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Gantzer AAmeko Shimaoka | |
Jeu 24 Fév 2011, 01:17 |
| Nom : Shimaoka (島丘). Prénom : Ameko (雨子). Race : Humaine. Âge : 31ans (née le 8 décembre 1977). Groupe sanguin: B Nationalité : Japonaise. Origines : Japonaises. Classe sociale : Classe moyenne. Statut familial: Célibataire. Métier / Études : Professeur de cristallochimie à l'université de technologie de Tōkyō (Tōkyō Kōgyō Daigaku, abrégée Tōkōdai ou Tokyotech), travaille également au laboratoire de structure des matériaux de Tōkōdai. Famille : Un grand frère, Jun (淳), et une petite sœur, Natsumi (夏海). Ses deux parents sont toujours vivants, elle a également quelques oncles et tantes, et des cousins avec qui elle s'entend bien. Connaissances : D'anciens amis de fac, des collègues, des étudiants... Et une certaine Ayame. Ennemis : Pas à sa connaissance. Description Physique : C'est une silhouette assez banale que présente Ameko, et à vrai dire, il serait assez difficile de la désigner dans une rue passante: "ouais, alors, tu vois, c'est la fille là bas, elle est assez petite, enfin, pas tant que ça non plus, elle a les cheveux... euh, ben, noirs, pis, euh, elle est fine, mais pas maigre... roh, laisse tomber, va...". Une japonaise comme les autres en somme, un mètre soixante et un pour quarante-cinq kilogrammes. De plus près, si elle reste dans la norme, elle est déjà plus reconnaissable (heureusement, en même temps). Ses traits sont fins, son visage plus ou moins ovale, son nez pas trop applati pour une asiatique et ses yeux, bien que bridés, un peu plus clairs que l'habituel noir des yeux japonais, ce serait plus un gris anthracite. Ses cheveux sont, sans surprise, noirs et lisses, peut-être un peu moins raides que le commun des asiatiques mais rien de bien extraordinaire, et coupés en une sorte de carré court, avec quelques mèches revenant sur le visage. Elle se maquille toujours, mais pas de façon trop voyante, du khol et du mascara, parfois un peu d'ombre à paupières, mais ça reste assez discret. Malgré sa taille assez réduite elle est bien proportionnée et svelte, sa taille est assez marquée et même si ses formes ne sont pas du genre à faire fondre n'importe quel mâle (et il faut bien dire qu'elle s'en fiche totalement), elle n'a pas de problème avec son physique. Ameko essaye de rester assez sportive, si elle ne fait plus d'athlétisme comme à l'université elle court encore souvent et aime danser, elle est naturellement assez souple et aurait bien fait de la gym, mais elle n'en a pas eu l'occasion et ce n'est plus à son âge qu'on commence ce genre de sport. Elle s'habille généralement de manière sobre et assez classe, surtout au travail, pantalon noir ou jean foncé, chemise ou haut plus clair ou avec une touche de couleur, et parfois quelques colliers, c'est à peu près tout ce qu'elle met côté bijoux. Elle possède également quelques T shirts que son entourage nomme "T shirts d'otaku", ou "de nerd", selon le T shirt, certains, trop grands pour elle, lui servent de pyjama, d'autres sont à sa taille et elle les met sans problème en dehors du travail. Il y en a par exemple avec des champignons de mario ou des space invaders, des dragonball, des références scientifiques... Elle en a acheté certains il y a quelques années, et en a eu d'autres en cadeau avec des commandes. Elle en a aussi quelques uns de vieux groupes de rock comme X Japan ou Luna Sea, mais vu qu'ils datent des années 90 et ont été pas mal portés, ils ne sont plus trop sortables. Ah, et, évidemment, elle possède deux blouses : l'une immaculée qu'elle porte au labo, l'autre datant de l'université et couverte de mots de ses camarades et de dessins stupides, elle la garde précieusement. Description Psychologique : Ameko est une personne d'un naturel assez sociable, qui s'est facilement fait des amis dans ses différentes classes ou promos. Elle essaye généralement de mettre les gens à l'aise, même si elle ne l'est pas forcément, pour éviter de longs silences gênés. Cependant elle est assez lunatique, et il lui arrive donc d'être d'une humeur massacrante sans raison apparente, et dans ce cas bien entendu elle est beaucoup moins ouverte. Il est d'ailleurs intéressant de remarquer que quand ses déprimes ont une raison profonde, elle les cache bien plus facilement, prenant en général le rire comme moyen de défense. Intéressée par des sujets assez divers (sciences, arts, pop culture...), elle discute facilement, mais a généralement du mal à ne pas montrer quand un sujet ne l'intéresse pas (mais elle le travaille, ça ne le fait pas trop quand c'est à la femme du doyen de l'université qu'on parle...). Elle a aussi tendance à dévier sur un sujet connexe, ce qui lui joue parfois des tours en cours. Elle est également gentille, ce qui peut être aussi bien une qualité qu'un défaut, en effet, cela fait d'elle une personne attentionnée qui essayera dans la mesure du possible d'aider les autres et d'être à l'écoute, mais cela a également tendance à la rendre un peu trop indulgente. Nous parlons bien-sûr ici du plan relationnel, en effet au travail elle sait se faire respecter par ses élèves et ne sur-note pas les partiels! Pour ce qui est de se faire respecter d'ailleurs, si elle n'a pas de problème dans son travail de professeur, elle n'est pas une leader née, et a encore du mal à s'imposer dans le cadre de la recherche, son labo étant, en plus, presque uniquement peuplé d'hommes (dont une bonne partie passablement machos), et elle assez fraîchement arrivée. Elle sait par contre se faire entendre et parler devant un auditoire. Forcément, c'est un peu son métier... En bonne scientifique elle est observatrice et réfléchie et préfère analyser la situation plutôt que de foncer tête baissée. Après, ça, c'est dans la théorie et la vie courante, il est assez probable que dans une situation extrême elle ait beaucoup plus de mal à réfléchir posément. De plus, elle a tendance à se perdre dans ses pensées si elle analyse trop et il est assez amusant de la voir se mettre des claques mentales pour se recentrer. Elle est prudente, voire un peu peureuse, car elle se sait assez faible physiquement. Même si elle manque cruellement de concentration quand ce qu'elle fait ne l'intéresse pas ou qu'elle fatigue, elle a réussi ses études d'une part grâce à d'évidentes facilités d'apprentissage et une bonne mémoire (cela se manifeste aussi dans sa capacité à vous citer des dialogues entiers de livres ou de films qu'elle a aimés, ou à retenir facilement les informations sur les gens qu'elle rencontre) et aussi grâce à sa ténacité. En effet, elle n'est pas du genre à se laisser abattre par un échec, et sait se surpasser quand il le faut pour atteindre, sinon son but ultime (par exemple, elle n'est pas allée à Tōdai), au moins quelque chose de satisfaisant. Enfin, elle reste sous quelques aspects encore un peu enfantine, en particulier elle est toujours friande de manga et de jeux vidéos, et se rend parfois à Akiba pendant son temps libre (mais elle y va de moins en moins car elle n'aimerait pas trop y croiser un élève...). Signes Particuliers: -Ambidextre, elle utilise cependant surtout sa main droite pour écrire. -Pratiquement bilingue en anglais, avec un accent tout à fait correct, contrairement à la plupart des japonais. Qualités : Pragmatique, Intelligente, Attentionnée. Défauts : Craintive, Indulgente, Lunatique. Capacités : Apprentissage, Éloquence, Rapidité. Handicaps : Force, Corps à corps, Concentration. Histoire : - Avril 1993, Shimaoka Ameko, 15ans - Elle venait d'entrer au lycée, un peu anxieuse mais pleine d'excitation. Elle était intéressée par beaucoup de matières, mais surtout par les sciences, et l'art, aussi. Son grand frère était à Tōdai, ayant réussi le concours d'entrée du premier coup après avoir travaillé comme un damné pour le concours, et se destinait au commerce international, sa petite sœur quant à elle était encore au primaire, mais avait d'après ses professeurs des capacités considérables et passait divers tests de QI, dont les résultats confirmaient ces dires. Ameko, elle, si elle avait des facilités, comprenait et apprenait vite et facilement ce qui l'intéressait, allant même jusqu'à lire des articles scientifiques pour le plaisir à la bibliothèque, avait de sévères difficultés à se concentrer sur ce qui lui plaisait moins, ainsi ses notes étaient-elles très contrastées. Si elle voulait réussir, elle ne pouvait évidemment pas se le permettre, et suivrait donc des juku* et se bourrerait le crâne de tout ce qui n'y rentrait pas naturellement. Elle avait pu y échapper quand, au collège, elle parvenait encore à apprendre par cœur un cours qu'elle détestait et à avoir la moyenne, mais elle savait que ce temps allait bientôt être révolu, et commencerait bientôt un juku de sciences sociales. La torture. Elle qui, le soir, aimait lire des livres, des manga, jouer de la guitare, regarder la TV... Son père lui avait dit qu'elle entrait à présent dans la cour des grands et qu'elle devait se comporter comme telle, travailler sans relâche pour réussir, et abandonner ses lectures puériles. Elle aimait beaucoup son frère, mais depuis qu'il était entré à Tōdai, leurs parents avaient un peu trop tendance à tenir de grands discours sur la valeur du travail, et c'était vite lassant. Marchant sous les cerisiers en fleurs, Ameko ne pensait pourtant pas à ces mauvais côtés du lycée, elle ne voyait pour l'instant que les perspectives qui s'offraient à elle: sciences? Médecine? Arts? En quoi se spécialiserait-elle? Où serait-elle dans cinq, dix, vingt ans? Enthousiaste et on-ne-peut-plus motivée, elle se sentait capable de tout surmonter, et sans vendre son âme... Ni ses manga. Parce que la vie, parfois, est pleine de promesses. - Mars 1996, Shimaoka Ameko, 18ans - Raté, elle avait raté le concours d'entrée qu'elle avait préparé pendant des mois, travaillant d'arrache-pied et faisant d'innombrables sacrifices (à commencer par ses heures de sommeil et de détente). Elle n'aurait pas accès à l'université qu'elle voulait cette année, il allait falloir passer par une classe préparatoire. Ameko était assise par terre dans les toilettes, dos à la porte, et essayant de faire le moins de bruit possible en pleurant pour que personne ne la remarque. Tout ça parce que contrairement aux autres qui visaient Tōdai ou autre université nationale prestigieuse, elle n'avait ni un QI supérieur à la moyenne ni la capacité de se transformer en namek** pendant le temps des révisions. Le fait qu'elle pense à cette comparaison le montrait, d'ailleurs, la plupart des gens qui avaient eu Tōdai ignoraient probablement jusqu'à l'existence de Toriyama Akira... Parce que la vie, parfois, ne nous récompense pas immédiatement pour nos efforts. - Décembre 1998, Shimaoka Ameko, 21ans - Une main dans la sienne, un corps contre le sien, une respiration en rythme avec la sienne, une présence qui faisait autant de bien que de mal. Elle ne se comprenait plus, car ce bras qui la serrait, ces doigts qu'elle agrippait étaient plus fins et plus doux, ce buste contre lequel elle reposait, plus confortable, et ce corps endormi contre lequel elle était lovée, en cuillère, plus frêle et plus semblable au sien que ce qui était moralement acceptable. Fixant le mur devant elle, incapable de dormir, elle s'en voulait de trouver cela si bon. Elle s'appelait Ayame, elle avait un an de moins et partageait avec elle un amour pour les arts et la lecture, c'était d'ailleurs ce qui les avait fait se rencontrer. Elle étudiait la littérature dans une université publique, et avait assisté à la même conférence qu'Ameko à Tōdai. Aucune des deux jeunes filles n'était élève de l'université, contrairement à la plupart des autres personnes présentes. Ameko y était un peu seule car la plupart de ses amis n'avaient que faire de la littérature, et Ayame parce qu'elle venait d'une université de seconde zone, dont le campus était quelque peu éloigné de Tōkyō. Elles avaient ainsi commencé à discuter tout naturellement. A partir de là, elle ne pourrait dire précisément comment les choses s'étaient passées, à part que cela lui avait semblé étrangement naturel. Copines, amies, bonnes amies, elles se parlaient souvent, s'envoyaient des mails et se voyaient quand Ayame retournait chez ses parents à Tōkyō. Elles devenaient de plus en plus proches et Ameko avait toujours plus envie de la revoir la fois suivante, elle appréciait énormément sa compagnie et avait du mal à s'en passer longtemps, comme prise dans son champ gravitationnel. Elle en était venue à se poser des questions sur la nature de ses sentiments, mais les balayait généralement de son esprit, c'était encore le plus simple. A présent il n'y avait plus de question, du tout. Et elle n'était pas sûre d'en être soulagée. Elle n'aurait jamais pensé que cela se produise, mais en même temps elle l'avait senti et laissé venir, et elle n'arrivait pas à le regretter sincèrement. La respiration dans son cou se fit moins régulière et la main qu'elle tenait se resserra légèrement, Ayame se réveillait. Ameko se retourna, doucement, presque prudemment, pour lui faire face. Le regard encore embué de sommeil qu'elle croisa lui confirmait que tout ce qu'elle ressentait était réciproque, aussi bien l'attachement que l'appréhension. Auparavant elle ne s'était jamais posé la question, puisqu'elle ne s'avouait déjà pas ses propres sentiments, mais cela la rassurait, au fond. Elle allait ouvrir la bouche pour dire une banalité comme "j'ai du mal à dormir", mais ça lui semblait plus que stupide. Elle se contenta alors de lui sourire timidement, sourire qu'elle lui rendit, avant de regarder leurs mains entrelacées et de se mettre à triturer nerveusement les doigts de son "amie". Le silence était un peu pesant, mais aucune des deux n'osait le briser. Ameko finit par prendre une décision qu'elle considéra plus tard comme assez courageuse, elle se rapprocha d'Ayame et déposa un baiser sur ses lèvres, très léger et doux, bien plus timide qu'un peu plus tôt, maintenant qu'elles réalisaient toutes les deux ce que la situation impliquait. Les quelques secondes d'attente furent plus stressantes et semblèrent plus longues que les semaines d'attente des résultats de son concours d'entrée à l'université, mais Ayame finit par le lui rendre. Parce que la vie, parfois, est surprenante. - Juin 2006, Shimaoka Ameko, 28ans - Elle y était finalement parvenue, après son année de prépa et neuf ans dans une bonne université nationale, et avait à présent son hakushi*** en poche. Et ces années à l'université avaient été les meilleures et les plus enrichissantes, sur tous les plans. Elle y avait découvert sa vocation, elle voulait enseigner, et faire de la recherche. C'était un de ses professeurs qui lui avait donné cette envie, chimiste organicien extrêmement doué, il avait en plus de cela une éloquence et une "aura" qui faisaient de lui un professeur d'exception, il savait captiver ses élèves, expliquer de manière claire mais développée, et on voyait qu'il aimait ce qu'il faisait. Ameko lui vouait une grande admiration, et l'avait pris pour modèle. Elle s'était mise à travailler son élocution, seule devant sa glace, ce qui lui fut d'une grande utilité pour présenter des projets devant un jury. Elle s'était assez naturellement spécialisée dans la chimie, et après avoir hésité longtemps à choisir la chimie organique, avait finalement préféré rester objective et se diriger vers l'étude des solides, matière qui l'intéressait plus et qu'elle réussissait mieux, et travailler dans la branche des matériaux. C'était un milieu assez masculin et il lui était difficile de s'imposer, mais elle ne se ménageait pas et faisait ce qu'il fallait pour que ses qualités soient reconnues sans pour autant sembler vantarde. Elle fréquentait toujours Ayame, qui l'avait précédée dans cette voie et enseignait l'anglais dans un lycée de Tōkyō. Leur relation était toujours secrète, et chacune des deux devait s'inventer des petits amis pour faire bonne figure, en particulier la mère d'Ameko lui reprochait d'être trop carriériste et de ne pas penser assez à l'amour, au mariage, et à fonder une famille... C'était presque un jeu entre elles, et elles plaisantaient souvent de leurs compagnons imaginaires, car il est après tout plus facile d'en rire que de parler de la douleur qu'on ressent de savoir qu'on ne peut pas être acceptée comme on est. Son premier poste en tant qu'enseignante à l'université était dans une petite université du Kansai, il allait falloir faire ses preuves, car avoir les connaissances académiques nécessaires ne suffisaient pas pour transmettre ce savoir. Elle avait décidé de se surpasser et de tout faire pour revenir à Tōkyō. Parce que la vie, parfois, est exigeante. - Automne 2009, Shimaoka Ameko, 31ans - Cela faisait à présent un peu plus de sept mois qu'elle s'était installée à Tōkyō, elle avait été mutée à Tōkōdai à la rentrée dernière, à son grand bonheur. Elle revenait là où elle se sentait bien, près de sa famille, de ses amis, et surtout d'Ayame. Elles habitaient à présent dans le même quartier, et étaient aux yeux des autres les meilleures amies du monde. La mère d'Ameko la voyait d'ailleurs très bien comme témoin au mariage de sa fille, qu'elle espérait voir arriver prochainement, depuis le temps qu'elle attendait, et maintenant qu'elle avait le poste de ses rêves. Il allait peut-être un jour falloir leur dire, le dire à tout le monde, après tout les mentalités avaient changé, n'est-ce pas? Et certains de leurs amis communs (souvent gays, il faut bien le dire) avaient déjà joué le rôle de leurs petits amis devant leurs parents. C'était très drôle en général, d'ailleurs. Mais elles se laissaient encore du temps pour souffler, se retrouver, se sentir bien et ne pas se prendre la tête. Son travail à Tōkōdai se passait pour le moment assez bien, même si elle n'avait pas pu s'empêcher de beaucoup stresser les premières semaines. Elle avait en outre encore parfois du mal à rester fixée sur un sujet et à ne pas parler d'autre chose, de lié et qu'elle jugeait très intéressant, mais pas du tout au programme... Cependant elle semblait assez appréciée des étudiants et s'entendaient assez bien avec ses collègues (les plus jeunes en particulier). Bon, on lui avait demandé une bonne dizaine de fois depuis la rentrée si elle était la nouvelle assistante, mais ça commençait à passer... Songeant à sa vie qui allait changer, et heureuse de ce qu'elle avait réussi à devenir, non sans difficultés, Ameko relut une dernière fois un point important de son cours du lendemain, qu'elle devrait assurer de manière efficace et rapide car la dernière fois elle avait un peu trop dérivé sur un autre sujet et perdu du temps, puis alla se coucher... pour se réveiller sur le sol d'un appartement très étrange, entourée d'inconnus. Parce que la vie, parfois, est juste une sale pute. Cause du décès : Rupture d'anévrisme pendant son sommeil. * juku, ou gakushū juku (学習塾), cours du soir, en gros. **namek: race extra-terrestre dans Dragon Ball, qui n'a besoin que de boire de l'eau pour survivre et a entre autres des capacités de concentration hors du commun. (ex: Piccolo, Kamisama...) ***hakushi (博士): équivalent japonais du doctorat. Je précise que je n'ai pas réussi à trouver le cursus type pour devenir professeur à l'université au Japon, donc je me suis un peu calquée sur la France à partir des études supérieures, vu que tous mes profs ont une thèse et que dans le système anglophone les professeurs ont généralement un Ph.D... Ah et pour la chronologie je me suis servie de ce topic, s'il y a un problème je change ou enlève les dates.
Dernière édition par Ameko Shimaoka le Sam 26 Fév 2011, 15:58, édité 4 fois |
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Gantzer ASakyo Jinnai | |
Jeu 24 Fév 2011, 05:09 |
| Rebienvenue! Comme tu le sais, j'ai pu assister à la construction progressive de ta fiche et je n'ai vraiment pas grand chose à dire, sinon que j'adore l'histoire et notamment la romance lesbienne avec Ayame (La plupart des fois ou j'ai vu des homosexuels, hommes ou filles, mis en scène en RP, c'était de façon particulièrement crue). Juste un petit truc que je relève cependant: dans sa description psychologique, tu précises bien qu'elle sait analyser une situation avant de foncer dans le tas, que c'est une personne raisonnée en somme... Pourtant, en handicap, tu laisses un handicap de concentration, qui est aussi perceptible dans l'histoire (quand elle ne peut pas rester sur un sujet donné trop longtemps). J'imagine que du coup, tu devras corriger une de ces parties. Dans tous les cas, je te valide immédiatement et t'accorde ton statut de civil! J'ai très hâte de pouvoir RP avec toi |
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Gantzer AAmeko Shimaoka | |
Jeu 24 Fév 2011, 10:56 |
| oui, en fait, comme je t'ai dit j'ai eu beaucoup de mal à accoucher de la description psychologique alors ça ne m'étonne pas qu'il reste des incohérences (vue l'heure à laquelle j'ai fini en plus, c'est à dire l'heure à laquelle j'ai posté la fiche), donc je me repenche dessus tout à l'heure pour gommer ça. edit: Cela dit, ne pas foncer tête baissée est-il vraiment incohérent avec un certain manque de concentration? Je veux dire, par exemple elle arrive, se pose, analyse, réfléchit et... oh, un papillon! j'ai ajouté une phrase en ce sens, en plus cet aspect va me permettre des petits monologues (en pensée) assez sympa, j'espère que maintenant ça convient. De plus j'ai bien précisé que dans une situation extrême (genre alien gropabo qui s'avance vers elle), elle ne va probablement pas réfléchir aussi efficacement ^^" Merci pour la validation en tout cas, j'ai hâte de RP moi aussi. par contre, je vais pas avoir grand chose à mettre dans mon RP de mort.... |
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Gantzer AHanaki Kyou | |
Jeu 24 Fév 2011, 12:15 |
| J'aurais grand plaisir à lire ta fiche qui m'a l'air prometteuse. Pour l'instant, je fais confiance à Sakyo. (qui ne m'étonne plus, à préférer les passages coquins)
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Gantzer ASakyo Jinnai | |
Jeu 24 Fév 2011, 19:11 |
| En fait tu as tout à fait raison par rapport à cette histoire de concentration. Disons que ça sonnait différemment dans ma tête, mais vue la description que tu en fais là, ça me va absolument.
Tu es donc officiellement validée =) (Mais je compte sur toi, je suis à peu près certain que ton post de mort serait très bon ^^)
(Ginko, c'est faux! Ce passage n'est même pas "si" coquin!) |
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CivilShin Kokusei | |
Jeu 24 Fév 2011, 23:58 |
| Parlons sérieusement (ce que Sakyo n'arrive pas à faire ou kwa ? Je t'avais dis que la perte de tes cheveux diminuait ta qualité d'écriture ! ><) et criblons de det... commentaires ce charmant "petit" texte. Au passage, je remarque que tu n'as pas l'air d'avoir été mis au courant du surnom de Sakyo, par ici ? Acquis au cour d'un RP où il révéla (enfin) sa vraie nature... ^^' - Citation :
- Enfin, elle reste sous quelques aspects encore un peu gamine dans sa tête, en particulier elle est toujours friande de manga et de jeux vidéos, et se rend parfois à Akiba pendant son temps libre (mais elle y va de moins en moins car elle n'aimerait pas trop y croiser un élève...).
Style un peu trop "parlé", pas assez littéraire. Je te conseille de remplacer "gamine" par "enfantine" (et d'enlever "dans sa tête"). - Citation :
- Marchant sous les cerisiers en fleurs, Ameko ne pensait pourtant pas à ces mauvais côtés du lycée, elle ne voyait pour l'instant que les perspectives qui s'offraient à elle: sciences? Médecine? Arts? En quoi se spécialiserait-elle? Où serait-elle dans cinq, dix, vingt ans? Enthousiaste et on-ne-peut-plus motivée, elle se sentait capable de tout surmonter, et sans vendre son âme... Ni ses manga.
Ca me fait penser au début de High School of the dead. Parfait, ne change RIEN. XD - Citation :
- Raté, elle avait raté le concours d'entrée qu'elle avait préparé pendant des mois, travaillant d'arrache-pied et faisant d'innombrables sacrifices
Arf ! Sakyo a déjà commencée à l'endoctrinée pour en faire un hitobashira au grand Cthulhu... Tant pis, ne t'inquiète pas. Un poste dans la marine, ça te dis ? Moi et Himiko-chan, on te voit bien dans le " shinpū tokubetsu kōgeki tai*". C'est un poste de prestige tu sais. On te donne un avion, un sabre, une coupe de saké de la cave personnelle de l'Empereur, et la prime de risques est d'enfer. - Citation :
- Le fait qu'elle pense à cette comparaison le montrait, d'ailleurs, la plupart des gens qui avaient eu Tōdai ignoraient probablement jusqu'à l'existence de Toriyama Akira...
Pas sûr ça. Il y a quelque auteurs qui sont incontournables au Japon. Leur seule participation sur un projet fait un sacré coup de pub. Miyamoto Shigeru, Kojima Hideo et Toriyama Akira sont justement dans ce cas là. - Citation :
- comme je t'ai dit j'ai eu beaucoup de mal à accoucher
Dame da, kure ! Les femmes peuvent pas se féconder entre elles... ... C'est bon, je sors. Petite précision sur la scène de romance yuri. Oui, c'est la "Grosse Boule Rouge du Soleil Levant" qui parle, mais aussi l'homme d'expérience que je suis, puisqu'il y a au moins un membre de ma proche famille qui est ouvertement homosexuel. Enfin, deux, puisque ce sont des lesbiennes et qu'elles sont acceptées par le reste du clan en tant que couple. Au Japon, comme en Grèce Antique, l'homosexualité n'a jamais vraiment été taboue. Ce tabou sort tout droit du Christianisme et de la culture occidentale qui a été influencée par cette religion. Si en Europe on considère souvent des insinuations sur l'homosexualité comme une insulte ("lopette" est un terme très éloquent...) ce type de sexualité n'a originellement pas de connotation péjorative. Le seul problème, traditionnellement, c'est que l'homosexualité n'a rien à voir avec le mariage, qui lui, doit tendre à la procréation d'un enfant. Donc, l'homosexualité est tabou quand elle interfère avec les devoirs d'une personne, envers sa famille, son clan, ses supérieurs, l'harmonie sociale, etc. Je dis "originellement" car il y a désormais l'influence occidentale plus marquée qu'autrefois. Les bains séparés, par exemples, là où ils étaient mixtes autrefois. Maintenant, les bains mixtes sont surtout pour les couples. Ou encore, les manga de type "pantzu", ou culottes, où l'on retrouve typiquement un shonen médiocre embrouillé dans des situations pseudo-comiques avec une fille qui a peur que l'on voit sa culotte. Et qui réagit en conséquences ( ah ! Bénis soit Natsume Maya-sama qui nous évite toute ces scènes inutiles en snobant les pervers... atta ? Si elle snobe les pervers, c'est qu'elle m'aurait aussi snobée ?! Naaaan.... ahem.). Bref, là où je voulais en venir, c'est que ce passage est déterminant dans la psychologie de ton personnage. Si tu décide qu'elle aborde sa vie sexuelle avec malaise ; ou si tu décide qu'elle aborde sa liaison avec malaise. Ton texte est sur ce point très bien écrit, car très ambigu : on ne sait pas ce qui la gêne le plus, ces sentiments ou la nature de ceux-ci et l'effet qu'ils ont sur son image, publique et privée (ou plus exactement, sa "face" et son jardin intérieur, les japonais traditionnels n'ont pas de façade publique-privée différentielle). Enfin, avec la suite du texte, ça devient moins claire et il semble évident que tu penche sur le second choix, plus occidentalisé donc, mais je te préviens quand même. T'avance en terrain miné/dangereux/glissant, alors je met le panneau avec tête de mort. Tu sais, le truc que Dieu il fait jamais quoi. J'suis un chic type, hein ? - Citation :
- C'était un de ses professeurs qui lui avait donné cette envie, chimiste organicien extrêmement doué, il avait en plus de cela une éloquence et une "aura" qui faisaient de lui un professeur d'exception, il savait captiver ses élèves, expliquer de manière claire mais développée, et on voyait qu'il aimait ce qu'il faisait.
J'en ai eut un comme ça aussi. Un prof de collège, Histoire-Géographie. Un des meilleurs profs que j'ai eut. Sauf que un cours sur trois tournait au cours d'éducation sexuel ou de théâtre, et qu'il ne donnait presque jamais de TAF. Que le Dieu des Chrétiens le Bénisse. Ca me rajeunit pas tout ça... - Citation :
- C'était un milieu assez masculin et il lui était difficile de s'imposer, mais elle ne se ménageait pas et faisait ce qu'il fallait pour que ses qualités soient reconnues sans pour autant sembler vantarde.
Tu es peut être mieux renseignée que moi ? Je voudrais savoir s'il y a des "milieux féminins" dans le monde du travail. ^^' Mis à part les asso féministes, s'entend. Fût un temps où je pensais que la couture l'était peut être mais... Nan, en fait. XD *Plus connu sous le vilain nom de kamikaze, en occident. Oui, j'utilise la méthode des publicitaires et des contrats truqués, et alors ? twisted |
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Gantzer AAmeko Shimaoka | |
Ven 25 Fév 2011, 00:36 |
| on va tenter de répondre à tout et dans l'ordre...
Déjà, si, je sais que Sakyo est le tripote-ténèbres, mais j'ai même pas peur.
pour la phrase pas assez littéraire, j'avoue que ça marche pas bien avec le reste du texte, je vais la remanier, mais disons que c'est sorti comme ça...
J'ai pas lu high school of the dead, mais bon, si tu le dis. après je précise que j'écris toujours en me plaçant du point de vue du personnage, donc ben là elle a 15ans elle entre au lycée cékool et les oiseaux chantent. Pareil pour Toriyama, c'est ce qu'elle pense, parce qu'elle est un peu (beaucoup) en rogne et qu'elle voit tous ceux qui ont réussi comme des ermites qui ne sortent pas de chez eux pour bosser, c'est bien-sûr faux.
Après pour le yuri, j'avoue m'être placée d'un point de vue occidental, parce que ben... je suis occidentale, figure-toi, et que je ne savais pas trop comment c'était vu au Japon, mais j'ai plus ou moins supposé qu'à un poste supposé respectable c'était assez mal vu... j'avais moi-même un léger problème avec le fait qu'elles le gardent secret si longtemps, mais bon je m'étais dit que ça irait, je peux le retravailler s'il faut, changer la suite pour que ce soit plus ou moins accepté (mais sa pauvre mère désespérée qu'elle ne lui donne pas de petits-enfants). Cela-dit, est-ce vraiment totalement invraisemblable dans le Japon de 2009 qu'on n'ose pas révéler qu'on est lesbienne?
Et pour finir, en tous cas, il y a des milieux où il y a une vague parité, sans parler forcément de milieu féminin. L'ingénierie c'est pas encore trop ça (même si dans la chimie c'est quand même mieux que dans le génie civil ou autre, je crois savoir que la majorité des filles va plutôt en molécules qu'en matériaux (c'est d'ailleurs probablement ce que je vais faire mais bon bref))
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Gantzer ASakyo Jinnai | |
Ven 25 Fév 2011, 00:58 |
| Je m'insurge (encore une fois).
Déjà, Kugen, je te zutte encore une fois. Je n'ai pas besoin de chercher 3000 références pour considérer que cette fiche est très bonne et ne nécessite quasiment aucune correction. Alors non, avoir validé la fiche sans en "parler sérieusement", ce n'est pas quelque chose que j'ai "mal fait".
Ensuite, je considère que la relation lesbienne du personnage n'est pas à remanier. Si Feather a considéré que son personnage n'avait pas forcément envie de montrer son côté lesbien au monde entier, soit. Il ne faut pas oublier, et on en a parlé beaucoup de fois, que l'on essaie pas non plus de recréer la société nippone à l'identique. Qu'il s'agisse du monde de la mafia, de celui des homosexuels, du monde du travail en général, de la cohérence entre puissance des arts martiaux ou la culture des différents riz entre les îles, peu importe la situation que l'on a connu du Japon en 2009: si c'est crédible et cohérent, ça marche. Dans tous les cas, on ne cherche pas les origines du tabou sur l'homosexualité. C'est vrai, ne le nions pas, actuellement, l'homosexualité est un tabou dans certains pays et le Japon en fait partie.
En bref, à mes yeux, cette fiche ne nécessite aucune édition, car il n'y a aucune incohérence. A la limite pour le passage que tu trouves trop "parlé" et pas assez "littéraire", mais pour le coup, j'ai envie de dire qu'il faudrait gommer les références à dragon ball pour des références mythologiques. En bref, ce n'est pas dérangeant alors même cette correction, je ne l'encouragerais pas. |
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Gantzer AAmeko Shimaoka | |
Ven 25 Fév 2011, 01:02 |
| - Citation :
- En bref, à mes yeux, cette fiche ne nécessite aucune édition, car il n'y a aucune incohérence. A la limite pour le passage que tu trouves trop "parlé" et pas assez "littéraire", mais pour le coup, j'ai envie de dire qu'il faudrait gommer les références à dragon ball pour des références mythologiques. En bref, ce n'est pas dérangeant alors même cette correction, je ne l'encouragerais pas.
je dirais juste que Dragon Ball EST une mythologie, namého, et sur ce je vais me coucher. merci pour ton soutien en tout cas, mais si besoin est je peux me contenter de préciser qu'elle ne veut pas le dire parce que du coup hors de question de se marier, d'enfanter toussa toussa... je ne suis pas sûre que ce soit nécessaire, par contre (surtout que j'ai un Sakyo qui m'engueule par msn) (en tout cas j'annonce que mon second personnage (que j'espère quand même ne pas avoir à faire valider avant quelques missions, je l'aime bien Ameko), sera bien moins sujet à polémique (oui la fiche est déjà finie et tout, et sincèrement je défie Kugen de me trouver des incohérences sociologiques dans cette fiche, oui je sais c'est dangereux comme défi, mais je suis comme ça, moi)) |
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Maître du JeuxDaniel Fujita | |
Ven 25 Fév 2011, 10:29 |
| Bah, je me suis arrêté aux signes distinctif, pour la fiche, et au post de Kugen, pour les commentaires. Je materais la suite plus tard. Ce que je lis est encourageant. Je fais confiance à Sakyo et Ginko pour la validation. En cas de souci (mineur, j'espère) j'en parlerai ici. Concernant la validation, Sakyo, il faut aussi rajouter [Validé] au titre du topic, et le déplacer dans la section des personnages validés. (y a pas que l'accès au groupe civil) Je te laisse faire, par intérêt pédagogique. |
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Gantzer AHanaki Kyou | |
Ven 25 Fév 2011, 21:41 |
| Et puis Kugen, si tu veux être empiriste, j'ai une bonne dizaine d'exemples qui peuvent te contredire également sur plusieurs points. Les expériences personnelles ne valent pas grand chose ici, seuls les faits comptent et pas des points subjectifs. Au Japon, l'homosexualité est tabou, à partir du moment même ou elle est publiquement montrée ou simplement affirmée en tant que relation.
De même, cette présentation n'a nullement besoin d'édition à mes yeux.
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CivilHimiko-hime | |
Ven 25 Fév 2011, 22:26 |
| Je n'ai jamais, je le précise, contesté la validation de cette fiche. Et il n'y a pas non-plus polémique à mes yeux. En règle général, je déteste la bureaucratie, je la hais même. Mais il y a des cas où il faut être procédurier. C'en est un, en l’occurrence, et j'aime prendre le temps de décortiquer un texte agréable à lire. Je suis un stratège militaire à la base, après tout. - Citation :
- je dirais juste que Dragon Ball EST une mythologie, namého, et sur ce je vais me coucher.
Tout à fait. D'ailleurs, tu n'est pas un vrai fan, ni un vrai otaku, si tu n'as pas essayé au moins une fois de faire un kaméhaméha. Tu as essayé ? ^^ - Citation :
- Au Japon, l'homosexualité est tabou, à partir du moment même ou elle est publiquement montrée ou simplement affirmée en tant que relation.
Comme je le dis ci-dessous... Mais je me suis peut être mal exprimé. Faut dire que je suis tout le temps fatigué. Surtout quand j'écris tard le soir. ^^' - Citation :
- Donc, l'homosexualité est tabou quand elle interfère avec les devoirs d'une personne, envers sa famille, son clan, ses supérieurs, l'harmonie sociale, etc. (...) Bref, là où je voulais en venir, c'est que ce passage est déterminant dans la psychologie de ton personnage. Si tu décide qu'elle aborde sa vie sexuelle avec malaise ; ou si tu décide qu'elle aborde sa liaison avec malaise. Ton texte est sur ce point très bien écrit, car très ambigu : on ne sait pas ce qui la gêne le plus, ces sentiments ou la nature de ceux-ci et l'effet qu'ils ont sur son image, publique et privée (ou plus exactement, sa "face" et son jardin intérieur, les japonais traditionnels n'ont pas de façade publique-privée différentielle)
- Citation :
- J'ai pas lu high school of the dead, mais bon, si tu le dis.
Non, ce n'est pas tout à fait ce que je voulais dire. Disons - c'est un peu dur à expliciter - que l'humain à tendance à être présomptueux. Par exemple, considérons un instant la quasi-perfection du corps humain, et les moyens qu'il a de se développer ou de se mouvoir. Penser, marcher, réaliser, fendre l'eau de son bain, n'est-ce pas chose merveilleuse ? Au début d'une route, il est facile de penser à tout ce que l'on a gagner en la parcourant, sans penser à la fatigue que cela engendre. On associe souvent la jeunesse à la vanité et la prétention. Ainsi donc, Ameko aborde ses études avec confiance, un sentiment d'invincibilité que lui procure sa sécurité (si TABOO revient il t'en parlera peut être, il a tendance à juger avec dureté et véhémence la faiblesse, mais avec justesse toutefois). Puis, elle arrive et succombe au désespoir. C'est très bien dis dans FMA Bortherhood et dans le manga, le Monde / Dieu rétribue toute forme d'arrogance par un désespoir approprié. C'est cela le Kârma. Il s'agit de Dukkha, la première des quatre Nobles Vérités énoncées lors du Sermon de Bénarès, toute existence est illusoire et implique la souffrance. En cela, ton texte évoque (dans un style plus primitif et immature toutefois, mais ça viendra tout seul avec l'expérience) le style d'écriture de Pénombre, un auteur de fan fic, et l'un des rares contemporains pour qui j'éprouve une sincère admiration, du plus profond de mon coeur. Sa façon d'écrire est (comment dire ?) d'une lucidité éclatante, lumineuse, et d'un jugement tranchant comme la vérité, et pourtant empli de compassion. C'est un style à la fois humble et pompeux, pour tout dire royal, sans être lapidaire pour autant (à l'inverse de Dao De Jing, par exemple, qui est pourtant un texte magnifique). C'est un style d'écriture formidable qui vaut bien, à mon sens, les trésors d'enseignement consignés dans le fameux style "chaque mot vaut une perle" (Sun-tzu Bing Fa ; Gorin no Sho ; etc), mais la lourdeur du texte en moins. C'est, à mon grand regret, un style dont je suis tout à fait dépourvu, et que je semble être incapable de reproduire sans créer une pâle imitation. En revanche, toi tu en sera peut être capable un jour. - Citation :
- Et puis Kugen, si tu veux être empiriste
A moi ! Tout est à moi sous ce grand ciel bleu ! Je dominerais le monde... ! Ahahahahahah... ... Ahem. Désolé. Sors de ma tête, Himiko-chan. |
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Gantzer ASakyo Jinnai | |
Ven 25 Fév 2011, 22:48 |
| - Citation :
- Je n'ai jamais, je le précise, contesté la validation de cette fiche. Et il n'y a pas non-plus polémique à mes yeux. En règle général, je déteste la bureaucratie, je la hais même. Mais il y a des cas où il faut être procédurier. C'en est un, en l’occurrence, et j'aime prendre le temps de décortiquer un texte agréable à lire.
Non, il n'y a pas à procédurier. Ce serait le cas si la validation d'une fiche nécessitait le passage de plusieurs admins, mais en l'occurrence, c'est moi qui m'en occupe. Et franchement, décortiquer un texte agréable à lire... Quand on aime quelque chose, on a pas nécessairement besoin de l'analyser, on peut se contenter de ce qui est. Et tu devrais le faire d'autant plus qu'ici, il s'agit d'une fiche de personnage et pas d'un exposé. A la limite, fait le pour toi, mais tu n'as pas besoin d'intervenir pour toujours ramener toutes tes références. Sans rire, je suis en Lettres Modernes, j'ai des tas et tas de références littéraires, mais est-ce que ça veut dire qu'à chaque figure de style qui m'interpelle, je vais en relever pour ensuite apporter des références telles que des auteurs, des œuvres critiques? Et c'est d'ailleurs pour cette raison que j'ai sauté ton pavé. Parce qu'au bout d'un moment, STOOOOOOOOOP! C'est un forum RP, pas un cours d'histoire, ni de philosophie! |
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Gantzer AAmeko Shimaoka | |
Ven 25 Fév 2011, 22:50 |
| - Himiko-hime a écrit:
-
- Citation :
- je dirais juste que Dragon Ball EST une mythologie, namého, et sur ce je vais me coucher.
Tout à fait. D'ailleurs, tu n'est pas un vrai fan, ni un vrai otaku, si tu n'as pas essayé au moins une fois de faire un kaméhaméha. Tu as essayé ? ^^ oui bien sûr, et des fusions, aussi. surtout que c'est un mot qui revient pas mal dans mes cours, donc parfois en amphi j'essaye de fusionner avec ma voisine, assises c'est assez compliqué donc heureusement qu'au lieu de devenir un obèse ou un vieillard rien ne se passe... Et pour ton commentaire sur mon écriture, ben écoute, merci =O (même si j'ai pas tout tout saisi aux références littéraires, enfin pour Sun Tsu j'avais déjà entendu parler du style "chaque mot vaut un perle" dans le post d'un mec qui aime bien étaler ses références sur l'Asie... un certain Kugen *sort*) (eh, doucement Himiko, on a dit empiriste, pas impérialiste =P)
Dernière édition par Ameko Shimaoka le Ven 25 Fév 2011, 22:51, édité 1 fois |
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Gantzer AHanaki Kyou | |
Ven 25 Fév 2011, 22:51 |
| Tu dérives beaucoup trop à chaque fois dans tes monologues, c'est un fait. Comme c'est un fait que Sakyo écrit souvent des messages trop longs ou que je sois parfois un MJ abusé et vicieux. (hahaha)
La fiche de Feather, et l'orientation qui a été faite de son personnage autant dans sa relation et exposition n'ont pas de matière à être discutées.
Je te cite : " En cela, ton texte évoque (dans un style plus primitif et immature toutefois, mais ça viendra tout seul avec l'expérience) le style d'écriture de Pénombre, un auteur de fan fic, et l'un des rares contemporains pour qui j'éprouve une sincère admiration, du plus profond de mon coeur.
Sa façon d'écrire est (comment dire ?) d'une lucidité éclatante, lumineuse, et d'un jugement tranchant comme la vérité, et pourtant empli de compassion. C'est un style à la fois humble et pompeux, pour tout dire royal, sans être lapidaire pour autant (à l'inverse de Dao De Jing, par exemple, qui est pourtant un texte magnifique). C'est un style d'écriture formidable qui vaut bien, à mon sens, les trésors d'enseignement consignés dans le fameux style "chaque mot vaut une perle" (Sun-tzu Bing Fa ; Gorin no Sho ; etc), mais la lourdeur du texte en moins. "
Ca pour moi, c'est présomptueux. Quand on te lis, c'est souvent un pavé de références rarement intéressantes car tu es le seul à les comprendre. Même ton développement est pompeux. D'ailleurs, pourquoi viens-tu critiquer le style de Feather quand on parle au départ de sa sexualité et son exposition au Japon ? Si tu veux avoir le mérite de te faire comprendre, d'être lucide dans tes propos, je pense que tu devrais commencer par être modeste. Là commence une bonne analyse juste et intelligente à mon avis.
Que tu appuies tes arguments de références, d'accord. Que tu t'en serves pour (comment dire ?) "glorifier" ton développement et ces mêmes références... ou est l'intérêt et le rapport avec le sujet traité ?
Ici, tout le monde s'accorde pour dire qu'on parle du personnage d'Ameko je crois. Selon moi, elle a très bien développé toute sa présentation. J'ai compris que tu ne contestes pas sa validation, or tu es venu en discuter et remettre en cause plusieurs points de cette même présentation en argumentant d'expériences personnelles - qui encore une fois n'ont absolument rien à faire dans ce sujet. A partir de ce moment, il y a gêne. Cela me gêne car je ne vois pas ce qu'à apporté ta critique, aussi longue soit-elle. Alors peut-être que je me trompe, dans le cas contraire la seule à pouvoir le déclarer sera la concernée.
A l'avenir, je te demanderais donc de te passer de références inutiles et de ne pas dériver, et de t'abstenir de remarques personnelles sur le style du joueur. Chacun écrit comme bon lui chante et n'a pas besoin d'être comparé à X auteur, tant que c'est lisible et cohérent.
Mes excuses à Feather pour avoir débordé sur son propre sujet. Il me sera possible d'effacer tous ces messages une fois le cas entendu, si cela est demandé. |
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CivilHimiko-hime | |
Ven 25 Fév 2011, 23:36 |
| Oh ! Tu as raison, bien sur. Et e ne veux pas me faire passer pour un caliméro, mais permet moi d'ajouter ceci, cher admin. - Citation :
- Quand on te lis, c'est souvent un pavé de références rarement intéressantes car tu es le seul à les comprendre. Même ton développement est pompeux.
Oui, regardons la vérité en face, des noms tels que Lao-zi, Sun-zi et Miyamoto Musashi sont des noms tout à faits inconnus en Europe (rien que l'Art de la Guerre figure dans toutes les bibliothèques d'état major du monde depuis au moins deux cent ans, sans compter les bibliothèques civiles, publiques et privées, alors bon... ). Quant à ma façon d'écrire, bah... Comme je le disais, je suis très loin du niveau de Pénombre. Et aussi, j'ai une certaine tendance à extraire des trucs de mon cerveau et les écrire ou les dire de vive voix juste pour m'aider à m'en souvenir (j'ai une mémoire Poisson Rouge puissance 10... j'exagère à peine). On m'a souvent fait la remarque que ma façon d'écrire, notamment sur un forum, me donnait l'air hautain, mais je ne suis hélas pas en mesure de corriger ce défaut dans l'état actuel des choses. Malheureusement, l’orgueil est un vice durable que je suis obligé de m’inoculer, pour raisons personnelles et rollistiques (regarde, c'est un des défauts de Himiko-chama ^^). Ah... Après je râle sur les acteurs. Merci de m'avoir remis à ma place, mais si tu pouvais aussi secouer ces crétins d'Hollywood je t'en serais gré. Et Lady Gaga au passage, ma cher et tendre est une de ses fan, alors ça me ferait franchement mal aux miches qu'elle continue sur sa lancée. Mais bon, je suis HS...A vot' bon coeur, M'sieurs dames, une baffe pour un pauvre idiot. - Citation :
- Ici, tout le monde s'accorde pour dire qu'on parle du personnage d'Ameko je crois. Selon moi, elle a très bien développé toute sa présentation. J'ai compris que tu ne contestes pas sa validation, or tu es venu en discuter et remettre en cause plusieurs points de cette même présentation en argumentant d'expériences personnelles - qui encore une fois n'ont absolument rien à faire dans ce sujet.
Sakyo connaissait déjà la fiche. Pas moi. Il a validé, rapidement, et il ne s'est pas trompé dans son jugement. Est-ce à dire que je ne suis pas en droit de commenter mes lectures et / ou de donner des conseils à l'auteur au passage ? (j'y peu rien s'il est plus souvent connecté que moi ><") - Citation :
- Chacun écrit comme bon lui chante et n'a pas besoin d'être comparé à X auteur, tant que c'est lisible et cohérent.
Tu sais, on apprend à écrire en lisant, puis en recopiant plus ou moins fidèlement dans les engrammes de sa propre mémoire, avant de retranscrire morceaux par morceaux sur le papier. Et que se soit dans ce domaine ou les autres, on apprend toute sa vie, voire même tous les jours. Si tu connais une autre méthode, n'hésite surtout pas à me mettre au parfum. - Citation :
- Et pour ton commentaire sur mon écriture, ben écoute, merci =O (même si j'ai pas tout tout saisi aux références littéraires, enfin pour Sun Tsu j'avais déjà entendu parler du style "chaque mot vaut un perle" dans le post d'un mec qui aime bien étaler ses références sur l'Asie... un certain Kugen *sort*)
De rien. ^^' En relisant le passage cité par Takeshi, je me suis aperçu que j'avais oublié un truc. En résumé : Non, ce n'est pas inconcevable qu'une personne cache sa relation homosexuelle, par peur du "qu'en dira-ton" et du reste, que se soit au Japon ou ailleurs. |
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Gantzer ASakyo Jinnai | |
Ven 25 Fév 2011, 23:43 |
| Kugen, ou l'art d'accepter une critique sans même se corriger. |
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CivilShin Kokusei | |
Sam 26 Fév 2011, 00:14 |
| Dans la mesure où je ne suis qu'amateur d'art, et non un véritable artiste. Note que je n'ai pas dis que je n'essayais pas de me corriger, mais que cela m'étais impossible dans la situation actuelle, soit immédiate et à court terme. Remarque, j'en aurais autant à ton insu. Va travailler ton ki au lieu de faire nuit blanche, baka. Tes maîtres t'ont jamais parlés des ki pré-natal et post-natal ou quoi ?! Sois viet, soit cupide pour vivre vieux ou alors fixe une date de décès approximative. >< Tss... Ces jeunes de nors jours... |
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Gantzer ASakyo Jinnai | |
Sam 26 Fév 2011, 00:16 |
| "je n'ai pas dis que je n'essayais pas de me corriger, mais que cela m'étais impossible dans la situation actuelle"
A cela je répondrais: Et mon cul, c'est du poulet?
Je trouve ça limite insolent, quand même. |
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Maître du JeuxDaniel Fujita | |
Sam 26 Fév 2011, 15:27 |
| Lecture finit. Fiche impeccable. Fort heureusement, j'ai quand même pu déceler quelques défauts. (mineurs) - Ton pseudo J'ai l'impression que tu hésite entre Fea et Feather (Fea/Feather). Sache qu'il vaudrait mieux avoir un identifiant, facilement identifiable. (c'est un peu le but). Soit, je te conseille de mettre uniquement Feather, quitte à ce qu'on t'appelle aussi Fea de temps en temps. - La date de ta mort Trop précis à mon sens. La missions A5 se déroule en Octobre, la B1 se déroule en septembre. Peut-être que la B2 ou A6 se déroulera pendant les mois en question, peut-être en novembre. Aussi, en attendant, il serait peut-être bon de juste mettre l'année, ou à la rigueur préciser que ça se passe en automne, avant de connaître la date de la mission à la quelle tu vas participer. - Les références culturelles (les namek) Pour ma part, je suis pas chaud pour mettre des nom de personnes réelles ou d'oeuvres existantes, dans un univers fictif, mais c'est un avis personnel qui n'est pas partagé. Soit, je n'en tiendrai pas rigueur. - Fiche technique Je suis pas juge. - Kugen Je préfère le moine à l'impératrice. |
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Gantzer AAmeko Shimaoka | |
Sam 26 Fév 2011, 15:57 |
| ok je vais rendre la date moins précise. pour mon pseudo je vais mettre juste Feather, Fea est une sorte de diminutif de plus en plus utilisé... et pour les références je ne compte pas en remplir mes posts, ni leur donner une vraie importance d'ailleurs, c'est juste que comme elle a une certaine culture otaku je me voyais mal ne pas sortir un ou deux noms...
en tout cas je suis contente que ma fiche vous aille ^^ |
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InvitéInvité | |
Sam 26 Fév 2011, 16:43 |
| Bienvenue à toi ! Ton personnage à l'air captivant |
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Maître du JeuxDaniel Fujita | |
Mer 02 Jan 2013, 17:04 |
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