Gantzer AVargas Von Casteirn | |
Lun 23 Fév 2009, 15:28 |
| La limousine qui avait pris quelques minutes plus tout le jeune héritier de la famille arriva dans l'allée principale. Le chauffeur descendit et alla ouvrir la porte arrière, l'étudiant en médecine sortit du véhicule en silence sans prêter attention à l'homme qui faisait bien une cinquantaine d'années. Vardec entra doucement dans le hall, le majordome se présenta à lui prendre sa veste. Une fois en la possession du "serviteur", l'être au regard sans vitalité monta au premier étage pour poser ses affaires et observer d'un petit coup d'oeil le poignard qu'il avait pris à l'un des yakuza. Le pommeau était de couleur beige avec de sculpté une tête de dragon, la lame était fine, droite et parfaitement aiguisée. Il rangea l'arme dans la poche de son pantalon noir quand il entendit quelqu'un qui toquait à sa porte. "Entrez."dit-il sur un ton calme Une femme de ménage de petite taille entra pour lui dire que le souper était prêt. Il sortit de la pièce où il était et descendit au rez-de-chaussée et tourna à droite pour arriver dans une grande pièce qui servait de salle à manger avec une cheminée, des tableaux d'artistes sur les murs, des meubles et une grande table en son centre qui était faite pour accueillir au moins vingt personnes sans exagérer. Son père, un homme de grande taille au crâne dégarnis d'une cinquantaine d'années lui aussi, était assis en face de la cheminée. Ce dernier en le voyant arriver lui fit signe de le rejoindre à sa gauche, apparament ce soir ils allaient manger seuls. Ils attendirent quelques secondes avant que deux assistants aux cuisines arrivent avec la soupe, le cuisinier comme à son habitude arriva pour annoncer le repas. "Aujourd'hui j'ai décidé de tester une nouvelle soupe de poissons, j'espère que cela vous plaira." Le père répondit avec enthousiasme. "Je n'en doute pas une seconde mon cher." Les hommes disposèrent aussitôt. En même temps les Von Casteirn commencèrent à entamer leurs assiettes. Le père voyant que Vardec ne faisait aucun commentaire comme à son habitude décida de prendre la parole pour lui parler des évènements récents auxquels il avait été mis au courant. "Je sais que tu tes encore battu aujourd'hui, un officier faisant partis du commisariat qui n'est pas loin de l'hôpital où tu travailles en ce moment est venu me voir. Il m'a dis qu'une femme en état de choc est venue porter plainte pour une agression, elle a mentionné qu'un jeune homme correspondant exactement à ta description l'avait sauvé en neutralisant avec une certaine cruauté ses agresseurs. Tu te rends compte dans quelle position tu me mets?" Le prodige prit encore deux cueillerés avant de parler sur un ton ne laissant paraitre aucun sentiment. "Ces hommes étaient en travers de mon chemin, je n'ai fait que me défendre." Le père répliqua sans plus attendre, en haussant légèrement le ton. - Mais tu n'étais pas obligé de mettre dans un état pareil. - Ces hommes n'ont eu que ce qu'ils méritaient. - Et? - Ils savaient très bien ce qui les attendait, je les ai prévenu. - Le fait que tu saches manier les arts martiaux ne te donne pas le droit de faire justice toi-même. Sincèrement, si tu continues sur cette voie je ne sais ce que je vais faire de toi. Tu as tout pour réussir, ne gâche pas ton avenir. Le père qui s'attendait à une réaction n'eut qu'en retour un long silence, quand son fils arriva à la moitié de l'assiette il se leva et se dirigea vers les toilettes. A ce moment son père qui avait déjà longuement réfléchis avant d'en arriver là, sortit une ptite fiole et versa son contenu dans la soupe. Le père qui sentait les symptomes du malaise, ce leva lorsque son fils revint et fit mine de ne pas se sentir en allant vers le hall pour rejoindre sa chambre au deuxième étage. Vardec finit son assiette et dit au cuisinier avant de sortir à son tour de la grand salle. "Rajoutez un peu plus de sel et ce sera parfait." Le cuisinier connaissant le talent de l'héritier en matière de cuisine s'inclina et dit. "Je n'y manquerai pas monsieur." Soudain, en arrivant au premier étage il commenca à ne pas se sentir bien, il entra dans la salle de bain en gardant son sang-froid et toussa plusieurs fois au-dessus du lavabo. Ensuite, il ressentit dans vertige puis vomit en grande quantité du sang avant de s'écrouler en ayant comme dernière pensée. **Cyanure....** Son père, sachant que le poison avait fait ces effets était en larme, il venait de donner la mort à son fils. |
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• Dieu Suprême •Gantz. | |
Sam 14 Mar 2009, 22:11 |
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Décès accepté.
C'est ce qui arrive lorsqu'on a un nom de médoc.
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