu discernes très vite les silhouettes d'autres Martiens Nurse, s'animant en sentant la source de lumière à proximité.
A votre droite, le grand renfoncement plongé dans l'obscurité caractérisant la Pharmacie de l'étage est synonyme de repère. Les neufs adversaires s'approchent.
[ Si tu te décides de te lancer dans le groupe, tu as le droit à un Carnage. Sinon, tu devras t'en prendre à tes ennemis un par un. ]
CARNAGE
Activation du Carnage. A Antonio de lancer le dé. (c'est un dé à dix faces donc un seul lancé est requis) Le résultat indique le nombre de Martiens qu'il tue dans un même assaut. L'action Carnage présente, qu'importe le nombre de victimes, ne doit se dérouler que dans un délai de 20 sec. Max. Pas de limitations de mouvements.
Nombre de messages : 498 Pseudo : access granted : TABOO (aka Antonio) Surnom : unauthorized access Âge du personnage : unauthorized access
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Lun 18 Oct 2010, 14:52
Une fois encore la torche permit d’identifier clairement le groupe d’ennemi, autorisant une approche frontale sans surprises.
Équipé d’un fusil inutilisable, Antonio jugea propice de s’en servir comme d’un boomerang qu’il jeta violemment vers l’adversaire le plus proche de lui, alors qu’il se précipitait au contact…
L’arme tourbillonna plusieurs fois sur elle-même avant de venir heurter la nurse de tête, la frappant violemment au visage, ce qui la fit chuter sur l’épaule, momentanément sonnée.
Et la bête fondit sur ses proies comme un rapace.
Prenant appui sur le mur gauche, il sauta en diagonale sur la seconde créature, profitant d’un assaut aérien pour envoyer un coup de paume « shotei » avec toute la puissance de son corps et de son poids.
« OHA !!! »
Il frappa ainsi avec la dureté de son poignet le haut du front de l’infirmière, la tête claqua sèchement en arrière, le poids du crâne couplé à la forme de l’articulation et à la puissance du coup, avaient brisés son cou vers l’arrière.
Morte sur le fait, l’humanoïde chuta sur le dos, laissant tomber un couteau à viande. Rossa qui s’était réceptionné en position accroupie s’empara de l’arme, lame vers le bas et fonça à la rencontre d’un autre martien qui s’apprêtait à sa jeter sur lui bras écartés, pour le saisir.
D’un balayage de la main droite, de gauche à droite, il trancha entièrement la gorge de l’idiote, dans une coupe horizontale ; mais une autre se précipitait déjà sur lui, pour le poignarder avec un gros éclat de verre…
Le genou gauche du français prit de la hauteur, fléchi, puis le tibia et le pied vinrent s’aligner avec la cuisse.
« SORAAAAA !!! »
La jambe s’abattit sur la décédé en puissance, dans un fulgurant high-kick circulaire descendant, lui fracassant la base de la nuque et sa clavicule droite, stoppant net l’assaut, et la détruisant sur le coup !
Trois martiens venaient de tomber dans l’abîme, une quatrième les rejoignit…
Dans une vive rotation suivant le mouvement de son coup de pied, le combattant fit passer le couteau dans sa main gauche, se retourna et le planta à la base gauche du plexus de la dernière nurse à avoir tenté de l’attaquer par surprise, comme s’il s’agissait du prolongement naturel de son bras.
Laissant le couteau fiché dans le corps de la créature, il se redressa, tandis qu’elle s’effondrait à plat ventre.
L’infirmière qui s’était prise le fusil en pleine tête se releva face au français, toujours dans un état second ; l’arrière de sa nuque fut saisi à deux mains, et le genoux droit de l’homme s’écrasa contre son maigre torse, broyant côtes et organes internes, tout en l’expulsant aux pieds des martiens restant…
« SHUUUUA !!! »
Le massacre perpétré par « UNCHAINED » Rossa pouvait continuer longtemps ainsi, ou bien le guitariste allait-il à son tour rentrer en scène dans la mêlée ?
Dernière édition par Antonio Rossa le Mar 19 Oct 2010, 16:56, édité 3 fois
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Gantz.
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Lun 18 Oct 2010, 14:52
Le membre 'Antonio Rossa' a effectué l'action suivante : Destin
'Carnage' : 5
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Gantz.
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Mar 19 Oct 2010, 06:51
Profitant que le premier combattant soit occupé avec plusieurs de leurs semblables, quelques Martiens Nurse parvinrent à contourner discrètement le français.
Au nombre de deux, bien trop préoccupées par la chaleur vivante prodiguée par le basero improvisé pour l'attaquer par derrière, elles trouvèrent comme second obstacle et potentiel adversaire le guitariste, jusque là resté inutile. Peut-être l'occasion pour le dénommé Gratte-Gratte de s'approprier un surnom un peu moins ridicule. L'une brandissant un scalpel à la verticale, l'autre une seringue, te voilà confronté à ton premier combat dans la chambre, contraint de t'arrêter au niveau du comptoir de la Pharmacie sans pouvoir accéder pour t'y réfugier à cause de ces ennemis.
De retour sur Antonio, il ne reste que deux adversaires à se mettre sous la dent. A la base plus éloignées du groupe, elles rattrapent promptement leur retard en poussant la sérénade habituelle, c'est-à-dire un hurlement morbide étouffé par cette espèce d'étrange boule de chair modelée qui enrobe leur crâne. Brandissant mutuellement une paire de ciseaux chirurgicaux, elles t'attaquent dès qu'elles atteignent le corps à corps.
[ Réussite critique pour Antonio. Jérôme n'est pas soumis au jet de destin pour le moment, sa prochaine réaction sera en revanche décisive. ]
Civil
Jérôme Lantier
Nombre de messages : 107 Pseudo : Petit scarabée Surnom : Gratte gratte Âge du personnage : 28 ans
Antonio se retourna vers Jérôme en l’entendant lui parler. Son regard ressemblait celui d’un fauve…camé, presque déformé par sa soif de combat. Mais cette agressivité n’était pas dirigé vers Jérôme, il le sentait.
Un sourire se dessina sur le visage du jeune français. Moquerie ou satisfaction, Jérôme n’eu pas le temps de le définir, car il entendit les gémissements caractéristique de nouveaux ennemis approchant. Son coéquipier dévêtit, alors, quelques nurses pour produire du combustible et dit, avant de projeter de nouveau le phare à roulette plus avant dans le couloir :
« J’en ai pas fini avec elles, quel est ton nom ? »
"Jérôme." répondit-il sobrement
Sur ceux, Antonio se rua sur ses nouvelles victimes, leur jetant violemment son fusil au visage et en profita pour prendre l’initiative. Il repartie pour un second tour de tabassage en règles des infirmières sans visage.
*Réclame ton dû, petit frère. Régale toi au buffet du dragon et care lui la facture bien profond.*
Cinq nouvelles âmes extraterrestres retournèrent dans leur enfer à elles. Mais ce faisant, deux petites putes contournèrent Antonio pour voir ce qui ce passait derrière. Elles tombèrent sur le brasero allumé par Antonio et sur Jérôme qui se tenait juste derrière.
Elles se précipitèrent sur lui, armées d’ustensile de soins. Leurs attaques respectives étaient balourdes et poussives, mais pour mettre toutes les chances de son coté Jérôme décida d’attraper l’écran d’ordinateur du comptoir de la pharmacie et de l’envoyer à la tête de la nurse la plus proche.
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Gantz.
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Mar 19 Oct 2010, 17:36
L'écran percuta lourdement le crâne du Martien Nurse le plus proche, sans l'anéantir pour autant. Cambrée en arrière, l'infirmière vacilla tandis que l'autre la contourna pour atteindre le musicien.
Cependant, l'artiste doit se préoccuper d'autre chose. Au moment ou il balance l'objet imposant, son bras tendu le plus proche du comptoir est la cible d'un ennemi inconnu, semblant jaillir des profondeurs sinistres d'un nouvel enfer.
Une main qui n'est pas gantée, armée d'un scalpel plus gros et beaucoup plus aiguisé que celui des Martiens Nurse, il s'apprête à découper cette chair tendre qui est tienne.
- - - -
DESTIN
Activation du destin. À Jérôme de lancer le dé. (c'est un dé à douze faces donc un seul lancé est requis) Voici les conséquences en fonction de son résultat.
1-3 : Ce n'est pas une bagarre de rue, tu n'es pété comme un chameau... grâce à cette lucidité, tu perçois la silhouette qui s'est dressée derrière le comptoir de cette Pharmacie et qui tente de t'attaquer. C'était juste ! Tes poils de fesses risquent encore de rester hérissés un moment tiens. [Riposte possible. [10 sec Max.]]
4-8 : Tu n'as rien vu venir, c'est fort dommage pour ton bras. Antonio est pas très fraternel hein, il t'aurait filé un peu de sa came et tu n'aurais rien senti... ! Quel égoïste (on se demande encore tous pourquoi tu l'appelles "petit frère"). Même si t'es un sacré gaillard, la douleur provoquée par un scalpel tranchant écartelant la moitié de ton biceps avec une facilité déconcertante ne fait malheureusement pas partie des petits bobos de lendemain de baston. La plaie ouverte est très profonde, le muscle est tranché. Tu pisses le sang, partout, c'est dégueulasse... Encore un qui va foutre en l'air le parquet. [Possibilité de retraite. [1 action défensive Max. dans la chrono de 10 sec Max.]]
7-10 : Nom d'une polonaise en chaleur ! C'était moins une... Tu te décales assez tôt pour éviter le pire, bien que la pointe du scalpel parvienne à t'entailler légèrement le bras. Rien de bien méchant. Oh allez quoi, tu vas pas pleurer pour si peu ? Va, si tu tues ces vilaines choses, on te rendra ta choupinette à cordes... [Initiative : esquive et riposte ou fuite [2 actions défensives Max. dans la chrono de 10 sec Max.]]
11-12 : Eh ouais, eh ouais du con ! Tel est pris qui croyait prendre ! Ah, ça lui apprendrait à ce salopard de Martien de l'ombre. T'es pas d'accord avec moi mon Jéjé ? On aime pas trop ces gens là d'par chez nous, pas vrai ?! Maintenant que tu lui as choppé le bras, fais-en ce que t'en veux ! [2 actions Max. dans la chrono de 10 sec Max.]]
[ Pas de réussite critique pour ce tour. A cause de l'obscurité, tu ne peux pas distinguer clairement la créature, ce pourquoi un descriptif sera fait au prochain post MJ. ]
Civil
Jérôme Lantier
Nombre de messages : 107 Pseudo : Petit scarabée Surnom : Gratte gratte Âge du personnage : 28 ans
La première chose que l'on apprend par soit même quand on décide de vivre en envoyant régulièrement des gens chez le dentiste, c'est que l'on est pas superman. N'importe quel combattant ressentira fatigue, douleur, peur, stress; bref, l'usure du combat. Le but étant d'user(voir usiner) celui d'en face le plus vite possible.
Donc, affronter deux adversaires peut nécessiter deux fois les ressources d'un seul, voir plus. C'est pourquoi il est primordiale de réduire le nombre d'ennemis par combat; deux combats contre un adversaire étant largement moins fatiguant qu'un contre deux.
Suivant ce précepte, Jérôme avait mit efficacement au tapis une nurse pour l'affronter plus tard, avec un écran d'ordinateur.
*Nous allons aujourd'hui tenter la première greffe cybernétique sur infirmière extraterrestre.*
L'écran vola et ralentit le martien nurse comme voulut. Mais, au moment où il tendit le bras, un scalpel de classe Tex avery, jaillit du comptoir de la pharmacie(avec un bras au bout). Il s'écrasa maladroitement à 5 cm du bras de Jérôme.
Même manquée, l'intention n'en était pas moins claire. Sans plus attendre Jérôme empoigna le bras avec sa main gauche et tira dessus avec force pour le faire dépasser du comptoir. Quand l'aisselle de son mystérieuse adversaire eu heurter l'autre cotés du comptoir, Jérôme propulsa un puissant coup de genou dans le coude du monstre, dans le but de le retourner et de le désarmer.
Dernière édition par Jérôme Lantier le Jeu 21 Oct 2010, 13:40, édité 5 fois
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Gantz.
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Mer 20 Oct 2010, 04:53
Le membre 'Jérôme Lantier' a effectué l'action suivante : Destin
'Destin' : 12
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Mer 20 Oct 2010, 08:55
Le coup de genou frappa le bras de la créature qui poussa un grognement de douleur mais n'en lâcha pas son précieux scalpel pour autant. L'ayant suffisamment attiré à la lumière bleue du couloir, tu découvres un nouveau genre de monstre.
C'est un humanoïde qui vient de t'attaquer, de sexe masculin à n'en pas douter. Revêtant une blouse tâchée de sang et de crasse, la première chose que l'on remarque est cette excroissance tuméfiée formée sur son épaule gauche. Bossu à cause de cette malformation nauséabonde à l'apparence tout aussi repoussante, son visage est perpétuellement caché dans l'ombre. A contrario des Martiens Nurse, celui-ci ne semble pas avoir été "retouché" au visage, pourtant sa peau paraît aussi morte que celle de ses semblables, à l'exception qu'elle n'est pas grise mais couleur bronze, se confondant étrangement avec les teintes de son habit.
Tu l'as saisi de sorte à ne pas le laisser s'échapper mais le bougre est doté d'une force surprenante. S'agrippant de sa main libre au comptoir, il se pousse vers l'arrière, tentant de te faire lâcher prise.
Pendant ce temps, l'infirmière toujours debout s'est dangereusement rapprochée de toi.
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DESTIN
Activation du destin. À toi de lancer le dé. (c'est un dé à douze faces donc un seul lancé est requis) Voici les conséquences en fonction de ton résultat.
3,8,9,12 : Ah ben chiotte, suffit que j'aille chercher du pop-corn et tout fous le camp ! On peut vraiment compter sur personne ici, sainte cornemuse ! La force de l'ennemi te surpasse, il te tire si fort que tu lâches prise et t'allonges (ouh, sexy) sur le comptoir comme si c'était un brancard. Allez mon p'tit Jéjé, on s'prépare pour un bon gros toucher rectal des familles ! Tandis que tu es affalé sur le ventre, ton adversaire lève son bras armé, prêt à te planter verticalement avec son scalpel. [Pas de fuite possible, initiative pour se protéger. [1 action Max. dans la chrono de 10 sec Max.]]
2,4,5,6,11 : Un coup à drooooite ! Un coup à gauuuuche ! Tireeeez ! Quoi ? Non, je ne fais accoucher personne, c'est juste c'te brank de Français qui arrive pas à se départager avec son rival. La dernière dispute remonte à la cafétéria, quand ils se sont engueulés pour avoir le dernier croissant et... De quoi ? Ah euh oui, qu'est-ce qui se passe... Ben comme vous le voyez, ils se tortillent l'un et l'autre dans l'espoir de gagner la lutte, et Jérôme ferait bien de bouger son p'tit cul de blanc vite fait s'il veut pas que la groupie du Doc' ne lui goupille le derch. [Possibilité d'essayer d'attaquer le Martien Nurse, ou de fuir. [1 action Max. dans la chrono de 10 sec Max.]]
1,7,10 : Quelle force ! Je devrais me mettre à la guitare, je ne savais pas que ça musclait autant. Ca doit être le mouvement de gratter des cordes sans arrêt... pourtant, je fais le même mouvement mais pour autre chose, et au moins avec autant d'expertise ! Hum... Maintenant que tu as maîtrisé le Martien en l'allongeant sur le comptoir, que comptes-tu faire ? [Initiative totale dont possibilité d'attaquer le Martien Nurse + Ennemi principal. [2 actions Max. dans la chrono de 10 sec Max.]]
Civil
Jérôme Lantier
Nombre de messages : 107 Pseudo : Petit scarabée Surnom : Gratte gratte Âge du personnage : 28 ans
Si Jérôme avait mieux campé ses appuis, il aurait pu parvenir à ses fins. Mais là, il ne pouvait que maintenir un statu quo inutile et dangereux. De plus, Jérôme pris conscience de son autre assaillant qui s'approchait et l'attaquait.
*Toi si t'essaie de me la faire à l'envers, tu va bientôt pouvoir mater ton cul en gros plan.*
Il lâcha aussitôt la main du "martien Doctor" et fit un bond vers l'arrière s'éloignant d'un bon mètre du comptoir. Il fit volte face en reculant son pied gauche, se mouvement fit pivoter naturellement son bassin et ses épaules vers la gauche. Se faisant, il empoigna sa barre de fer à deux mains, raffermissant sa prise, et la brandit au dessus de son épaule droite.
Il fit, alors, un pas en avant pour se caler à bonne distance afin d'utiliser l'allonge de ses bras et de son arme. Dans un swing de base ball horizontal, Jérôme frappa de toute ses forces, visant le haut de la mâchoire du martien nurse, juste en dessous de l'oreille.
Dernière édition par Jérôme Lantier le Jeu 21 Oct 2010, 15:33, édité 3 fois