La vision de ces créatures difformes ne choqua pas Akane. Gardant son sang-froid, la militaire eut aussitôt la certitude que ces choses contenaient un terrible gaz toxique. L'irritation qui la saisit au nez et à la gorge confirma cette première impression, tandis que Takeshi lui demandait de ne pas tirer sur ces choses. Or, le premier geste de survie de d'Akane fut de s'immobiliser et d'appuyer sur la détente de son X-gun. Cependant, elle ne visa pas l'une des créatures mais la fenêtre qui se trouvait à mi-chemin entre les ennemis et Takeshi, ce dernier n'ayant alors plus que trois mètres d'avance sur Akane et Kuma. Dans le même mouvement, la militaire tira sur les fenêtres adjacentes, donc de chaque coté de sa première cible. La brèche ainsi occasionnée devrait amplement évacuer le gaz toxique. Pas de suite hélas, il fallait attendre dix secondes.

Ca pouvait être long, dix secondes ...

Pendant ces dix secondes, Takeshi passa à l'attaque, allongeant son sabre pour atteindre une des créatures, il provoqua accidentellement une explosion de gaz qui les submergea en quelques secondes. Instinctivement, Akane retint son souffle et fit volte-face pour échapper un maximum à l'attaque pernicieuse, puis les fenêtres exploseraient et évacueraient un maximum de cette saleté toxique.

Dans cette position, la militaire vit alors une infirmière qui venait de sortir sournoisement par une des portes du couloir et attaquait les jeunes gantzers. Akane s'apprêta à tirer sur la créature.

[Actions]

[Avant que Takeshi attaque la créature : tire sur trois fenêtres adjacentes]

[Après l'attaque de Takeshi : se retourne et s'apprête à tirer sur l'infirmière qui est en train d'agresser Masatami]

A temps, Kuma se tourna de trois quart pour se protéger lui aussi du souffle corrosif.


Toute la peau de son crâne le brûle, comme ses yeux et ses poumons. Toussant bruyamment, il essaye vainement de dégager l'écran de fumée devant lui en brassant de l'air.
Il entend alors le cri de Masatami et les vitres exploser autour.

Dans ce chaos ambiant, il perçoit la silhouette d'une cible. Encore une infirmière.
Dans l'urgence, le géant s'élance en gueulant sans réfléchir plus longtemps, recherchant à évacuer sa douleur ainsi.

Avec son épaule, il percute le Martien Nurse et l'emporte dans sa course jusqu'au mur d'en face, l'écrasant de tout son poids contre cette surface. Dans un râle, la créature broyée décède. Le temps que la fumée se dissipe, Kuma se laisse tomber sur le côté, peinant à respirer et à ouvrir les yeux.
Il vient d'utiliser ses dernières ressources.

Agenouillé, Takeshi vit plusieurs vitres exploser.
Cette ouverture permettrait au gaz de s'échapper, ils devaient durant ce temps essayer de respirer le moins possible cette fumée nocive pour espérer s'en sortir.

Kuma de son côté puisa dans ses dernières forces pour sauver le jeune garçon craintif d'un sort lugubre, après quoi il s'affala épuisé. En parallèle avec sa fatigue inexpliquée, Takeshi en conclut que ce gaz noir, en plus d'être extrêmement gênant, était sans doute un sorte d'anesthésiant.

Se tournant vers Akane, il se retint de parler mais une fois de plus, il complimenta sa réactivité et son efficacité d'un signe de tête.

Maintenant que la visibilité commençait à être sensiblement meilleure, Takeshi se tourna - toujours à genoux - vers les créatures qui avaient survécu. Il se déplora de ne pas avoir pu les décapiter elles aussi, tandis qu'il les regardaient avancer de plus en plus près.
Le nez et la bouche couverts par sa main gauche, le "vétéran" plissait ses yeux au maximum en essayant régulièrement ses larmes de sorte à garder un semblant de vision. Son esprit en revanche était embrumé.

L'air était encore trop infecté de gaz toxique qui semblait dévorer les poumons et faisait piquer les yeux. Kuma devança Akane en aplatissant littéralement le martien nurse. La jeune femme réunit ses dernières forces pour verrouiller les quatre martiens nurses et leur tirer dessus. Sans ciller, sans tousser, l'esprit plus fort que la matière pendant au moins quelques secondes.

[Action : verrouille les quatre martiens nurse ; leur tire dessus dès ce tour si c'est possible, ou au tour suivant.]

Grâce à Akane, l'ennemi fut neutralisé.
Toujours grâce à elle, les ouvertures d'air permettaient au gaz toxique et soporifique de se vider progressivement à l'extérieur...
Décidément, elle était une alliée de poids. Heureux de l'avoir comme soutien, il la félicita sincèrement.

" Bien joué, Akane-san. Vous nous avez tiré de l'embarras avec brio ! "

Il tenta un sourire fébrile, se sentant néanmoins coupable.
S'il avait fait d'avantage attention, ils n'auraient pas été exposés à pareils dangers.
Toujours assis, Takeshi se tourna en direction du géant et des deux garçons pour leur présenter ses excuses, bien qu'elles s'adressaient également à sa coéquipière.

" Je suis vraiment désolé, tout le monde... J'ai manqué de vigilance. Personne n'est blessé ? "

Akane récupérait des effets du gaz. Elle se sentit rougir lorsque Takeshi la complimenta sur ses actions. L'avantage avec sa peau noire, c'est qu'on ne pouvait pas voir sa rougeur aux joues. Elle sourit amicalement à son mâle et répondit :

"Merci Takeshi-san. Pour ma part, je récupère. Ne vous en faites pas, nul n'est infaillible. Kuma et vous avez également bien combattu en massacrant à vous deux une quinzaine de ces créatures. On fait un bon travail d'équipe. A présent, il nous faut chercher des masques à gaz, c'est impératif."

Ce disant, tout en demeurant vigilante, la jeune femme parcourut du regard les pancartes désignant certaines portes du couloir, cherchant la salle dédiée à la sécurité. En principe, il y en avait une à chaque étage d'un hôpital de cette envergure. Si c'était le cas, ils devraient y trouver plusieurs masques à gaz, et peut-être aussi de quoi les éclairer, par exemple.

En guise de réponse, Kuma acquiesça, tenant d'une main son épaule endolorie.

Plus proche du groupe, Masatami est encore traumatisé.
Bien que sauvé par celui qu'il semble aduler, il ne peut rester indifférent au carnage indicible qui l'entoure. Il est trop faible pour le supporter. Comment survivre dans cet enfer, sans compter sur les autres ?

Bien loin des considérations sordides, Sakurai lui relève soudain la tête, dévoilant une face couverte de sang qui n'est pas le sien. Le visage un peu aplati et l'air ahuri, il semble - comme d'habitude - s'être réveillé à la seconde. Toujours allongé par terre, il s'interroge.

" Hum... Déjà le matin ? "

Non Sakurai, tu n'es pas dans ton lit.

Immédiatement interpellé par le tremblement, le sabreur se tourna vers la source inconnue et invisible de cette perturbation sonore et environnementale. Elle se répéta.

Le regard figé au bout du couloir, à peine visible à cette distance, il serra le manche de son arme en fronçant ses sourcils, visiblement inquiet. Quel genre de créature pouvait venir à leur rencontre ?
Appréhendant sans mal la situation, Takeshi songea un instant à quitter les lieux. Ce n'était pas une recommandation de la peur, mais bien de la raison.
Sans remettre en question les compétences de sa coéquipière et du reste du groupe, il s'estimait suffisamment handicapé après les récents événements pour pressentir l'arrivée de cette nouvelle créature comme menaçante et potentiellement mortelle.

En dépit de toutes ces considérations, l'épéiste n'avait pas bougé.
A tout moment, il s'attendait à voir débarquer leur ennemi et pourtant, il était incapable de se décider, car il n'était pas résolu à fuir. Son désir ne devait toutefois pas compromettre la sécurité du reste du groupe, aussi il s'exprima clairement à leur égard.

" Vous devriez partir... "

A priori, seuls les hôpitaux militaires comportaient à chaque étage un petit local abritant de quoi se protéger contre les menaces toxiques. Là, il n'y avait que des chambres, et peut-être le local des infirmières tout au bout du couloir ... de là bas, Akane perçut elle aussi des bruits de pas lourds. A peine remis de leur dernier combat, les gantzers allaient devoir se battre contre une créature certainement très massive.

" Vous devriez partir... "

Ca, c'était tout Takeshi. Bien sur ... il n'était pas question qu'elle le laisse là. Akane se campa solidement sur ses jambes et pointa son X-gun dans la direction du monstre, lequel n'allait pas tarder à apparaître dans leur champ de vision. Il n'y avait pas le moindre tremblement dans les gestes de la militaire, pas de doute dans sa voix.

"On reste et on se bat. Vous n'êtes pas des héros, vous n'êtes pas des soldats, faites simplement de votre mieux. Prenez tous votre X-gun et mettez vous en position de tir sur une seule ligne. A la rigueur, Truc et Machin peuvent s'accroupir devant nous."

Truc et Machin, c'était mieux que rien pour désigner Masatami et Sakurai qui n'avaient jamais divulgué leur identité à qui que ce soit. La jeune femme marqua une petite pause avant de conclure :

"On va tous tirer sur le monstre qui arrive, encore et encore. Si ça ne l'affecte pas, on explosera le sol sous ses pas. Ca le fera tomber à l'étage du dessous."

Lorsqu'Akane lui répondit automatiquement, avec une assurance troublante, Takeshi ne put s'empêcher de la dévisager, un peu admiratif. Elle réagissait avec bravoure, il ne pouvait pas en dire autant de sa part.
Sans doute avait-il été trop souvent marqué par la mort prématurée de toutes les personnes à qui il avait commencé à s'allier pour ne plus être capable d'être aussi réactif.

Malgré tout, il décelait des failles importantes dans son plan.
Bien que manifestant une aura toujours calme, il se dépêcha de répliquer.

" Non. On ne peut faire sombrer tout un étage sans savoir qui peut se trouver en dessous. "

Il inspecta d'un bref coup d'oeil l'équipement d'Akane, puis celui des autres membres du groupe.

" Ils ne sont même pas armés, on ne peut pas courir ce risque. "

La fixant droit dans les yeux sans sourciller, il fallait qu'elle comprenne que laisser des civils habillés d'une combinaison surpuissante dont ils ne savaient pas bien se servir, face à un monstre inconnu et certainement plus dangereux que tous ceux qu'ils avaient croisés jusqu'à alors, était du suicide.
De toute évidence, il ne le permettrait pas.
Et d'une certaine manière, il tenait à elle. Au fond des yeux de l'épéiste, quelque chose implorait la jeune femme de se retirer comme il le demandait. Le guerrier ne voulait pas revivre le même enfer, pas encore une fois.

Masatami se dresse, écartant les bras en hurlant.

" Il... il a raison ! Il faut partir ! "

La terreur déforme son visage d'adolescent. Il est nauséeux.
Ses pupilles fébriles fixent à tour de rôle les deux combattants. Eux ne craignent rien, ils sont armés et combattifs, mais lui ne tient pas à mourir une seconde fois. Jamais il ne pourrait oublier la souffrance indicible de son premier décès... pour rien au monde il ne subirait un tel calvaire à nouveau..

Sakurai reste à terre, Kuma tente de se relever.
Entre ceux qui veulent fuir et ceux qui se taisent, comment savoir sur quel pied danser ?

Il va sans dire que le monstre qui s'approche, lui, connaît le tempo.
Les tremblements s'intensifient et se rapprochent à chaque instant.
Une tension palpable teinte l'atmosphère.

"Non. On ne peut faire sombrer tout un étage sans savoir qui peut se trouver en dessous."

Voila une remarque fort pertinente, digne de Takeshi.

"Hum, oui. Réflexe militaire ..."

L'armée ne faisait pas dans la dentelle, certes. Akane préféra ne pas penser au risque qu'elle aurait fait courir à d'éventuels gantzers se trouvant alors un étage plus bas. Toujours en position de tir, elle regarda son mâle, croisa son regard qui semblait lui implorer de partir. Ha, le guerrier solitaire ... la jeune femme lui rendit un regard déterminé, inflexible.

"Je reste à tes cotés, mets-toi ça dans ta gueule d'ange. C'est mon choix, ce ne sera pas ta faute si je meurs ici, mais je ne délierai pas mon sort du tien."

Puis à Masatami, Sakurai et Kuma :

"Vous trois, repliez-vous si vous le voulez."

Ceci dit, elle reporta son regard sur l'arrivée prochaine du monstre. Elle l'attendait de pied ferme, tel Gandalf défiant le Balrog dans les mines de la Moria, mais elle s'abstiendrait de crier vous ne passerez pas, ni même telle la Pasionaria, no pasaran.

Takeshi ne fut qu'à moitié surpris par la répartie et la familiarité de sa coéquipière. Sa réponse collait plus ou moins bien au tempérament fougueux et brave qu'il lui avait attribué depuis leur première rencontre.
L'épéiste réprima à peine un souffle qui s'apparentait à un rire alors qu'il secouait légèrement la tête, sans doute amusé par le comportement de la jeune femme, aussi ravissante qu'mpétueuse.

" Je vois. Je suis heureux que vous soyez à mes côtés alors, Akane-san. " répliqua-t-il après un moment.

Mais trêve de discours et compliments, la situation n'était pas adaptée pour ça.
Conservant sa position défensive, Takeshi préparait consciencieusement sa stratégie. Cette fois, il n'y aurait pas de gaz, il pourrait donc agir avec mesure et ne pas commettre une autre erreur... du moins, c'est ce qu'il espérait. La seule idée de se retrouver face à un Martien Cancer gigantesque prêt à exploser avec l'hôpital lui parut effroyable.

Qu'importe le degré danger, il espérait que le reste du groupe, même Kuma, prendrait en considération leurs dernières paroles et quitteraient le champ de bataille sans honte, c'était le mieux qu'ils pouvaient faire actuellement.

Truc, Machin et Bidule n'avaient pas encore réagi. Les deux jeunes gens suivraient surement Kuma, lequel ne s'était à priori pas encore relevé, alors que le monstre arrivait avec perte et fracas. C'était une silhouette énorme et colorée qui s'avançait inexorablement vers eux. La militaire se servit calmement du viseur de son X-gun pour tenter de comprendre la nature de cette chose. Comprendre, repérer les points faibles éventuels du monstre et l'exploser.

[Action : observe la créature avec le viseur du X-gun]

Takeshi de son côté n'avait que sa lame et ses yeux.
Sans se soucier désormais des autres, il fixait avec une détermination nouvelle la cible qui venait d'apparaître. Le guerrier était de retour, analysant minutieusement l'adversaire qu'il devait vaincre. Sa respiration était si calme et posée qu'elle passait inaperçue. Comme s'il venait de créer un lien invisible avec l'ennemi qu'il ne pouvait pas encore distinguer clairement, les ténèbres et le vide caractérisaient l'environnement du sabreur.

Son esprit s'était également adonné à un type d'exercice couramment pratiqué dans le quotidien de l'héritier Yamamoto. A l'instar de la sophrologie, sa concentration se figeait sur un seul et même point. En l'occurrence : le Martien. Dès le moment où ses pensées convergeaient toutes vers une source unique, son esprit devenait aussi affuté que le tranchant d'un Katana. Il était capable de voir, de sentir, pressentir même, tel un sixième sens.

Sans connaître les capacités du monstre pour autant, il envisageait avec un réalisme propre à l'univers de la Sphère Noire les caractéristiques majeures qui pouvaient définir l'opposant. Cette fois, il ne se référa pas au passé - le temps n'avait plus aucune valeur dans ces moments. Se basant sur sa "vision", il assimila cette démarche, l'associa à un poids considérable capable de terrasser les combinaisons en peut-être trois ou quatre coups portés avec une précision. Le décor était, jusqu'à preuve du contraire, un handicap majeur vu son gabarit, qui suggérait par ailleurs sa force et sa résistance au moins dix fois supérieure aux agresseurs déjà rencontrés. S'il possédait des pouvoirs spéciaux, ils ne les montreraient sans doute qu'en dernier recours, cette créature humanoïde semblait se baser sur le corps à corps, peut-être des projections, ce qui expliquerait sa musculature de plus en plus apparente, plus impressionnante même que celle du colosse.

S'il désirait l'affronter au sabre, il faudrait redoubler de vigilance et éviter le corps à corps au maximum
Takeshi avait échafaudé son jugement sur ces observations logiques, qui n'étaient pour la plupart que suppositions. S'attendant malgré tout à un opposant entièrement différent de ce qu'il avait imaginé, il ne relâcha pas la pression et ne se reposa pas sur ses lauriers, prêt à découvrir la surprise.

Bien calmé par la répartie militaire, Masatami ne peut que se tourner vers son guide, le géant affalé.
Espérant de tout coeur qu'il agira de façon sensée - c'est-à-dire en fuyant au plus vite -, il le dévisage.

Kuma, tenant toujours son épaule, s'aide du mur pour se relever. Retrouvant lentement ses capacités motrices et sensorielles, il fixe comme le reste du groupe le bout du couloir occupé par la venue d'un adversaire massif qui fait trembler l'hôpital. Appréhendant avec une certaine crainte le monstre en question, ses paupières s'écarquillent lorsqu'il découvre la créature.

Les seuls mots qui sortirent de sa bouche furent les suivants : " Est-ce... que... c'est une blague... ? "

Le colosse chauve n'a pas l'air dépité ou amusé, une vraie expression de surprise se lit dans ses yeux.

Kuma trouvait que le monstre était une blague. Pour sa part immunisée à cet humour, Akane voyait juste une cible à abattre. Son viseur n'ayant pas analysé cette chose moche, la militaire ne dit rien et tira posément sur le martien encore et encore, jusqu'à ce qu'il explose ou qu'il arrive à une dizaine de mètres d'eux. Dans ce dernier cas, ce serait certainement à Takeshi d'entrer en action.

[Action : tire sur le martien moche]

Takeshi s'immobilisa.

Bien qu'il demeura muet quant à la réponse du colosse, il n'en était pas moins du même avis.
Un sourcil haussé, visiblement déconcerté, il découvrait leur adversaire qui l'avait mis dans un tel état de sérieux. Un peu troublé et honteux sur le coup, il ne se laissa pas d'avantage surprendre par l'apparence de l'ennemi, qui au delà d'être franchement ridicule devait au moins cacher une puissance considérable.

Akane se mit à tirer, imperturbable.
Comment ne pouvait-elle pas être affectée par ce qu'ils avaient devant eux ? Si c'était le cas, elle n'en montrait rien. Elle adoptait une attitude de combattante exemplaire, quoiqu'il en soit.

L'épéiste aurait voulu attaquer le monstre de front, mais les tirs répétés de sa coéquipière l'en empêchèrent.
Ce temps de pause lui permit d'analyser en profondeur le Martien étrange, sans se préoccuper des détails insignifiants liés à son physique déroutant. Il n'y avait pas de points faibles visibles...

Avant toute offensive, il attendit de voir les effets des déflagrations précédentes.