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| [C1 - Kagome] Little World. | |
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Chambre CKagome | |
Sam 20 Nov 2010, 19:13 |
| Coincé dans un monde qui ne lui appartient pas, coincé la ou aucun des siens n’avais mis les pieds, là ou il n’avais pas sa place. La ou chaque personne le regardant ne voyait qu’un chien errant, lui en eux ne voyait que des cadavres encore debout.
La justice dans le sang et une vengeance dans les larmes et la douleur. La colère en lui n’avait pas cessé de le brûler, lui rappelant constamment le pourquoi, avec des raisons qui ne faisaient qu’augmenter à mesure qu’il avançait, qu’il apprenait. Et finalement sa libération lui permettait tout ce qu’il espérait et cela même à son détriment. Au bout d’un chemin jonché de cadavres, il n’y avait rien pour lui, plus de foret, plus rien. Son ancienne vie était révolue, place au présent.
Parlons du présent ~
Quelle heure, quel jour surtout ?
~ Jour 2 depuis libération, Heure 3, Minutes 45. ~
Combien en tout ?
Blessés : 16 Morts : 7 Le bilan s’alourdit, mais le match continu.
Que dire là-dessus à part que la liste continue de s’allonger ? En une journée, il eu le temps et surtout l’occasion de faire sa part. De quoi se nourrir et surtout de quoi laisser le sang se répandre. Sa principale nourriture étant devenue l’homme, il avait mangé vite et beaucoup, du « fast-food » en quelque sorte pour que l'énergie perdue auparavant revienne, mais il lui faudrait quand même quelques temps avant de retrouver tout ce qu'il avait perdu.
Mais j’y pense! Peut-être voudriez vous savoir comment on peut passer de deux à sept morts ? A sa sortie il avait fuit, rapidement. Dans la cohue, il avait eu de la chance d’y arriver, les ruelles l’y aidant fortement. La police, pour certains, le poursuivirent, armés de leur pistolets Smith & Wesson ou d’armes de capture. Le problème est que dans ces petites ruelles, à la recherche d’un animal de taille moyenne alors qu’il peut se cacher pratiquement n’importe où, sans parler du facteur embuscade qui n’est pas envisagé pour un animal normal, l’Homme dans sa grande rapidité d’action fut complètement inefficace à quadrillé tout un secteur quand, tantôt il laissait passé un groupe, tantôt il l’attaquait. En bougeant et en se cachant à la moindre odeur, ce petit jeu réussissait parfaitement.
L’après midi fut long et pourtant il n’avait cessé de bouger. Quand la nuit tombât il se mit à fuir le plus loin possible, là ou des passages étaient encore ouverts. C’est d'ailleurs là qu’il se rendit compte de la taille du monde dans lequel il venait d’entrer. Il s’arrêta dans le parc du temple Sensô-ji , caché derrière un buisson a lécher ses plaies. Il se reposa. La nuit ne faisait que commencer, la lune se levant à peine. Il reparti à la chasse, sans hurlement pour la lune, dans le silence. Un loup blanc dans les ténèbres.
La route encore, rapidement il parcouru quelques kilomètres à très grande vitesse et finalement Kamagaya.
Passons à l'avenir ~
Dernière édition par Kagome le Lun 23 Mai 2011, 20:10, édité 2 fois |
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• Dieu Suprême •Gantz. | |
Lun 29 Nov 2010, 09:20 |
| Ryôma Igarashi, 32 ans. Joueur de base-ball professionnel (lanceur de relève) à la retraite, passionné de chasse. Son lancer le plus puissant va à 157 km/h, mais il sait aussi très bien se servir d’une batte. En tant que sportif, il est très endurant.
Le jour où le loup canadien Kagome s’était libéré de sa prison dorée (plaquée), Ryoma était venu avec son fils de 11 ans pour regarder les animaux du zoo. Incognito, avec des lunettes de soleil sur le visage, la célébrité avait regarder le loup affamé et apeuré, dans cet environnement inconnu, entouré d’humains niais. Dans la panique ayant suivie la mort du vétérinaire en costard, Ryoma et son fils avait fuient comme les autres, attendant que la police et le gouvernement règlent tout pour eux. Les bourgeois sédentaires tiennent à la médiocre sécurité de leur pathétique existence. Lui qui était un chasseur vétéran depuis quelques années déjà, il s’était retrouvé dans la posture de la gazelle qui, effrayée par le guépard, s’enfuit au milieu du reste du troupeau. Il s’en était rendu compte plus tard, lorsque, à l’abri, le baseballer avait réfléchi sur sa vie, son œuvre. Quel souvenir de lui allait-il laisser à son fils, lorsqu’Igarashi Ryôma ne serait plus ? Et à quel point ce souvenir serait-il différend de celui qu’il laisserait à ses fans ? Peut être qu’un jour, son fils ou son petit-fils rédigerait sa Bio, histoire de se faire de la tune.
Ryôma prit alors conscience que sa vie devait contenir quelque chose de plus qu’un sportif qui gaspille son argent avec des choses futiles par ce qu’il ne sait pas quoi faire d’autre avec ou qu’un « Super Man » qui s’enfuit en même temps que les hommes normaux, quand le vent tourne, malgré la présence d’un fils qui l’idéalise.
Alors qu’il était parti se préparer mentalement à ce qui allait suivre dans le temple bouddhiste Sensô-ji, de la secte Tendai, les mots de son fils lui revenaient en mémoire. Son fils aussi avait été blessé dans la cohue, piétiné par des passants affolés. La vulgarité de ses concitoyens était pour Ryôma autant source de honte que la sienne propre. C’est pourquoi il s’était préparé avec soin. Il avait d’abord prit une sacoche, dans laquelle il avait rangé trois mètres d’une corde solide et plusieurs steaks saignants dans leurs emballages, qu’il escomptait utiliser comme appât afin d’attirer la bête par des odeurs appétissantes. Sa bandoulière spéciale contenait un couteau de chasse, ainsi que cinq balles de Base Ball (une dizaine d’autres étaient rangées à l’intérieur de la sacoche), son téléphone portable, un appeau conçu pour imiter le cri d’une louve, ainsi qu’une carte de Tokyo. Enfin, il avait prit une batte avec lui, rangée dans un étui. Ryôma était un malin, il savait que le loup serait capable de reconnaître des armes standards. Mais contre une balle de baseball lancée à 150 km/h, serait-il capable de faire la différence avant qu’elle ne lui défonce le ventre ?
Des lunettes de soleil sur le visage, un long manteau pour couvrir son corps et sa casquette préférée sur le chef, Ryoma était parti pour un safari en pleine ville. Ryoma avait passé la ville au crible, cherchant à retrouver la trace du loup Kagome, en même temps que les membres de la fourrière, qui avaient décider d’accepter l’aide de chasseurs expérimentés en guise de renforts. Finalement lassé après plusieurs heures de recherches, au cours desquelsi l avait l’impression e jouer au « jeu du chat et de la souris » contre un professionnel, le joueur de baseball retourna chez lui à Kamagaya-shi, dans la préfecture de Chiba. C’est alors qu’il décela la trace du passage d’un loup, au détour d’une ruelle, car la pluie récente avait formée un peu de boue à cet endroit. Au lieu d’appeler immédiatement la police, Igarashi descendit de sa moto et préféra vérifier le sérieux de cette piste. S’il réussissait à capturer l’animal, il aurait probablement une médaille en guise de récompense.
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Chambre CKagome | |
Lun 06 Déc 2010, 18:34 |
| Une odeur, de la viande crue derrière lui. L’odeur aurait pu passer inaperçu, elle aurait dû même, mais comment dire par moment certains détails vous paraissent bien plus important que prévus. L’odeur était loin, faible et malgré le peu de faim qu’il ressentait, il voulus céder au caprice de savoir d’où venait cette odeur. Si la source était abondante il pourrait y revenir en cas de problème, c’était la raison qu’il trouva en tout cas pour revenir sur ses pas. Cela représenter juste un « 4 heures » avant de trouver définitivement un endroit pour se reposer.
Il revint donc en arrière, ne prêtant pas attention aux quelques voitures qui passai même à cette heure ci. Il ne sentait pas l’odeur de poudre aux alentours si significative de leurs armes les plus dangereuses. Malgré tout il restait méfiant face à cette simple odeur de viande crue qui l’émoustillait. Après tout il était seul et une seul erreur pourrait lui coûter chère.
Le paysage défilant a présent en sens inverse et des ruelles encore, pour changer bien sur. Les cartons vides des boutiques étaient son seul paysage, il préférait éviter de se faire voir sur les grandes routes, même si les petites avait malgré tout leur beau monde…
~ Little world I ~
-Mais franchement, pourquoi je suis la ? -Dans un petit appart avec famille recomposé, voila ou t’aurais du être. Mais bien sur l’oncle a besoin d’aide au restaurant pour ta chance. On y peu rien si les autres son morts dans un accident. - Je sais… mais je ne pourrais pas juste tout plaquer ? Toi tu t’en fou t’est planqué la haut et ta rien a faire… - Je discute avec toi non ? Te plains pas de ce que t’as c’est déjà bien… sortir les poubelles et nettoyer les tables *rire*, t’est payé pour en plus, pas une fortune mais l’argent ça serre toujours. - Ta le don de rester optimiste au moins, tu veux pas prendre ma place et le faire dis ? - Pourquoi pas oui… ça peu être drôle de contrôler ce corps et de ME taper le sale boulot alors que ici j’ai tout ce qu’il me faut. - J’ai l’impression de déjà avoir eu cette conversation, tu te répète tu sais… A ton age c’est normal de devenir gâteux ? - Drôle franchement, mais pendant que tu me raille y a l’autre qui t’indique deux putains de poubelles là, dans le coin. Aller au boulot ! - Je me demande comment je fais pour te supporter *soupir*, Aller hop c’est parti pour un tour, heureusement qu’il n’y a que 5 mètres entre les poubelles et moi, en plus de la porte… - C’est bieeen ! Brave petit tu te souviens du chemin, tu pourras même en profité pour faire une pause, a ton age t’en a besoin non ? La dernière était vers 2 heures, profite en pour fumé un coup j’en est envie et tu sais que ça te feras du bien a toi aussi. - Aller hop dans la benne, tougoudoudou je n’entends rien… - Pas la peine de m’ignorer tu va céder, baisse un peu les yeux, oui comme ça ! Tu vois le paquet dans ta poche voila, regarde comme il veut te faire coucou voilaaaa ! - Tu sais très bien que si mon oncle me chope avec ça je suis mort, tu fait chier. - Oui je sais, mais ta vu le monde dans la salle ta le temps de dormir avec lui et son resto qui laisse ouvert toute la nuit cette alcoolo… Et pas la peine de discuter t’en a envie aussi. - Attends, c’est quoi ce cleps à la noix, hep barre toi ! Pssst, va fouiller d’autres poubelles ! - Il est bizarre… Dis on l’aurais pas déjà vu ? Pis merde Fume un coup on s’en fou. Il va bousiller ta pause ce con. - Je sais plus, en tout cas il est plutôt gros celui-ci. Je me demande ce qu’il a bouffé pour être comme ça… En plus il se rapproche plutôt que de se casser, saloperie… - Putain de merde… COURS ! Ta vu sa fourrure, y a du sang dessus ! C’est cette saloperie de loup qui c’est tiré du zoo ! Ils en ont parlé aux infos, casse toi vite ! - De quoi ? Mais putain je pensé qu’ils l’avaient déjà capturé ! - Ferme la est cours ! Si tu crèves, je crève. Traverse la route en vitesse, y a aucune bagnole de toutes manière ! - Il est derrière moi je l’entend, pourquoi il n’attaque pas ? Je ne suis pas un jouet non plus. *Outch* - C’est bien le moment de se cogner a quelqu’un. Il a disparus t’as vu ? Ou est-ce qu’il a pu partir… - " Y’a un loup pas loin faut se barrer vite ! Il était derrière moi je sais pas ou il est parti, il faut appeler la police ! " - Tu sais y a mieux pour passer crédible… A 15 ans on va pas forcement te croire. - Oh ta gueule à la fin ! T’es qu’une voix dans ma tête. -Nya, nya, nya….
~ X ~
L’odeur, c’était l’homme qui la portait. A présent il était en train de cherche un autre chemin pour arriver dans leur dos. L’instinct de chasse, jamais d’attaque de front quand on peu. Le petit serais peu être sauf finalement… Mais tant pis, l’homme avait une meilleur odeur.
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• Dieu Suprême •Gantz. | |
Sam 25 Déc 2010, 13:27 |
| Ryôma Igarashi, 32 ans. Joueur de base-ball professionnel (lanceur de relève) à la retraite, passionné de chasse. Son lancer le plus puissant va à 157 km/h, mais il sait aussi très bien se servir d’une batte. En tant que sporitf, il est très endurant.
Ryôma inspecte la ruelle, consciencieux. Il effleure l’emprunte du doigt, elle est encore fraîche. Le loup est passé dans le coin il y a un moment. Une demie heure, une dizaine de minutes, moins peut être. Ou alors il est encore là, quelque part. La pluie a cessée depuis un moment. Ryoma n’a jamais senti de loup, peut être se dit-il que ça sent comme les chiens, quand ils sont humides. Alors le sportif renifle l’air pour savoir s’il est dans les parages. Se redressant, le joueur de base ball ouvre sa sacoche, tout en regardant autour de lui à la recherche d’un pelage blanc ou de l’éclair bleu de ses yeux. Se faisant, il rejoint l’abri d’un porche, un peu à l’écart de la ruelle. Il y avait de moins en moins de monde qui passaient par là, au fur et à mesure que la lune se levait dans le ciel et que le soleil diminuait à l’horizon. Prenant son portable, il utilise un mail préparé à l’avance et comble les trous destinés à donner sa localisation. Le mail en question a pour but d’avertir les membres de la fourrière à la recherche du loup qu’il pense avoir trouvé une piste, et pendant qu’il tape, l’athlète jette de fréquents coups d’oeils autour de lui, pour empêcher le loup de le prendre par surprise.
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Chambre CKagome | |
Jeu 17 Fév 2011, 21:42 |
| Penser… ? Inutile.
~ Un homme peu devenir un animal par ses actions, un animal peu devenir une bête par les siennes. L’erreur est humaine, la bestialité est animale. ~
Le Loup avance.
La fourrure Blanche humidifiée laisse perlé quelques gouttes négligemment. Il s’arrête un instant à l'écoute, repart. Il trouve ce qu’il cherche. Une petite ruelle qui lui permet de gagner du temps. Bien vite il finit par les voir de nouveau, le garçon est debout en train de crier, l’homme tente de le raisonner pacifiquement, la nuit laisse la rue dans les ténèbres, tout devient trompeur malgré l’éclairage suffisamment fonctionnel pour éclairer une grande part du chemin.
Le Loup avance, jouant tour à tour avec l’obscurité laissée par l’éclairage glissant lentement d'une ombre à une autre. Et finalement quand on finit par le voir il est trop tard. L’adolescent cours, l’homme se retourne, le Loup d’un claquement referme sa mâchoire sur le bras de l’homme qui eu le réflexe de se protéger, mais malheureusement le Loup ne voulait pas se contenter de planter ses crocs dans l’avant bras du Japonais et successivement balança de droite a gauche sa gueule jusqu'à déséquilibrer complètement sa proie et la jeter au sol. Quelques nouvelles secousses, le bras se déboîte et criant de douleur, l'homme attire l’attention sur lui Des lumières s’allument, des fenêtres s’ouvrent et la vie reprend. Plus le temps pour achever son entreprise morbide le loup se contente d’abréger les cries de sa victime froidement sans lui causer plus de douleur. La police allait arriver il devait fuir, encore. Un incident de plus sur sa route, pour certain une piste à prendre.
Tokyo… Il lui suffit de quelques minutes pour que les lumières qui s’étaient allumés disparaissent, il n’était plus temps de s’inquiéter de cet incident, mais simplement de s'enfoncer dans la nuit noir. |
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• Dieu Suprême •Gantz. | |
Mer 09 Mar 2011, 13:39 |
| Ryôma Igarashi, 32 ans. Joueur de base-ball professionnel (lanceur de relève) à la retraite, passionné de chasse. Son lancer le plus puissant va à 157 km/h, mais il sait aussi très bien se servir d’une batte. En tant que sporitf, il est très endurant.
Après avoir envoyé son message, Ryôma explore les environs du regard, la lampe torche braquée devant lui, une balle de base ball en main. La tension s'est évanouie, nulle trace de la bête. Prudent, il enfourche sa moto, avance lentement, à la recherche de la proie. Deux cent mètres plus loin, il l'entend. Les cris affolés d'un homme qui, entre les mains d'un prédateur cruel, sent venir la fin. Le sportif accélère, mais lorsqu'il arrive sur les lieux du drame, le loup s'est déjà évanoui. Son instinct l'avait prévenu de l'arrivée de ses poursuivants. Mais le sang qui dégouline de son pelage et de ses babines laisse des traces qui se répandent sur le sol.
Au-dessus de lui, une femme ouvre la fenêtre de son appartement, et la surprise se peint sur son visage en voyant un homme penché sur un cadavre ensanglanté. Igarashi se relève, essayant de ne pas avoir l'air d'un coupable, et sans trop y croire, il cri à la ménagère d'appeler la police sur le numéro vert mis à disposition pour la traque du loup en cavale. Sans s'expliquer plus avant, l'athlète enfourche sa bécane et part à la poursuite du loup. La trace est fraîche, se dit-il, mais il faut attendre d'être revenu au calme pour utiliser l'appeau. Attendre qu'il s'éloigne, attendre qu'il se sente suffisamment en sûreté pour approcher. Dans le pire des cas, il faudra peut être appeler des chiens en renforts, mais Ryôma fait confiance à la police pour ces détails techniques. Lui, il préfère agir en solo. Comme un loup.
La chasse promet d'être longue et ardue. |
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Chambre CKagome | |
Mar 19 Avr 2011, 18:15 |
| Il fuit, loin, plus loin qu’il ne l’aurait fait normalement. Les humains le répugnes. Il en est encerclés, il ne peu pas s’arrêter. Marchant au milieu des routes, se faisait insulter par les conducteurs car posant ses pattes la ou nul ne l’aurait fait. Les lumières défile le soleil se lève. Le temps passe, Il fuit de nouveau. Trop a découvert... Ils le tueront. Des rues vides il en croise, des écoliers le prennent pour un chien ? Mauvais choix. Une collégiennes s’enfuit laissant son petit frère. Peur. Restons en là, une victime de plus. Il coure de nouveau, il ne sait pas où il va. Une belle journée un peu fraîche s’annonce.
Il n’a plus faim, cela fait un moment que le sang et la chair humaine lui sont acquis, il tue simplement pour tuer, un concept nouveau pour lui, humain. La vengeance rend fou, la folie le couvre du sang des faux innocents. Il s’arrête se cache derrière une poubelle commence a nettoyer sa fourrure blanche. Dors un peu, se réveillant au moindre bruit se rapprochant. Il n’a pas le droit à l’erreur. Reprendre des forces pour continuer, cela faisait longtemps qu’il n’avait pas si bien senti ses muscles. Ils reviennent, son instinct lui montre comment les récupérer. Rééducation complète.
Rêvent-il ? Bien sûr, des rêves volatile, tous en rapport avec ses derniers fait. Il se voit dans une cage. Un homme lui sourie, du sang commence a couler de ses lèvres, son corps devient rouge. Le loup Blanc se voit devenir loup Noir, il sors de sa cage il finit encercler, tous le regarde, un sourire au lèvres, des milliers de visage qui l’encercle. De hautes flammes au loin derrière eux. Le loup devient fou il hurle et soudain les sourires disparaisse. Tous fuit, tous. Il est seul, il a réussi. Il se réveille puis se rendors, il se force a penser à la forêt, il y arrive.
Le temps passe, le temps s’écoule. Est ce que le chasseur peu en changer sa notion ? La chasse seras longue et fatigante. Une Heure se passe ici, le chasseur peut-il l’utiliser a bon escient ? Le loup se repose voyons si tu peu le déranger. |
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CivilShin Kokusei | |
Lun 16 Mai 2011, 08:06 |
| Ryôma Igarashi, 32 ans. Joueur de base-ball professionnel (lanceur de relève) à la retraite, passionné de chasse. Son lancer le plus puissant va à 157 km/h, mais il sait aussi très bien se servir d’une batte. En tant que sporitf, il est très endurant.
La bête avait changé de position depuis leur dernière rencontre, se faufilant et semant la panique sur son passage. Le corps des logisticiens de la police de Tokyo était parvenue à localiser à peu près la position du loup en cavale en étudiant son itinéraire. Toutefois, un loup peut être très endurant, en particulier quand il traque une proie. Cela donnait une certaine part aléatoire aux calculs des mathématiciens, mais sa position avait put être à peu près transmises aux forces de police.
Pendant ce temps, Ryôma avait lui aussi fais ses petits calculs, s'aidant des informations qu'il récoltait sur le terrain, et qui lui octroyait une meilleure coordination. Il interrogeait les passants de temps en temps, ou se contentait de suivre la piste sanglante. C'est ainsi qu'il finit par trouver une trace jusqu'à son adversaire. Celui-ci était reput depuis bien longtemps déjà, ayant eut son content de chair humaine à dévorer, et il ne tuait plus maintenant que par plaisir, par cruauté. En voyant sur son passage des jeunes innocents mutilés par les crocs et par les griffes de la bête sauvage, l'athlète sentit la colère monter en lui. Mais en chasseur expérimenté, il demeurait vigilant et minutieux, si bien qu'au bout d'une heure, il parvint à retrouver la piste de son adversaire et rattraper son retard.
Kagome était là, blotti dans un recoin obscur. Depuis le Ciel, un rayon de lumière descendait sur Terre pour faire scintiller sa fourrure. Leurs deux êtres sont aux aguets grâce aux instincts de leur nature animale. L'un est assoupi, l'autre est juste un peu fatigué, mais pleinement réveillé, contenant son excitation. L'humain se dresse à seulement une dizaine de mètres de sa proie, prêt à fondre sur elle. Mais il se souvient de sa propre nature Humaine, et des devoirs moraux qui lui incombent. Après tout, Confucius jadis ne tirait jamais sur un oiseau qui s'était posé sur sa branche, bien que cela soit plus facile. Et de même, un fameux sammouraï de jadis s'abstint d'attaquer le couple de renard qui défendait désespérément sa jeune progéniture. Afin de mettre hors d'état de nuire cette bête sauvage, Ryôma pouvait au moins le faire dignement.
Et sur ses bonnes résolutions éthiques de chasseur, destinées à se voiler la face quant à la boucherie sans courtoisie qui les attend, le joueur de baseball prend l'un des steak qui pourrit dans sa besace, il siffle et lui lance sur le museau. Le loup réveillé par l'agression nasale put alors voir l'humain, faisant sauter un étrange objet blanc et rond, qu'il rattrape à plusieurs reprises grâce à sa patte avant au pouce opposable, avec un sourire carnassier sur le visage, tandis que les yeux noisettes de l'humain sont fixés dans le regard azur du loup. |
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