Nom : Von Casteirn
Prénom : Vargas
Âge : 50 ans
Rang : humain
Classe sociale : Trés aisée
Métier : Fondateur d'une multinationale
Groupe Sanguin : O+
Description Physique : Vargas est un vieillard de grande taille, environ 1m85, bien portant. C’est un homme légèrement enveloppé et marqué par le temps. Ceci peut se voir par ses nombreuses profondes rides qui parcourent son visage, son crâne est également partiellement dégarni de ses cheveux gris qui campent sur l’arrière de sa tête. Son regard plein de sagesse est complété par un moustache descendant jusqu’au menton, le rendant extrêmement sympathique. Lorsqu’il ne porte pas de costume bien taillé au travail, il arbore le plus clairement de son temps une tenue classique de retraité, composée d’un pantalon beige, d’un pull bordeaux et d’un veston par dessus de couleur olive. On le voit souvent avec une pipe qu’il considère comme un porte-bonheur.
Description Mentale : Son excellente éducation, les conditions particulières dans lesquelles il a été élevé et sa bonne mentalité, font de lui un homme particulièrement respectable et respecté de tous. Vargas, malgré sa position professionnelle difficile à mener en même temps qu’une vie sociale, à toujours fait de son mieux pour pouvoir passer du temps avec sa famille et plus particulièrement son fils qui représente tout ce qui reste de sa famille. Cet homme au fond bon est depuis la mort de sa femme hanté par une immense tristesse dont il n’arrive pas à s’en débarrasser, il essaye d’aider Vardec du mieux qu’il le peut, même lorsqu’il est impliqué dans des affaires criminels. Vargas, qui pense que tout n’est jamais perdu s’est juré sur la tombe de sa femme de guérir son fils quoi qu’il lui en coûte.
Histoire :
Né à Berlin la capitale de l’Allemagne dans une riche famille où son père Edmund Von Casteirn dirigeait une entreprise spécialisée dans la construction de grand projet. Vargas était un jeune homme aux cheveux courts bruns débordant d’énergie et qui rêvait de faire comme son père, diriger et contribuer au développement de notre société. A l’âge de 24 ans, après avoir acquis certains diplômes importants pour qu’il puisse accomplir son rêve, entra au service de son père pour qu’il apprenne davantage. Quand il comprit l’essentiel, il décida de se jeter à l’eau, il quitta son père pour fonder à 27 ans son entreprise qui ne tarda pas grâce à son charisme, sa simplicité et les relations qu’il se fit auparavant, de développer son entreprise à un niveau qu’il n’avait pas prévu. Sa situation professionnelle étant stable, il remarqua qu’il avait délaissé le plus important, l’amour. C’est ainsi qu’il fit la connaissance d’une ravissante jeune femme d’origine Tchèque du nom de Elena, celle-ci ne fut pas indifférente au contact Vargas qui était hypnotisé par sa beauté. Les années passèrent, ils se marièrent et eurent un enfant qu’il appelèrent Vardec. L’arrivé de ce dernier changea radicalement la vie de notre homme d’affaire qui découvrit ce qu’était la vie de père. Il voulait plus que tout rendre heureuse sa petite famille. Malheureusement, ce bonheur fut perturbé par l’accident mortel de sa femme et la très grave blessure que subit son fils. (Aprés ceci se raccorde à l'histoire de Vardec Von Casteirn)
Vargas était maintenant torturé par un souvenir terrible et qu'il ne souhaitait à personne.
Flashback
La limousine qui avait pris quelques minutes plus tout le jeune héritier de la famille arriva dans l'allée principale. Le chauffeur descendit et alla ouvrir la porte arrière, l'étudiant en médecine sortit du véhicule en silence sans prêter attention à l'homme qui faisait bien une cinquantaine d'années. Vardec entra doucement dans le hall, le majordome se présenta à lui prendre sa veste. Une fois en la possession du "serviteur", l'être au regard sans vitalité monta au premier étage pour poser ses affaires et observer d'un petit coup d'oeil le poignard qu'il avait pris à l'un des yakuza. Le pommeau était de couleur beige avec de sculpté une tête de dragon, la lame était fine, droite et parfaitement aiguisée.
Il rangea l'arme dans la poche de son pantalon noir quand il entendit quelqu'un qui toquait à sa porte.
"Entrez."dit-il sur un ton calme
Une femme de ménage de petite taille entra pour lui dire que le souper était prêt. Il sortit de la pièce où il était et descendit au rez-de-chaussée et tourna à droite pour arriver dans une grande pièce qui servait de salle à manger avec une cheminée, des tableaux d'artistes sur les murs, des meubles et une grande table en son centre qui était faite pour accueillir au moins vingt personnes sans exagérer. Son père, un homme de grande taille au crâne dégarnis d'une cinquantaine d'années lui aussi, était assis en face de la cheminée. Ce dernier en le voyant arriver lui fit signe de le rejoindre à sa gauche, apparament ce soir ils allaient manger seuls. Ils attendirent quelques secondes avant que deux assistants aux cuisines arrivent avec la soupe, le cuisinier comme à son habitude arriva pour annoncer le repas.
"Aujourd'hui j'ai décidé de tester une nouvelle soupe de poissons, j'espère que cela vous plaira."
Le père répondit avec enthousiasme.
"Je n'en doute pas une seconde mon cher."
Les hommes disposèrent aussitôt. En même temps les Von Casteirn commencèrent à entamer leurs assiettes. Le père voyant que Vardec ne faisait aucun commentaire comme à son habitude décida de prendre la parole pour lui parler des évènements récents auxquels il avait été mis au courant.
"Je sais que tu tes encore battu aujourd'hui, un officier faisant partis du commisariat qui n'est pas loin de l'hôpital où tu travailles en ce moment est venu me voir. Il m'a dis qu'une femme en état de choc est venue porter plainte pour une agression, elle a mentionné qu'un jeune homme correspondant exactement à ta description l'avait sauvé en neutralisant avec une certaine cruauté ses agresseurs. Tu te rends compte dans quelle position tu me mets?"
Le prodige prit encore deux cueillerés avant de parler sur un ton ne laissant paraitre aucun sentiment.
"Ces hommes étaient en travers de mon chemin, je n'ai fait que me défendre."
Le père répliqua sans plus attendre, en haussant légèrement le ton.
- Mais tu n'étais pas obligé de mettre dans un état pareil.
- Ces hommes n'ont eu que ce qu'ils méritaient.
- Et?
- Ils savaient très bien ce qui les attendait, je les ai prévenu.
- Le fait que tu saches manier les arts martiaux ne te donne pas le droit de faire justice toi-même. Sincèrement, si tu continues sur cette voie je ne sais ce que je vais faire de toi. Tu as tout pour réussir, ne gâche pas ton avenir.
Le père qui s'attendait à une réaction n'eut qu'en retour un long silence, quand son fils arriva à la moitié de l'assiette il se leva et se dirigea vers les toilettes. A ce moment son père qui avait déjà longuement réfléchis avant d'en arriver là, sortit une ptite fiole et versa son contenu dans la soupe. Le père qui sentait les symptomes du malaise, ce leva lorsque son fils revint et fit mine de ne pas se sentir en allant vers le hall pour rejoindre sa chambre au deuxième étage. Vardec finit son assiette et dit au cuisinier avant de sortir à son tour de la grand salle.
"Rajoutez un peu plus de sel et ce sera parfait."
Le cuisinier connaissant le talent de l'héritier en matière de cuisine s'inclina et dit.
"Je n'y manquerai pas monsieur."
Soudain, en arrivant au premier étage il commenca à ne pas se sentir bien, il entra dans la salle de bain en gardant son sang-froid et toussa plusieurs fois au-dessus du lavabo. Ensuite, il ressentit dans vertige puis vomit en grande quantité du sang avant de s'écrouler en ayant comme dernière pensée.
**Cyanure....**
Son père, sachant que le poison avait fait ces effets était en larme, il venait de donner la mort à son fils.
Fin flashback
Cause du décès : Suicide