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[A7 - Akane Ueno]Dans les ténèbres, la lumière fut

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Bannis
Akane Ueno
Akane Ueno

Fiche : https://gantz.forumpro.fr/t560-akane-ueno-valide
Nombre de messages : 399
Pseudo : Ueno
Surnom : Paratonnerre

Fiche Technique
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Équipement/Armement: Y-Gun (holster) + déclencheur externe – X-Shotgun (sanglé) – X-Gun (holster) - Treillis contenant boussole, deux brassards de nage, un képi, une paire de lunettes de soleil dans un étui semi-rigide - un talkie Motorola XTR446 accroché à la ceinture - masque anti-gaz filtre mixte - Contrôleur – Combinaison - raquettes de marche de fortune
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[A7 - Akane Ueno]Dans les ténèbres, la lumière fut EmptyVen 22 Avr 2011, 13:16

Il n’y avait guère eu de monde au métro, une chance parce que bon, une présence invisible se serait tout de même fait remarquer dans un wagon plein de monde. De là à évoquer des fantômes, il n’y aurait eu qu’un pas. Néanmoins, il n’y eut pas de tracas pour Akane qui débarqua à la station adéquate à peu près un quart d’heure après avoir refroidi des voleurs de petits commerces, doublés de violeurs à cette drogue qui se mélange aisément aux boissons alcoolisées. La militaire en avait retrouvé un peu sur eux. Ca et des couteaux à crans d’arrêt. Dire que dans des circonstances normales, elle les aurait quand même laissé vivre. Des fois, les situations extraordinaires, ça avait du bon. La militaire se demanda comment réagirait son invisibilité sous la pluie, alors qu’elle arrivait près de la base, mais le temps n’était plus nuageux à ce moment de la nuit. Elle sauta tranquillement la barrière, sous le nez des gardes, et s’enfonça rapidement au cœur de la base militaire. Ca faisait au moins un an qu’elle savait où étaient rangés les dossiers sensibles, le problèmes étant de parvenir à les consulter. Cette nuit, elle allait savoir pas mal de choses, et elle devrait en faire un usage modéré, parce qu’elle n’était pas censée détenir un tel savoir. Par précaution, elle évita les patrouilles parce que des chiens en faisaient toujours partie. Avec leur odorat, ils pourraient repérer, peut-être pas grogner après elle parce que la plupart savaient qu’elle était de la base, mais au moins montrer des démonstrations de joie, ce qui serait déplacé, pour la discrétion. Le fantôme de la base ? Mouais, pas sur et la jeune femme n’avait pas envie de savoir si son camouflage à haute teneur en technologie gantzienne pouvait passer au travers des lunettes de vision thermographiques, appelées aussi smartgoggles. L’ennui, avec ces lunettes, c’est qu’elle pesaient leur poids, l’air de rien, qu’elle faisaient voir tout en vert et rouge et qu’au moindre éblouissement, leur porteur se retrouvait aveuglé, avec parfois des lésions à la cornée, selon la violence de la lueur abrupte. En somme, comme les gardes n’étaient jamais à l’abri d’un éblouissement de phares de jeep, ils préféraient utiliser les bonnes vieilles torches, dans les zones moins éclairées de la base.

Ils avaient de drôles de manies, les soldats postés dans les bâtiments, c’était de veiller sur des portes grandes ouvertes, dans de grands halls d’où ils pouvaient voir toute approche ennemi et sonner l’alerte au quart de tour tout en défendant le fort avec bravoure, et tout, et tout. Après avoir vérifié la propreté de ses semelles, Akane s’engouffra dans le bâtiment et passa rapidement quatre contrôles, filant sous le nez de militaires qui pour la plupart avaient un œil sur leur fonction et un autre sur un magazine à basse teneur en érudition, ou alors en savoir sur le corps dénudé des filles de tous pays. Avec deux gardes par poste, ça faisait quand même deux yeux actifs et donc un garde vigilant … Akane arriva ainsi dans le sacro-saint couloir menant aux dossiers sensibles. Ainsi, dans le sacro-saint couloir menant aux dossiers sensibles Akane arriva. Elle tourna la poignée de la porte l’intéressant et entra. Une autre originalité de la base. Plus l’endroit était gardé, moins les portes étaient verrouillées, parce que les gardes avaient jadis gardé les clefs et on ne savait au final jamais qui les avait. Certains partaient même en permission en les oubliant dans une poche de leur uniforme … personne à gauche, personne à droite, une porte rapidement ouverte et refermée.

La pièce en question était éclairée rien que par dix ordinateurs constamment allumés, calculant toutes sortes de statistiques à longueur de journée, en attendant qu’un utilisateur leur demande un service un particulier, et ces gens là se comptaient sur les doigts d’une main, à la base. Akane se rendit directement à la grande armoire du fond, et fouilla dans les dossiers. Elle avait tout son temps mais elle préférait ne pas lambiner. Ce n’était pas dans sa nature. La première chose qu’elle chercha, ce fut dans le dossier des disparitions inexpliquées. Certains soldats disparaissaient corps et bien, du jour au lendemain. En fait, il y en avait peu même en sachant que Tokyo regroupait toutes les données du pays et de la zone Pacifique, comprendre, de l’Océan Pacifique. Veillant bien à tout remettre en place, elle parcourait rapidement chaque dossier, mais comme elle le redoutait, il n’y avait rien qui l’approchait de près ou de loin à Gantz. Si quelques militaires avaient disparu et participé aux mission de Gantz, jamais ils n’avaient réapparu. Elle orienta alors ses recherches sur des soldats qui seraient devenus brusquement très efficaces, ou alors encore plus performants qu’ils ne l’étaient déjà, avant. Avant quoi ? Avant un possible retour d’une chambre de Gantz. Elle découvrit alors trois noms. La lecture prendrait trop de temps. Elle se saisit de l’appareil photo, numérique comme elle l’avait pensé, en vida la mémoire et photographia toutes les pages de chaque dossier, veillant bien à ce que la lecture soit possible par la suite, que ça soit bien clair. Ceci fait, elle chercha dans les dossiers détaillant les litiges avec l’armée américaine qui coopérait avec l’armée d’autodéfense japonaise. Il n’y avait rien de concret là dedans, beaucoup de problèmes de territorialité, qui peut faire quoi, dans quelles limites, et cetera. C’est là qu’elle tomba sur son dossier, plus fourni qu’elle ne l’aurait pensé. Là encore, elle photographia le tout en s’appliquant à laisse les dossier comme elle les avait trouvés. Elle pensait en avoir alors terminé avec son expédition nocturne, assez lucrative sur un plan personnel, moins sur un plan collectif, lorsque son regard se porta sur un rapport d’entrepôt de matériel à la fois détruit et conservé, ce qui était pour le moins curieux. Dans le doute, elle figea aussi les données dans l’appareil numérique, puis ressortit comme elle était rentrée, sans être inquiétée.

Un coup de fil à son service lui apprit qu’ils n’avaient reçu aucun appel d’urgence durant la nuit, mais la foudre avait perturbé un peu les lignes alors … c’était possible. Un évadé de prison avait été retrouvé grièvement blessé après un coup de foudre. Bizarrement, il aurait volé du matériel militaire pour attirer le tonnerre sur lui. Peut-être une tentative de suicide ? Le psychopathe ne risquerait pas de parler dans l’état où il était. Akane feignit de découvrir cette nouvelle puis rentra chez elle, avec la ferme intention de dormir au moins dix heures d’affilées.

Six heures lui suffirent. Après une bonne douche, elle fit des essais avec sa tenue gantz, avant d’arriver à ce qui lui semblait être un bon compromis entre l’efficacité et le confort, clipant les pastilles du torse en arrière, ce qui lui libérait le ventre et la poitrine, ainsi qu’une partie du cou. Sa veste militaire et son treillis dissimulaient fort bien le reste. Tiens, elle avait même gardé le Y-gun de Takeshi. Mouais, bon, pourquoi pas. En attendant de lui rendre, elle le gardait sur elle. La militaire lit ensuite les informations dérobées tout en se restaurant, mais ce qu’elle découvrait relevait plutôt de l’anecdote. Ceci dit, peut-être étaient-ce des parties d’un puzzle, et entre les mains d’une personne comme Zurui, elles trouveraient leur véritable signification. A voir donc. Par contre, la lecture de son dossier caché fut bien plus révélatrice et pour Akane, ce fut comme si elle avait été plongée dans le noir avant que la lumière de la vérité se révèle à elle. En découvrant la vérité à son sujet, la japonaise poussa un soupir de soulagement en songeant qu’elle avait échappé à cette famille d’extrémistes, à ses yeux. Demander quelque chose à ces gens ? Pas question. Elle n'avait pas de famille, c'était mieux ainsi.

Akane passa la matinée à entreprendre une démarche prudente en vue de négocier du matériel qui serait pratique pour le groupe, à défaut d'être de pointe, quoique, on la jouant fine, elle pourrait peut-être avoir cet équipement censé avoir été détruit mais toujours conservé. Hélas, trois fois hélas, elle découvrit d'une part que ce qu'elle désirait récupérer avait été vraiment détruit, moins d'une semaine à peine auparavant, et d'autre part, elle découvrit que ceux qui posaient des questions trop indiscrètes risquaient de sérieux problèmes. Heureusement, elle avait agi avec prudence, mais si sur un plan personnel, c'était une victoire en soi, de continuer à demeurer libre, sur un plan collectif, c'était bien plus mitigé. De toute évidence, sa hiérarchie s'était déjà couverte, et Akane ne pourrait rien espérer d'eux. De surcroît, son supérieur lui ordonna presque de prendre quelques semaines de repos. Voila qui permettrait à Akane d'aider ses alliés à chercher dans une autre direction que l'armée. Bien sur, la jeune femme songea un bref instant à communiquer d'une façon ou d'une autre à sa hiérarchie la menace éventuelle que représentait Gantz pour le Japon, et peut-être même pour le monde entier, mais personne ne l'aurait cru, et puis elle n'avait pas envie que sa tête explose.

Nan nan, pas de migraine explosive, sans façon.

Libérée de ses obligations, Akane prépara son sac en vue de rejoindre le groupe à la demeure de Vargas, le soir venu. Elle apporterait de la bière fraîche, comme promis, quelques dossiers sans doute sans aucune valeur pour leur enquête sur Gantz, ainsi que ses économies, pour financer le matériel qu'ils se procureraient certainement sur le net, et qui représentait trois mois de salaire. Comme on disait, c'était l'intention qui comptait.
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