Jyûro est un homme mesurant 1m75 pour 60 kilos environs. A cause d'une canitie précoce, ses cheveux son entièrement blanc. De même que ses sourcils fins et légèrement étirer sur le coté. Ses yeux sont marron clair et surplombe un petit nez en trompette. Ses fossettes ressortent légèrement, ses joues sont normales et sa mâchoire légèrement carrée. Il possède une bouche fine et quelques rides aux coins de cette dernière résultat probable d'une trop grande propension à sourire. Il est toujours rasé de frais et garde ses cheveux assez court, et coiffé vers l'arrière. Son visage est assez étirer vers le bas. Il a un cou plutôt gracile qui contraste avec une silhouette légèrement compacte. Ses épaules sont un peu plus musclées que la moyennes, de même que ses bras qui se termines par des mains étrangement fines et presque toujours manucurée. Son torse est large et saillant, ses hanches sembles presque trop petite par rapport à son buste. Le tout étant compléter par des jambes musclées dont les muscles saillent lorsqu'il porte des vêtements moulants.

Coté vestimentaire, il porte toujours un complet 3 pièces avec une cravate assortie lorsqu'il est au travail, Le tout compléter avec un trench-coat noir. Pour ses soirées mondaines, il opte pour un style légèrement plus décontracter avec un pantalon de toile, des mocassins, une chemise taillée sur-mesure et un gilet. Si les couleurs varies selon son humeur, elles sont toujours assorties avec goût. Pour les sorties entre amis, il garde la même tenue mais se passe du gilet.

Description Psychologique :

Avant toutes choses, Jyûro est quelqu'un qui ne se prend jamais au sérieux en publique. Il est blagueur, aguicheur, parfois même mutin, et est capable de sortir une vanne monstrueuse alors qu'il « s'occupe » d'une charmante demoiselle, juste pour le gag. Mais derrière cette façade facétieuse se cache quelqu'un d'observateur, pragmatique et qui ne se fit qu'à la logique et aux faits. Sans doute du fait de son éducation stricte.

Nous pouvons détaillé trois aspects qui ressortent souvent suivant le degré de complicité qu'il peut éprouver envers les autres. Dans le cadre de ses activités professionnelles, il se montre pointu, exigeant et strict. Il attend de ses employer qu'ils fassent leurs travail de façon efficace et remplissent leurs quotas de vente. Mais loin d'être sans cœur, il peut se montrer compréhensif tant que l'on abuse pas de sa « gentillesse ». Il garde toutefois toujours une distance entre lui et ses employés, tout amical qu'il puisse se montrer. Avec ses partenaires commerciaux il se montre toujours souriant, avenant et fait montre d'une attitude tout ce qu'il y a de plus commercial.

Dans les soirées auquel il participe, il se présente toujours habillé soigneusement, arborant une expression faciale coincée sur la position cocktail et extrêmement courtois. Ce qui ne l'empêche pas de faire la court aux jolies jeunes femmes de façon respectueuse puis un peu plus soutenue si cette dernière se montre réceptive. Pour le reste, il aime à essayer de détendre l'ambiance avec quelques petites blagues de bonne aloi et n'hésite pas à séparer ceux qui, trop éméché, risquerait de gâcher l'ambiance.

Avec ses amis, il se montre détendu, laissant de coté son attitude de chef d'entreprise et n'hésite pas à envoyer quelques histoires ou blagues grivoises. Il se montre également beaucoup plus coureur de jupons lors de ses sorties entre amis et ne dit jamais non à un bon petit verre de bourbon, pourvu que ce dernier soit pur malte et d'au moins 15 ans d'âge.

Lorsqu'il se retrouve en situation plus ou moins épineuse il tentera d'abord de jouer sur son charme pour s'en sortir et, en cas d'échec, retroussera ses manches pour aller au turbin pour peu que le combat n'inclus pas d'arme blanche ou d'arme à feu. Dans ce dernier cas, il optera pour la coopération ou la fuite si la possibilité de s'esquiver lui apparaît.

Et pour les situations qui n'apparaisse pas si-dessus, il optera pour un humour régulier et débrider, voir cynique, afin de masquer sa nervosité et de trouver ses marques.Possédant une forte capacité d'adaptation ce processus ne met pas beaucoup de temps en général. Sauf peut être pour les situations extrêmes où le choc de l’intellect et du ressentit risque de se montrer explosif.

Tout petit déjà, Jyûro faisait montre d'une remarquable et indéfectible curiosité, même pour un nourrisson. Ses parents, un couple d'entrepreneurs aisé mais un peu vieillissant, y virent la un formidable potentiel et décidèrent que leur enfant allait être quelqu'un de suprêmement intelligent. En même temps, quels parents ne possèdes pas ce genre de désirs légitime ? Aussi, dès son plus jeune age, Jyûro fût plonger corps et âme dans les études. De la crèche privée à l'école maternelle d'avant garde, puis à une école privée haut standing. Ses parents étant très aisées, sont éducation fût donc de haut niveau. Trouvant un intérêt certain pour les études, Jyûro ne se posait pas de question et travaillait du mieux qu'il pouvait. Sans pour autant être un véritable génie surdoué, il se tenait aisément dans le haut du panier et figurait parmi le tableau d'honneur des meilleurs élèves lorsqu'il entra au collège. Pendant sa scolarité au collège, il ne se fit pas beaucoup d'ami mais observait les autres avec intérêt. Et si les filles ne l'intéressait pas encore, les interactions entre personnes semblait fasciner le jeune homme. Après quelques mois, il décida de se prendre au jeu et commença à nouer quelques connaissances avec des enfant de sa classe. Ayant remarquer que pour être populaire il fallait être « cool », il se mit au diapason et mit tout en œuvre pour devenir le garçon le plus cool du collège. Ses notes s'en ressentirent et même si il avait fait quelques avancés sociales intéressante ses parents ne l'entendait pas de cette oreille.

« Tu auras totu le temps de te faire des amis plus tard. Travail pour ton avenir. Si tu est riche mon fil, tu possède ce que tu veux. »

Tel était la rengaine maintenant habituelle. Mais trouvant que ces dernière avait un fond de vérité, il se remit plus sérieusement aux étude et abandonna l'idée d'être le gars le plus cool du collège. Il ne garda plus que des contacts bref avec ses camarades et ses notes remontèrent très vite. A la fin de sa dernière année de collège, il était l'un des étudiant les plus brillant et s'ouvrait ainsi la route des lycée les plus prisés pour la plus grande joie de ses parents.

Et pour le jeune Jyûro, les années lycées furent le plus intéressantes. Probablement du à son intérêt soudain pour la gente féminine. Il fallait avouer que son style sérieux détaché et studieux semblais avoir un certain effet sur quelques-unes de ses camarades. Il se prit très vite au jeu et flirta quelques temps avec plusieurs d'entre elle. Mais en bon gentleman, jamais plusieurs en même temps. Et histoire ne de pas répété le scénario collège, il s'arrangea pour trouver le parfait équilibre entre amies et études. Se forçant à un emplois du temps pointu et précis comme un coucou suisse. Ce trait de caractère allait d'ailleurs perduré et finalement faire fuir une poignée des jeunes filles. Toutefois, sa popularité, même un peu reteinte, lui offris quelques camarades avides de conseils et de premier émois autrement que par magazine interposé.

Lors de sa dernière année de lycée, il eut sa première relation sérieuse avec une amie d'une autre classe. Ce fût d'ailleurs elle la première, d'une longue lignée mais la n'est pas encore le sujet. Mais ne sachant pas trop dans quoi elle s'engageait, et ne pouvant finalement pas rivalisé avec les études si chères au cœur de Jyûro, la séparation fût inévitable. Heureusement pour lui, elle eut la décence d'attendre le concours de fin d'année et celui d'entré de la meilleure université de Tokyo. Cette rupture l'affecta beaucoup, au point que même maintenant il lui arrive d'en ressentir encore les effets et le décourager d'entamer une autre relation sérieuse.

Après son entré à l'université qu'il souhaitait, il se rendit compte que sa persévérance lui avait offert une capacité à étudier qui lui permettait de passer moins de temps le nez dans les bouquins. Ce fût pendant cette période qu'il développa ses capacités relationnelles et son aisance en société. Mais à l’instar de toutes matières, il fallait avouer qu'il travaillait chaque détails afin d'être le plus « sortable » possible. Il en développa une grande capacité d'adaptation qui lui permettait de louvoyer en société et de se faire bien voir de beaucoup de personnes. Ayant déjà prévu de reprendre la boite de son père, et ayant fait ses études dans ce sens depuis le lycée, il en profita pour se crée un petit réseau qui lui permettrait de développer l'entreprise une fois qu'il en aurait pris la tête.

Et aux environs de 30 ans, son père lui céda enfin l'entreprise familiale. Il prit sa retraite, partant à Sapporo avec son épouse. Jyûro réussit le tour de force d'augmenter la portée et l'image de la société en seulement deux petites années. Lui permettant de bénéficier de revenu confortables, d'une image de marque sérieuse et... séduisante pour peu que la vénalité soit un très de caractère léger. Sans être un golden boy incontournable, il était apprécier pour son caractère calme et presque désinvolte dans le milieu commercial de Tokyo et sa région. Et même si il se permettait quelques petites frasques en soirées, il s'arrangeait pour garder jalousement sa vie privée de toutes intrusions extérieurs. Ceci fait qu'en dehors de son milieu, il est très peu connu du publique. Il faut dire qu'il se situe entre deux eaux et n'est pas de ce fait un sujet de prédilection pour les médias tout en jouissant d'une bonne notoriétés professionnelle. CE qui lui permettait de faire se succéder les conquêtes féminine dans une relative discrétion. Qui l'arrangeait bien . Enfin jusqu'à un soir où il participait à un petit cocktail mondain où pour une fois il s'était promis de rentrer tôt et de terminer de classer un dossier afin de conclure un contrat juteux avec la municipalité. Maaaaais la superbe plante qui lui faisait de l’œil l'écarta légèrement de ses plans initiaux et lui intima un besoin urgent de trouver un endroit tranquille. Une fois l'affaire « pliée » il décida qu'il devait se dépêcher de rentrer au bureau. Mais un peu fatiguer par l'exercice acrobatique duquel il ressortait, il opta pour l'ascenseur. Il appuya sur le bouton et observa l'horloge mural derrière lui pour se rendre compte qu'il n'était pas couché. Un petit ~ding~ lui indiqua que l'ascenseur était arrivé, il passa une jambe et se demanda brièvement pourquoi il ne sentait pas le sol de l'ascenseur avant de se retrouver dans la cage d'escalier. Observant les étages défiler à une allure qui allait croissante.

*Et mer... *