Edward Elric.
Nom : Higawara.
Prénom : Blondin.
Race : Humain.
Âge : 20 ans.
Nationalité : Japonais.
Origines : Japonaise.
Classe sociale : aisée.
Métier / Études : Designer.
Famille : Décalée.
Connaissances : Azimutées.
Ennemis : Aucun.
Qualités Fortes : Alerte - Endurant - Rapide - Résolu - Humoristique.
Défauts Importants : Têtu - Obstiné - Méfiant - Strict ( à cheval sur les principes ) - Décalé ( inattendu, différent de ce que l'on attendait ) - Volontaire.
Capacités Uniques : Courage - Polyvalence - Sportif.
Handicaps Majeurs : Sens de l’orientation - Connaissances, Meneur.
Description Physique :Blondin Higawara est un jeune homme d’origine japonaise. Il mesure exactement un mètre et soixante-dix centimètres pour un poids d’environ soixante kilogrammes. Pas trop grand, pas trop petit pour un poids mince, il s’estime dans la moyenne. A raison. Il porte des habits urbains, de bonne facture sans verser dans le luxe qu’il juge tape à l’œil. Ses tenues sont le plus souvent amples pour ne pas gêner ses mouvements, et portées sous un pardessus un peu plus sombre. Un genre de cache poussière.
Contrairement aux apparences, Blondin n’est pas chétif. Sa peau est douce, reposant pourtant simplement sur une hygiène quotidienne effectuée matin, midi et soir. Ca peut paraître excessif mais c’est justifié. Sa chair est ferme, ses muscles finement galbés sont dus à une activité sportive intense et vitale dans son cas. Une chevelure blonde facile à coiffer encadre son visage aux traits réguliers. Elle est facile à coiffer parce que Blondin ne contrarie pas le sens de ses épis. Ses mèches cachent le plus souvent une cicatrice sur la tempe gauche. Ce n’est pas la seule. Le reste de son corps est affligé d’une quinzaine de cicatrices. Surtout les bras, les jambes et le torse. Toutes dues à des armes tranchantes. Ses yeux sont un peu plus grands que la moyenne nipponne. Si les yeux sont le reflet de l’âme …
Description Psychologique :Si les yeux sont le reflet de l’âme, alors Blondin Higawara donne l’impression d’être quelqu’un de vif, pétillant de vie, de plutôt sociable avec un grain de folie. A raison. Il prend tout au premier degré. Paradoxalement, il exprime son empathie d’une façon si bizarre qu’il semble le plus souvent complètement à l’ouest. C’est en partie dû à son éducation mais aussi à sa santé spéciale. Obstiné, un peu tête de mule quoi, il est à cheval sur les principes et boude quand on contredit ses choix ( voir avatar, pas celui de la fiche ). Il fait aussi cette tête quand il prend son air sérieux. Il n’a aucun avis en politique et en spiritualité. Il ne sait pas. Il assume sa blondeur physique et mentale parce que la notion de ridicule lui est inaccessible.
Blondin prend tout en dérision et s’amuse d’un rien. Il prend un air ahuri à chaque fois qu’il ne comprend pas quelque chose, ce qui arrive assez fréquemment. Il s’étonne d’un rien, et encore plus lorsqu’une situation échappe vraiment à l’ordinaire.
Il a un étrange humour qu’il place inconsciemment dans la joie comme dans l’adversité, ce qui accentue son coté décalé, à coté de la plaque. Son coté un peu bêta ne le rend pas naïf pour autant. Il se méfie surtout des promesses trop belles, des propositions sans contrepartie, venant de gens beaucoup trop amicaux pour être honnêtes. Ne se sentant ni égal, ni inférieur à qui que ce soit, son intégrité morale lui évite de tomber dans les griffes d’escrocs de tout poil.
Son adrénaline fait des bonds pour un rien, ce qui s’avère salutaire dans son cas. Quand il ne se passe strictement rien, quand c’est le calme plat, Blondin ne tient pas en place. Cinéphile dans l’âme, il regarde les films en faisant de multiples arrêts sur images. Ainsi, il est incapable de rester plus d’un quart d’heures dans la salle obscure d’un cinéma. Il adore le cosplay et met un point d’honneur à confectionner lui-même ses costumes. Il coud bien mais parfois un peu trop vite, ça se voit aux multiples entailles sur ses doigts. Il aime s’entraîner au maniement du sabre depuis le début de son adolescence mais sa voix est un petit peu rauque de naissance. Quasiment. Il apprécie particulièrement de pratiquer le tir instinctif dans les salles d’arcade. C’est un divertissement mais sans être un tireur d’élite, Blondin tire vite et bien jusqu’à une distance moyenne.
Histoire : Blondin Higawara est le dernier né d’une famille issue de la classe aisée, à Tokyo. L’origine de son prénom est un mystère. Il a une sœur de six ans son aînée qui s’appelle Blondie, ce qui n’est pas non plus commun comme prénom. Ses parents ont fait fortune dans le design. Ils ont l’air d’être quasiment tout le temps sur un autre monde, dans les nuages, comme s’ils avaient fumé la moquette. Quand on voit leurs œuvres, on peut se poser la question. Pourtant, ils ont un public pour leurs créations déjantées, autant dans la décoration d’intérieur que pour l’apparence de voitures produites en grand nombre.
Blondin grandit dans cet univers un peu farfelu, davantage élevé par sa sœur que par ses parents. Du moins, c’est elle qui assume la part la plus pénible de son éducation. Néanmoins, le petit frère s’avère être un enfant beaucoup plus facile à vivre que la moyenne, jusqu’à la maladie.
Ce n’est pas un événement anodin. Il a lieu au cours d’un "voyage marathon" de la famille, c’est-à-dire une sorte périple leur faisant traverser plusieurs pays du tiers monde, avec pour motivation la raison professionnelle, les vacances, le goût de l’exploration et l’action humanitaire. Pendant leur séjour dans un pays du tiers monde, Blondin contracte alors une maladie très vicieuse au nom scientifique barbare. Dans quel pays, c’est difficile à dire. Peut-être en Grèce ou en France. Blondin doit être hospitalisé dans la première ville la moins arriérée des environs, à Londres. Il récupère assez vite grâce à un traitement onéreux au nom lui aussi barbare.
De retour à la maison, le blondinet continue de mener sa vie tranquille, pour très peu de temps. Le traitement administré en Europe a un effet secondaire néfaste sur lui. Il engendre une maladie cardiaque sans véritable traitement. En termes simples libérés de toute barbarie scientifique, cette maladie peut provoquer l’arrêt cardiaque durant une période ou Blondin est soumis à une trop forte inaction. L’idéal est qu’il vive des journées où son adrénaline fait des bonds. Il doit être hyperactif pour survivre !
Entre deux élans créatifs, la famille concocte un programme de survie pour leur rejeton adoré. Le strict minimum d’études, juste assez pour passer les examens, pour ne pas avoir l’intellect d’un sportif de haut niveau et la culture à base de néant d’un scientifique. Un maximum d’activités sportives. Il ne s’agit pas de le faire mourir d’épuisement mais de faire en sorte qu’il ait plusieurs pics d’adrénaline par jour. La prise régulière d’un traitement lui évite de mourir pendant son sommeil.
Ainsi, Blondin survit à l’enfance mais son organisme s’habitue à ce genre d’efforts physiques. Sa sœur cesse de s’occuper de lui, à un âge où elle vit ses premiers émois. En l’occurrence, elle devient très vite une briseuse de cœur régulière, sa beauté lui permettant de conquérir et de jeter ses proies au rythme de ses changements d’humeur. Son oncle entre alors en scène. Il tient un dojo de kenjutsu et forme son neveu au maniement du sabre. Si ça s’arrêtait là, ce serait un simple progrès sans être transcendant, mais pas du tout. L’oncle obtient l’autorisation parentale d’héberger le blondinet trois jours par semaine, du vendredi au dimanche, ainsi que pendant les vacances scolaires. Ce n’est pas de tout repos.
Il s’avère que l’immense maison de l’oncle est truffée de passages secrets, de faux murs, de trappes invisibles d’où peuvent surgir à tout moment des hommes à lui, déguisés en ninjas et armés de vrais sabres qui tranchent. C’est pareil dans le jardin immense, un véritable dédale digne du parcours du combattant. Que ce soit au dojo ou chez son oncle, Blondin peut être attaqué à tout moment. Sauf la nuit, et encore … l’adolescent doit être sur ses gardes en permanence, prêt à repousser une embuscade à tout moment, prêt à sentir le métal froid d’une lame entailler sa chair. Au fil du temps, il subit ainsi de multiples blessures légères. Ca emballe bien son cœur, d’autant que Blondin est peu à peu persuadé qu’il y a quelqu’un parmi ces combattants qui veut le tuer en faisant croire à un accident. Certains signes lui donnent cette conviction mais il ne peut pas le prouver. Il doit donc éviter de se relâcher pile au moment ou cet individu ferait partie de ses assaillants, puisqu’il y a des roulements. Personne ne veut le tuer, c’est un complot machiavélique pour faire monter son adrénaline.
Blondin devient un jeune adulte. Malgré ces subterfuges pour le maintenir en vie, qu’il ait survécu jusqu’ici est considéré comme une sorte de miracle, ou du à une chance insolente. Son hyperactivité l’a rendu plus fort, plus endurant, plus vif mais elle a aussi un prix à payer, il est aussi moins intelligent, beaucoup moins cultivé que la moyenne. Personne dans son entourage ne peut suivre son rythme, ses amis l’évitent ainsi très vite. Son insouciance, son énergie attire la gent féminine. Il épuise malgré lui une première petite amie qui le quitte avant d’y laisser sa santé, puis une deuxième et enfin une troisième avant de traverser un désert sentimental.
Niveau études, Blondin est un élève moyen parce qu’il passé deux fois moins de temps en classe que les autres élèves. Il a tout de même des lacunes intellectuelles importantes. Se révélant créatif comme ses parents, Blondin suit des études de designer, un métier dont il connaît déjà de nombreux rouages. Il obtient son diplôme deux ans plus tard. Nourrissant alors une passion pour les engins motorisés à deux et trois roues, il obtient un travail dans une entreprise autre que celle de ses parents, pensant à tort avoir été embauché sur son seul mérite. Il y travaille six mois et emménage dans son appartement, obtenant ainsi son indépendance. Du moins, le croit-il.
Il lui reste alors moins d’une semaine à vivre.
Cause du décès : arrêt cardiaque en pleine nuit, mais pas pendant son sommeil.
Dans quelle Chambre préféreriez-vous voir évoluer votre personnage et pourquoi ? La chambre x : il manque au moins un joueur pour débuter.
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