Let me see… CrushLa nuit avance, en même temps que lui marche dans les rues. Il s’est changé pour l’occasion, juste de quoi mettre un semblant de costume, chemise ouverte sur un collier, une croix en argent attaché. Les mains en évidences, quelques bagues y ont retrouvés leurs places. Un casque sur les oreilles pour écouter, réflexe. Une cigarette clouée au bec, allumé bien sur. Des lunettes teintés pour que l’on ne puisse pas voir ses yeux, brulants comme jamais. L’homme a pris de l’assurance. Le temps a servis et son boulot sur lui-même a bien fonctionné. La flamme se ravive et ce soir, ce soir et bien il ne fera pas de cadeau aux autres. Il vient chercher son travail, les affaires, toujours les affaires. Pour le coup il a pu compter sur de vieux amis pour préparer son arrivée. Il a pu jouer sur certaine relation pour avoir de quoi prendre du poids dans ses arguments, il a prit quatre homme avec lui pour éviter les coups bas, encore des relations, ces gars là savent très bien que ça risque de chauffer, suffit de les voir pour le comprendre, grand, fort et nerveux. Ils savent que s’ils foirent, ils vont mourir et que les armes qu’ils ont avec eux ne sont pas là pour faire joujou. Il espérait mieux, mais n’avait eu droit qu’à ça venant d’un « vieux pote ». Il ne pouvait pas faire autrement de toute façon, il était redevenu un inconnu qui n’avait pas de poids dans la balance, le monde change en dix ans.
Il s’approche de l’Underground. Là ou aura lieu l’action.
A cette heure ci les gens commencent à rentrer dans sa boite, c’est donc le meilleur moment pour arriver. Pas la peine de faire la queue, les gardes à l’entrée se pousse sans même émettre de plainte, en souvenir ou juste parce qu’il n’on pas affaire a n’importe qu’elle « vieillard » se présentant devant une boite, lui vire la clope et les lunettes. Il entre. Monte le son pour ne pas écouter le genre de merde qui gâchera sa musique. Il ne fait pas attention à la foule dansante, au fameux effet, mais peut-être une autre fois, il le voit lui, là haut. Il dirait bien bonjour mais vu la gueule qu’il tire ce n’est pas la peine, ça le ferait sourire si seulement il ne se douter pas de ce qui aller bientôt arriver. Il connaît le chemin, la boite n’a pas énormément changé. Les gardes sont toujours autour de lui, pousse la foule, libère le chemin pour qu’il n’est pas lui-même à massacrer ces gens qui s’amuse. Ce n’est pas un bon soir pour lui, vraiment pas. Il se frotte le dessus de la main. Il chauffe et se demande pourquoi ne pas mettre le feu lui-même à la piste, littéralement. Dans la transpiration et dans l’alcool. Non, ce serais du temps de perdu pour faire des réparations par la suite. Il monte les escaliers accédant à une pièce épargnant du bruit insupportable qui jaillit dehors, Bonne isolation, elle n’avait pas bougé. Le petit l’attend là. Enfin petit, il avait un peu vieillis, mais c’était bien lui, le petit con qui lui avait donné tant de problème par le passé, il ne pouvait pas s’en débarrassé et maintenant c’était lui qui tenait les reines ? L’autre semblé un peu nerveux, le regard fuyant en le voyant, il reprit vite le dessus cependant. Sans doute les gardes qui firent leur apparition. Six en tout, armes apparentes histoire de poussé l’intimidation. Il s’installe en silence sur des banquètes en cuir, il est le seul qui n’entend rien, insolent jusqu’au bout. L’autre parle, mais lui n’entend pas, il lui fait comprendre d’un geste, puis prend son temps pour éteindre et glisser le casque hors de ses oreilles afin de le mettre sur son cou. Il le regarde quelques instants puis recommence sans doute.
- Que veux-tu ? Ah… Très bonne question, le problème étant de lui dire en douceur de lui rendre sa boite et de se casser avant qu’il ne décide de le tuer.
- Ce que je veux, ce qui m’appartient. Ne le prend pas méchamment, je suis content que tu te soi si bien occupé de l’endroit, c’est un nouveau bureau derrière toi ..? Très joli…
- Ecoute, tu es mort, Le partage a été fait. Et j’ai hérité de l’Underground. Ne pense même pas pouvoir changer ça. A l’époque tu avais une certaine réputation, mais maintenant, tu n’es plus grand-chose, il faudra te faire une raison.
- Une raison ? Cela fait 10 ans et tu crois être en droit de dire que cette boite, que j’ai créé, que j’ai géré bien plus longtemps que toi et qui m’appartient, ne m’appartient plus ?
- Oui, j’ai les papiers qui le prouvent, tu ne peu pas y faire grand-chose.
- Falsifier je me doute. Mon testament indiquer bien que je donner tout à mes filles, hors c’est toi que je trouve à la place et mon notaire à miraculeusement disparu. Enfin passons, j’ai quelques questions et tu va répondre. D’abord, j’aimerais savoir qui commande ce merdier. Je sais très bien que ce n’est pas toi. Ensuite tu va me dire ou es passé ma thunes, et juste après ça tu me diras aussi pourquoi cette musique de merde qui ne fait que tourner en boucle sur cette putain de radio tourne en boucle dans ma putain de boite.
- Ecoute le vieux, tu n’es pas vraiment en état de négocier quoi que ce soi. Ici c’est moi le maitre, et je pense que mes gars auront plus de chance de te descendre avant que l’inverse ne se fasse.Les gardes commencent à attraper les armes, commencent à les braquer à droite à gauche. Commence enfin à vouloir s’entre tuer a coups d’arme de poing. En face de lui Le mioche sort un couteau papillon de l’intérieur de sa veste et le plante sur la table devant lui. Le regarde se demandant s’il doit le tuer ou juste attendre. Lui à la situation bien en main. Lui rallume sa musique. Et la garde en fond sonore. Il se concentre et fait son œuvre.
- Tu crois vraiment que perdre des hommes et même risquer ta peau va te permettre d’affirmer ton pouvoir ? Tu devrais leur demander de ranger leurs armes et les miens feront pareil.
- Sinon ? Je ferais mieux de te tuer pour m’éviter des emmerdes, j’aurai du faire ça bien avant. Quand tu étais à moitié mort dans ton lit à l’hôpital. Mais j’ai préféré te laisser crever à petit feu en espérant que tes gosses reviennent pour que je puisse faire en sorte qu’elles souffrent, encore et encore en gueulant ton nom. Malheureusement MOI je n’ai pas eu cette chance.
- Donc tu n’es pas le maitre a bord, tu a encore des trucs à me dire avant de me tuer ?
- Je pense surtout que tu aurais eu des surprises.Bien sur c’est à ce moment là que les détentes se pressèrent et que les déflagrations se firent entendre que les éclairs firent leurs apparitions et que des corps tombèrent. Lui s’essuya le front, puis s’appuya contre le fauteuil, l’autre devant le regarde abasourdi. Les corps de ses gardes au sol. Magie ? Armes défectueuses ? Un peu des deux. La conversation avait pris du temps car il savait qu’il en aurait besoin. La magie fait son œuvre, c’était fatiguant et réussir ne tenait qu’a un fil. Et maintenant il sourit Les mains derrière la tête caressant ses cheveux. Il monte le son de sa musique pendant que ses gardes viennent s’asseoir a coté du gosse devant lui. Il y avait pensé à son coup, faire fondre un morceau du percuteur pour l’empêcher de fonctionner correctement. Simple même si la vitesse a laquelle il avait fait ça aurait pu causer problème vu qu’il ne devait pas non plus paraître mal à l’aise sans attirer de soupçon, il était resté impassible. Le morceau en question permettait la rotation du percuteur et son diamètre était de 0.2 mm, plus rien pour tourner, plus rien pour permettre à la balle de partir. Et six hommes tombent au sol, pour le désir d’un seul homme.
C’est l’heure de l’interrogatoire.________________________________________________________________________________________________________________________
Il ressort de la pièce, il a eu ce qu’il voulait. Celui qui tient les ficelles il ne le connaît pas, un nouveau dans le coin. Il a ses filles et il les retrouvera, a coup sur. L’autre payera pour tout ce foutoire. En tout cas il a récupéré l’Underground et ça ce n’est pas rien. Il manque encore deux boites mais c’est déjà rassurant de voir qu’il n’a pas perdu la main, les choses n’ont pas tellement changé. Il devrait se préparer. Virer les cadavres, virer cette saloperie de musique et foutre à la porte cette espèce de clown qui cherche à se faire appeler Dj. La boite est fermer pour ce soir, on fait les comptes et on fait en sorte que les derniers gardes « s’en aille ». Les choses reviennent comme avant. L’organisation se fait rapidement, il vire ce qu’il n’aime pas et prend du nouveau pour se sécuriser. Le lendemain soir, la boite rouvrait. Magique. La musique change et il n’a plus besoin de son casque a présent, on peu en fin appeler ça une boite. Les investissements qu’on fait les autres sur lui sont fructueux finalement et avec ça il s’assure de ne plus manquer d’homme comme d’informations. Il collecte et se prépare au pire. L’homme qu’il doit affronter n’est pas une petite proie. Un millionnaire se plaisant dans le coin. Un mec qui s’ennuie au point d’acheter un immeuble et de le faire louer. Un mec qui veut s’amuser avec son business. Et bien il va s’arrêter, il ne fait pas partie de ce milieu et l’argent ne sert à rien contre lui. La nouvelle se répand, il regagne son prestige d’avant, il regagne ses boites l’une après l’autre, après que le personnel est fini de raconter l’histoire personne n’a plus eu envie de finir dans les égouts de la ville, étrange. Mais maintenant il y a ce building, c’est la tour qu’il va falloir faire tomber. Et ce n’est pas rien. Il s’en moque pour le moment, il doit trouver ses filles.
Le temps passe et il se fortifie, suffisamment pour qu’il puisse s’avancer vers le boss.
Limousine Time et en musique toujours. Il y entre et un homme l’y attend attaché. On peu faire des choses magnifiques avec un peu d’argent, et cette espèce de boudin entièrement attaché, perdu et chialant, ça c’est magnifique. On aurai pu s’attendre a mieux, mais ce gars là ne fais confiance qu’a son chauffeur, chauffeur parti en vacances définitive pour l’occasion, les gardes avait été payés pour partir un peu plus loin et puis il faut bien nourrir les rats. Il sort un couteau de sa poche et commence à retirer le bâillon, il incise la gorge, suffisamment pour que du sang coule en grosse goutte. Laisse la lame non loin.
- Alors mon vieux, comment ça va aujourd’hui ? Tu n’as pas quelques mots à me dire ?
- Je, je suis désolé… Pitié laissé moi partir !! Je vous dirais tout mais par pitié laissé moi partir ..!
- Ah oui vraiment ? Commence par le début. Ou bien non, commence par me dire ou sont mes filles !!
- Que.. Quoi vos filles ?
- Bon tant pis, une autre fois disons ? Dans l’autre monde ça vous va ?
- Non attendez !!! Je connais un homme, il vous dira ou elles sont, dans mon téléphone .. !
- C’est tout ? Très bien, je te relâche, mais tu va me devoir la vie, et crois moi qu’elle vaut cher et qu’il faudra payer, mon... « ami ». Maintenant fou le camp !Il ouvre la portière et d’un coup de pied l’éjecte, il y a moyen de faire pas mal de chose avec ce téléphone. Quelque chose cloche en tout cas, c’est impossible que ce mec est seulement pu avoir les couilles pour s’accaparer ses boites. Il avait plutôt la gueule d’une tirelire. Maintenant il fallait trouver celui qui était la dessous. Vite avant que ses filles soi mortes.
Retour a l’underground, la soirée bas son plein, il aime bien y rester, ça lui rappelle de bon souvenirs. Pas juste l’interrogatoire de tout à l’heure, mais ces filles courants un peu partout. C’était drôle..
Et puis soudain, explosion pendant qu’il rêve a ses vieux souvenirs. Il prit juste le temps de se protéger par reflexe, coup de chance. Dommage mais le gars a ratés son coup, un bouclier anti flamme ça sers. Il tombe a genoux par terre du sang coulant de ses oreilles, il s’était bien protégés, mais là c’était trop d’un seul coup. Comme se prendre une brique dans la gueule. Il n’entend plus rien il a du mal a voir le sol devant lui pendant que du sang sort de son corps et coule sur son torse. Il ne comprend pas, il est perdu. Il voit une paires de bottes noires arriver, trois lames accrochés a une main. Il n’arrive pas à lever la tête plus haut. Terrasser par la douleur alors que ça fait moins d’une minute. Avait-il été trop gourmand ? N’avait-il pas suffisamment arrosé les différentes familles, ce prendre une crasse pareille n’était vraiment pas concevable. Seulement… il comprenait finalement. Il avait eu raison de penser que quelqu’un avait été derrière tout ça. Il en avait trop fait pour eux et eux avait les moyens de trop en faire pour lui, saloperie de monde. Il ne voulait pas crever, ni retomber dans le coma encore. Et ça. ÇA voulait dire qu’il n’allait pas crever. Il ne voit que les chaussures devant lui tandis qu’il flanche toujours, complétement sonner.
- Je vous en supplie, je vous en supplie… CREVEZ !!! RAAAAAAAH…………Usant de la force qui lui reste, il se relève et fonce contre l’homme devant lui, le soulève sur quelques mètres tout en criant comme jamais, déterminer à ne pas tomber et a tuer cette saloperie d’assassin. Et finalement le vide, le vide pour lui, il le jette à travers la vitre brisée et le laisse s’écraser 10 mètres plus bas sur le dos et le regarde en se taillant la paume de la main sur le verre. S’il n’est pas mort ce con allait surement être achevé par les gardes. Il est sourd et n’entend plus rien, mais il se retourne, il a senti un regard dans son dos. Le borgne regarde, et le borgne pense que c’est foutu. Il y en avais encore cinq comme ce mec, tous le même modèle, le même putain de visage froid qui le regarde, trois lames accroché à chaque main droite de ces enfoirés. Il a beau être blessés il n’a pas le choix. De toute manière il a bien compris qu’il savait pour son pouvoir, sinon il serait parti juste après la bombe. Il y a des flammes dans la pièce. Le souffle a balayés les meubles et il avait eu une chance insolente d’être encore en vie maintenant il n’avait pas le choix la porte n’était pas a portée. La fenêtre n’était pas une solution, il devrait se battre jusqu'à ce que ces gardes arrivent s’il n’était pas déjà mort. Derrière lui, il entend un son et se retourne à moitié, c’est le gars qu’il a envoyé volé qui revient à la charge il a du sang qui coule sur le visage tandis que en équilibre sur le bord de la fenêtre il se fait craquer les cervicales. Le visage froid, impassible. Les autres le regarde attendent. Il recule un peu. Demande une minute. Les autres ne bouge pas intrigué. Il met son casque mais la musique à fond.
Il change le rythme, enlève la techno et passe à autre chose… Let The Bodies Hit The FloorCe n’est pas toujours comme ça, occasion spécial, idée spécial.
Il regarde la bande de Zombie décérébrés devant lui, ils commencent à bouger cherche à l’encercler, lui retire sa veste. Il aura du mal à les retenir longtemps et ils sont surement bien entrainés. Mauvaise situation vraiment, mais il reste les flammes, il reste la volonté et il reste la musique. Tant pis pour ses filles, il les regarde d’un œil et sourie. Bêtement. C’est le moment de voir si l’entrainement a servit le moment de savoir si une bande de petits cons pâle comme la neige (pour retenir l’expression), sans doute la vingtaine, peu lui donner une leçon.
Il le regarde et lui regarde les flammes, le borgne regarde ses armes, ils sont couvert de cuir il faudra forcer sur les flammes. Il se colle contre le mur débouche une bouteille d’alcool boit une gorgée puis jette la bouteille, et sors le pistolet de sa ceinture dans son dos. Tir, vise juste et l’alcool se répand sur le visage de deux de ses mioches, les autres commencent à courir vers lui, lame en avant. Lui aussi se met en mouvement, lance une étincelle sur les deux qui trinques, brule. Lui se rapproche du gars de la fenêtre. Tir dans le bide pour être sur de ne pas le rater. Derrière lui les autres se rapprochent encore. L’autre se plie en deux sous la douleur, mais réussi a le blesser avec ses lames au bras gauche. Il passe derrière lui et le relève d’un uppercut en plein dans le visage s’aidant de son arme à feu. L’étrangle d’un bras tandis qu’il est sonné et se tient le ventre. Les autres s’arrêtent. Ce ne sont pas des lumières. Le regarde intrigué et lui se demande ce qu’il foute tandis qu’il les braque, tour à tour se dirigeant doucement vers la porte. Les torches humaines beuglant incroyablement, c’est beau la jeunesse. Il ouvre la porte, et s’arrête. Ils arrêtent d’hésité se jettent sur lui. Les lames transpercent leur copain. Tandis que lui dévale les escaliers. Sautant presque. Il se sent complètement éveillés. Il est complètement sourd. Et il ne regarde pas derrière lui.
Sourd ? Attendez, et la musique ? Il y a un problème ici. A moins que non… Peut-être entend-il directement dans son esprit, Le jukebox est en route de toute manière. Il est sur la piste maintenant. Il regarde en haut, il y ‘en a un dans les escaliers tandis que deux se jettent de la fenêtre. Il tir sur ceux encore dans le vide. Difficile d’éviter pour eux. Il tir trois balles, et une seul réussi à en toucher un au niveau de la jambe gauche, celui-ci atterrit tant bien que mal et se brise la jambe. L’autre arrive à se réceptionner parfaitement. Le gars des escaliers arrive aussi. Il hésite à tirer et soudain une ombre à la fenêtre, une des allumettes a réussi à s’éteindre, par contre ce n’est pas beau a voir, n’empêche que sont expression ne bouge pas. Il arrive à son tour d’un bon. Il en reste quatre dont un au sol en train de ramper. Il va essayer autre chose maintenant. Il enlève une balle de la chambre de son arme, la réenclenche pour en mettre une nouvelle. Il ne comprend pas que cette bande de con ne l’attaque pas tout de suite. Lui mord le cul de la balle et l’ouvre, jette la poudre en l’air. Il commence sérieusement a se fatigué, tant pis. Etincelle. Il maintient la flamme en l’air. La condense grâce a ses yeux, son bras droit s’engourdit, il n’arrive plus a le lever, entre le sang qui en coule et le fait qu’il est été coupé par leurs armes il se pose des questions. Soudain ils attaquent. Lui envoie sa boule de feu et tir avec son arme. Deux sont stoppés nette Le troisième enfonce une de ses lames dans la tête. Alors, est ce que c’est fini ?
Nothing Wrong With Me.
Nothing Wrong With Me.Il rate son coup. La lame passe le long de son visage coupe entièrement sa joue arrache quelques dents, coupe les muscles en bout de course et commence à s’enfoncer. Lui ne trouve rien de mieux à faire que de lui tirer une balle dans la tête en souriant, défiguré. La cervelle gicle et le corps s’affaisse. La lame ressort et lui tombe a genou encore. Une grande bande de con. Il tire une balle sur la bouboule de feu qui cours partout en criant, le faisant taire. Sa tête tombe en avant. Il l’a retient un peu avec un semblant de conscience. Il crache du sang et ses propres dents, lui qui voulait attendre avant le dentier..
Il vomit, finalement son putain de pouvoir n’avait pas fait grand-chose, trop nombreux. Il tombe sur le coté la tête complètement engourdie, au moins c’est fini, enfin si on oublie le mec qui traine son cul par terre pour fuir. Et la deuxième boule de feu là haut.
Il tousse, et crache ce qu’il y a craché. Il ferme les yeux et les rouvres. De nouvelles chaussures, d’autres lames. Six en tout, tiens le boss Zombie était là. L’abruti rampant s’approche, dirige sa lame vers le dernière œil valide du vieux, paralysée et incapable de bougé. Et puis la lame fil, le boss arrache la tête, ça n’est vraiment pas la même chose. Le corps du « novice » retombe complètement à terre, devant le vieux. La tête part s’écraser plus loin. Il regarde le boss du mieux qu’il peu mais n’arrive pas à voir la tête de celui-ci.
Tant pis.
Les lames plongent.
Ténèbres.