Mission A5 : (5) Rez de Chaussée


Himiko terrassa le cancer-seijin au sol d'un coup vertical, au milieu du front, puis mettant son pied sur l'épaule qui se désagrégait, la miko extrait le sabre d'un coup sec, avant de prendre la position médiane, la pointe à la hauteur de l'oeil, elle observait autour d'elle cherchant à saisir la présence de survivants de l'ennemi et de blessés au sein de ses alliés. Le vieillard en face d'elle a l'air épuisé par toutes ces émotions.

"Tout le monde va bien ? Ken, Oji-san, Otaku-san, monsieur le pompier ?"

Himiko rejoint Kentaro prêt de la fenêtre brisée par Vargas (Oji-san) et respire un grand coup. Le bon air pollué de Tokyo, enfin, c'est nettement mieux que l'air pestiféré des cancer-seijin ! Expiration. L'adolescent à côté d'elle éternue bruyamment.

"Il doit bien y avoir quelque chose pour te couvrir dans les vestiaires." Himiko jette un oeil vers Sakyo, étendu sur le sol. "Tu peux le traîner jusqu'ici, pour qu'il profite de l'air frais ? Je vais aller te chercher quelque chose."

Dans son esprit, elle a bien fait de venir les aider, sans elle ils ne s'en seraient pas sortis, Sakyo avait raison. Sauf peut être l'Otaku et Ken, lui s'en sort au corps à corps et l'Otaku a une bonne arme de tir, très efficace contre l'ennemi, la preuve en a été faite.

Fier de son exploit, Yarashin se retourna pour réitérer avec le dernier opposant avant de constater que celui-ci avait été mis à terre par le vieillard puis à mort par la snob.
Il concentra donc son temps à reprendre son souffle, se laissant doucement descendre adossé au mur.
Ses poumons ne lui permirent pas de répondre aux félicitations mitigées de l'appât qui partit aussitôt profiter de la fraicheur de l'extérieur. Et attrapa aussitôt un rhume.
L'otaque songea à lui confier sa veste avant de se rappeler l'attirail qu'elle contenait.
Il en extraya d'ailleurs trois clous dont il rechargea son arme.
Ceci fait, il posa celle-ci pour sortir son ordinateur.
Ouvrant un fichier il inscrivit le résultat de ses observations.

Code:

mission TS1 28102009
xenos
encens
démarche instable, sans doute facile à déséquilibrer
combustion interne, utilise des sacs pour stocker le gaz produit et évacuer la chaleur.
se consume à la mort.
projette à courte portée un gaz suffocant à dissipation lente via orifice buccal.
fragile, lumineux, chaud

Il en ouvrit un autre

Code:

Equipement recommandé
source de lumière indépendante
armement externe à la sphère
équipement contre le froid
système de communication (courte) portée

Il enregistra et referma son ordi.
Il avait enfin reprit son souffle et était désormais à même de continuer.
Il se releva et avança vers Himiko.
Arrivé à mi distance, il remarqua quelque chose de troublant.
C'est normal que la porte soit fermée?

Vargas touche le corps du martien à ses pieds avec la bequille pour vérifier qu'il était bien mort et se tourna vers la japonaise en kimono.

"Je vous remercie pour votre aider."

Du côté de Sakyo, il semblait ne pas y avoir eu de dégâts, heureusement. Ca avait été leur premier combat et déjà il avait cru la défaite à leur porte. Le pompier avait l'air de bien aller.

Puis Yarashin qui se tenait près de Kentaro et de deux corps émit une question à propos des portes menant vers le hall.

Le vieil homme passa devant la vestiaire 1 encore ouvert sur ses gardes et alla tenter de l'ouvrir mais rien à faire après plusieurs essaies impossible de pousser les portes.

**Qu'est-ce qui se passe.**

Il regarde par l'un des hublot et crut aperçevoir quelque chose callé de façon à ce que l'on puisse pas ouvrir les portes. Pourquoi un tel acte?
Quelqu'un avait forcément retiré la chaise.

"La porte est bloquée par un objet ! "

Konoe n'avait accordé une seule seconde au combat, trop occupée à garder les yeux fermés tandis qu'elle protégeait son aimé avec son propre corps. Lorsque les hostilités cessèrent, elle était encore affligée par le gaz.

Les joues inondées de larmes, elle se décolle de son sauveur pour le laisser respirer.
Ses deux mains inquiètes étreignent ses épaules alors que, en pleurant, elle appelle son messie dans l'espoir de le ramener à elle.

" Sakyo-sama ! Sakyo-sama ! Je vous en prie, réveillez-vous... "

C'était un étrange état que Sakyo supportait là. D'un côté, il sentait sa respiration saccadée lui souffrir les poumons et la gorge, mais d'un autre, il se sentait comme reposé. Les yeux fermés, il ne semblait plus vraiment vouloir les rouvrir. Pourtant, il était à peu près conscient de ce qui se passait là. C'était un état qu'il avait déjà connu en cours, plus ou moins. L'état où l'on ferme les yeux en écrivant ce que dicte le professeur. Sauf que là, sentant une étreinte autour de lui, il devina que ce devait être Konoe. Il l'avait serrée contre son buste tout en sachant qu'il y avait une créature, sans pouvoir faire quoique ce soit d'autre. Et tandis que l'agitation s'accumulait autour de lui, l'écrivain s'assoupissait un peu plus pour finalement ne plus avoir conscience de quoique ce soit.

Chose qui changea au moment où il sentit un choc dans ses côtes. Il commença à rouvrir les yeux. Sa vision était complètement floue. Cependant il réussit à deviner qu'un combat se déroulait, sans pouvoir identifier qui que ce soit. Mais ce fut la seule vision qu'il put avoir. Il se rendormit alors, réussissant étrangement, tout de même, à se faire quelques réflexions.

*Bon sang... J'étais préparé! Je pouvais l'avoir! Comment j'ai pu me faire avoir de la sorte?*

Peu de temps plus tard, il sentit une vague d'air frais prendre la place du nuage gazeux qui l'étranglait. Ses lèvres et ses narines ne lui brûlèrent soudainement plus. Cependant il était encore très fatigué par le gaz soporifique qui l'avait semble-t-il assommé. Décidément, il faisait un bien piètre chef de groupe...
Ce fut au tour de Konoe de provoquer le réveil partiel du jeune écrivain. Comment à son habitude, elle pleurait, et cela il le comprit, sans toutefois essayer de la consoler. Il était bien trop fatigué pour reprendre le rôle de celui qui se souciait de tout le monde. Réussissant à trouver la force de poser sa main sur la nuque de la demoiselle, il eut inconsciemment le réflexe de rapprocher la tête de l'adolescente contre son buste, lui offrant un enlacement des plus agréables, alors qu'il n'avait en fait cherché qu'à trouver la force de se relever. Petit à petit, il défit son étreinte pour réussir, seul, à se lever.
La tête plus en hauteur, il comprit un peu mieux ce qui se passait. Il n'y avait plus d'action, et c'était tant mieux. Il sut aussi percevoir la source de l'air frais: une fenêtre cassée. Ramassant son fusil, il se rapprocha de cette dernière pour inspirer une énorme bouffée d'air frais. La brise hivernale vint le réveiller beaucoup plus tandis qu'il se donnait quelques claques pour reprendre un peu plus conscience. Lorsqu'il jugea que c'était bon, il regarda autour de lui. Deux martiens étaient tués et tout le monde était là... Et lui, il avait été le premier à tomber dans le piège alors qui s'était préparé...

"Merci à vous tous... Vous vous en êtes bien sorti..."

Il se pencha un peu plus sur les cadavres. Il se rappelait en effet qu'ils titubaient et qu'ils avaient clairement l'air d'être "toxiques". Il n'en fallait pas beaucoup pour deviner que les ampoules étaient certainement déclencheurs de bombes, d'infections ou autres choses. Fulminant contre lui même en voyant qu'il n'avait même pas été capable de se battre, il remit tout de même son fusil en joue entra dans les stocks, déjà préparé à donner un éventuel coup de "baïonnette" sur les jambes de ces abominations.

"Je vais inspecter la salle. Merci encore, sans vous j'aurais certainement eu plus de soucis que prévu..."

Devinant que Konoe le suivrait, il entra sans entendre. Il se sentait assez réveillé désormais, même si cette seconde expérience gazeuse ne lui avait pas vraiment été bénéfique.

Les paroles de la princesse finir par le ramener à la normal, le combat en avait lui-même évacué beaucoup, mais la légère attention que lui prêtait la princesse fut quand même d’une grande aide pour repasser du coté gentil de sa personnalité.
Il aurait aimé la remercier pour ça mais il serait passé au rouge au niveau des joues est c’était pas tellement le moment vu que ses bras eux commencer a passer au violet à cause du froid.
Plus tard peu être montrerai t’il sa reconnaissance. En entendant le reste des paroles son cœur se réchauffa (au sens figuré bien sur), mais plus tard les hormones, plus tard….

Il acquiesça malgré tout et se dirigea vers Sakyo qui avait un regard bizarre, il avait du inhaler ce que lui avait réussi a éviter grâce à l’apnée, ça aurait put lui arriver, vraiment redevenu gentil ce petit. Enfin il arriva un peu tard vu que celui-ci repris connaissance et repartit à la charge sans plus de précautions alors que deux minutes auparavant il était au sol complètement amorphe à cause des monstres.

Lui en attendant trébucha sur un objet au sol, peu être un cadavre difficile de réfléchir ou de voir quand on tombe. Et alla au sol n’ayant rien pour l’arrêter dans sa chute. Ses mains claquèrent au sol s’étant réceptionné sur les paumes de ses mains légèrement encombrés.

- « ça va j’ai rien, j’ai l’habitude… »

Il se releva peu être le froid le rendait-il plus vulnérable déjà la maladie revenait et ses maladresses aussi.

Sakyo avait retenu sa respiration et avait surgit dans l'entrée, près à frapper n'importe quel ennemi qui pourrait venir là. Heureusement ou non, rien de ne se manifesta, et il put inspecter la pièce sans encombres. Mais malheureusement, il n'y avait absolument rien d'utile... En tout cas rien qui puisse servir d'arme ou même des médicaments qui soient susceptibles de soigner quelques maux. Cependant, il réussit à entrapercevoir dans l'obscurité une boîte remplie de masques hygiéniques, encore sous film plastique. Etant donné ce qui venait de leur arriver, ce serait sans doute très utile s'ils tombaient encore une fois face à des adversaires comme ceux qu'il avait vu auparavant. Il prit donc un des masques et les rapporta dans le couloir, posant la boîte sur le sol après avoir annoncé sa trouvaille.

"J'ai trouvé des masques. Prenez-en donc, ça devrait nous aider face à ces choses là." dirigeant encore une fois vers l'une des fenêtres que Vargas avait brisée, il inspira encore et réitéra les claques nécessaires à son réveil partiel. Il allait un peu mieux, mais ce ne serait pas encore totalement suffisant. Sans doute qu'il recouvrerait ses forces avec le temps... En soit, l'air frais était inutile à sa situation. Cependant, les masques l'aideraient grandement dans un prochain combat. Il pourrait respirer un peu mieux et surtout, il serait moins sujet au gaz soporifique et à l'irritation. Seuls ses yeux seraient en proie au danger, mais étant donné qu'il voyait déjà mieux, il ne se posa pas plus de questions.

C'est alors que le contrôleur se manifesta encore une fois... Deux points rouges dans une autre salle. Elle n'était pas vraiment éloignée, ce qui infligea à l'écrivain - malgré son état semi-second - un frisson qui le paralysa sur place. Cela dit, au moins, ils seraient sûrs de tomber sur des ennemis et ils étaient de nouveau préparés. Regardant autour de lui, il constata un peu mieux la situation et se rappela (enfin) que Vargas avait déclaré que les portes par lesquelles ils étaient passés étaient fermées...
Ces choses étaient-elles seulement assez intelligentes pour pouvoir bloquer une porte de la sorte? Alors qu'elles ne pouvaient même pas tenir sur leurs jambes... Sans pouvoir apporter plus de réponses, il récupéra les clés qu'il avait laissées sur la porte des Stocks pour faire une annonce à tout le monde.

"Il y a encore d'autres ennemis. C'est cette salle là." (il montra du doigt la salle principale du personnel, ainsi se nommait-elle)

Se rapprochant d'elle, il parcourut les clés sur la serrure avant d'enfoncer l'objet définitivement. Il ne restait plus qu'à tourner le loquet, mais à cet instant, un nouveau sentiment de peur lui parcourait l'échine, se mêlant à la fois à une vague de fatigue qui venait lui clore les yeux. Alors qu'il avait été entreprenant au premier abord, il se recula pour s'adosser au mur adjacent.

"Ce gaz m'a assommé... Je peux pas encore ouvrir la marche, désolé... Il me faut juste un peu de temps."

Sans même savoir s'il parlait à quelqu'un, à l'assemblée ou à lui-même, il essaya de reprendre une posture en se forçant au réveil. Contractant ses muscles, bougeant sa tête de tous les côtés, il essayait d'évacuer la fatigue en se préparant à un nouveau combat. L'adrénaline allait très sûrement le réveiller d'un coup, mais actuellement, il n'arrivait pas à se rendre compte, même en tant que vétéran, que les deux points rouges étaient une menace réelle. Il ne pouvait définitivement pas se jeter dans la gueule du loup maintenant. Il lui fallait juste quelques secondes. Rabaissant le masque, il tentait de respirer encore avant de se rendre compte que cela ne servait encore à rien. Aussi, il le remonta, se résignant à sentir la buée de son souffle contre le tissu.
Cependant prêt à un éventuel danger, il avait levé son fusil vers la porte, même si cela semblait être une posture un peu trop désintéressée.

Kentaro, gêné par l'attention de la noble dame, ne répondit rien, se contentant de la regarder en rougissant. Himiko le laissa seul, allant auprès de Vargas où il avait trouvé une blouse de médecin, puis se rendit à grands pas en direction de l'adolescent maladroit, qu'elle recouvrit pour le protéger du froid.

"Ca ira mieux comme ça ?" Dit-elle à Kentaro.

Après qu'il lui ait répondu, elle remarqua que de nouveaux ennemis étaient apparus et que Sakyo avait trouvé des masques hygiéniques ; elle prit la décision d'aller en chercher un avant que la situation n'empire. Ce faisant, elle prit Kentaro par la main, le forçant à trotter derrière elle jusqu'aux masques. Elle en enfila un et donna de nouveaux ordres / conseils que personnes ne suivrait, à moins qu'ils n'aient compris qu'attendre Sakyo les mèneraient à un nouveau désastre.

"Regroupez-vous, l'issue est bloquée, nous n'avons plus d'autres choix que d'avancer. Prenez chacun un masque pour vous protéger des attaques au gaz de ces choses. Sakyo-san, continuez de vous reposer pour le moment, mais restez attentif. Kentaro et... le type avec le pistolet à clous, venez avec moi, nous allons nettoyer la salle suivante."

Puis, elle alla se positionner devant la salle de repos du personnel, essayant de regarder à travers une fenêtre pour voir ce qui s'y trouve. Prudemment, Himiko avait activée la fonction d'invisibilité de la machine fixée à son poignet et gardait son sabre en position haute sur le côté droit, prête à frapper tout ennemi qui oserait paraître face à elle.

Yarashin, déçu par la trouvaille de Sakyo, et alla vérifier de lui-même le contenu de la pièce.
Il avisa une boite à outil contenant divers ustensiles dont un marteau dont la tête massive évoquait des monceaux d'index douloureux.
Il prit un des balais et tata le manche : de l'aluminium. Creux.
Sur ces réflexions, il posa le balai sur un seau retourné, extrémité à brosse dépassant du bord et entreprit de le défoncer à l'aide du marteau.
Le balais céda facilement et relativement proprement, comme n'importe quel outil en promo, contrairement au seau qui ne fit que se fissurer jusqu'à exploser en éclats lacérateurs de doigts.
Posant le manche abimé sur le sol, il cogna encore, aplatissant le bout et repliant ce dernier en une sorte de fer de lance vaguement pointu avant de stocker le marteau dans une de ses poches.
Il sorti avec son oeuvre, qu'il lança à sakyo avec une précision plus qu'approximative, celui-ci heurtant le sol dans un fracas sonore qui n'était pas sans rappeler celui qui avait accompagné sa création.
Euh, oui. Désolé pour le raffut.
L'appel de la snob lui servit de prétexte pour fuir les explications.
Il la rejoignit prestement.
Je m'appelle Yarashin Zurui, mademoiselle.

Il se redressa tant bien que mal, un léger sourire sur les lèvres, pour montrer aux autres que ce n’était pas si grave, même si il n’y avait plus grand-chose pour l’alimenter, ni quelqu’un pour le regarder, un détail entre autre que ce sourire.

Il sentit un vêtement glissé le long de son dos et finir par s’y arrêter caler sur ses épaules, vêtement blanc, une blouse. Il se retourna et vit la personne qui lui avait promis ce vêtement en même temps quelle lui parler, il ne savait pas tellement quoi dire et il dut s’y reprendre a plusieurs fois avant que quelque chose de cohérent ne puisse enfin être dit et c’est bien entendu tout rouge qu’il balbutia un « merci ».

Il mis ses bras dans le vêtements laissant doucement son corps se réchauffer à nouveau dans cette blouse trop petite pour lui qui l’empêchait de bouger ses bras, un problème vu la situation, il se dépêcha est arracha les manches en s’attaquant directement à la couture au niveau des épaules, heureusement la matière n’était pas très solide et lâcha rapidement, il retira les manches des deux cotés et les jetas à terre, ses bras à nouveau libres de leurs mouvement. De loin il devait avoir l’air ridicule une blouse sans manche montrant ses bras. Il avait laissé ouverte laissant voir du sang sec sur son torse, et une combinaison moulante en bas.

Revenons à un sujet plus simple, il avait fait ça rapidement mais ce ne fut pas sans surprise qu’il se surprit tout seul à glisser des coups d’œil à la princesse, il rougit encore ce n’était pas dans ses habitudes de s’arrêté à ce genre de chose pourtant il ne pouvait s’en empêcher.Et je vous assure que quand elle pris sa main et quelle l’emmena près des masques…(qu’il trouvait ridicule en faite, tant qu’a mourir garder un peu de dignité en tant que cadavre…N’aller pas non plus dire qu’il est mal placé pour parler de dignité parce que c’est faux, il sait ce que sait et il en à ! )
Il put sentir son visage rougir très très fortement, il avait trop de questions a se poser la dessus pour réfléchir à une quelconque chose et il chercha méthodiquement dans son esprit une douche froide quelque chose qui l’empêcherai de trop rester sur ce sujet.

* Pense à…. Pense à lui là haut qui est peu être mort tiens, ça va mieux maintenant ? Tant mieux …*

Une douche froide qui le détourna immédiatement, il devait se concentrer pour le moment. Revenons en au reste, il attrapa un masque mais le relâcha bien vite il n’aimait pas ça, autant faire de l’apnée qui était risqué mais sûr plutôt que de faire confiance au masque sans test au préalable.
Il entendit ensuite la princesse et la suivis, par devoir mais aussi et toujours parce qu’il n’arrivait pas à changer son regard qui la fuyait par moment, mais qui revenait tel un aimant sur elle.

Tandis qu’il avancer vers la porte à sa suite, il se frappa au visage de son poing suffisamment fort pour que que ses pensées redeviennent net, il saigna d’ailleurs légèrement du nez, mais ça se voyait a peine.

- " Je passe devant et vous me suivez tout les deux, on investis la pièce en pyramide et on s’occupe de ce qu’il y a à l’intérieur. "

Sakyo avait ouvert la porte maintenant il ne restait plus qu'a avancer. Il ferma les yeux pour qu’il s’habitue aux ténèbres pendant quelques secondes et se jeta à l’intérieur ouvrant le battant rapidement les yeux grands ouverts à la recherche d’un ennemi prêt à utiliser ses armes.

Surprise personne ne bouge, j’ai dit pas bougé vous êtes pénible quand même…

Deux médecins, ok.
Scalpel, ok.
Sang, ok.
L’opération peu commencer.
Tiens le stagiaire qui rentre, ne serait-ce pas lui le patient vu qu’il est seul ?

Entré en scène du jeune homme, tiens lui aussi serait médecin il porte une blouse.
Entre confrère on devrait se comprendre.

L’opération reprend, les deux médecins se jettes sur lui, de surprise il ne s’attendait pas a une telle proximité, il repris son équilibre en positionnant son pied droit en avant, le médecin est plus rapide que lui en faite. Le bras tenant l’extincteur, fut coupé par l’habileté du docteur. Une large entaille ce dessiner sur son bras.

Mais même si elle n’était pas inviter à l’opération, il sentait l’adrénaline dans ses veines qui les enflammait en même temps que la douleur parvenait a son cerveau il parvint à l’ignoré pour le moment. Faut dire en même temps que le docteur jouer du scalpel lui avait préparé son autre arme en contre directe et c’est ainsi que pendant que le docteur lui découpait le bras à la vitesse d’un éclair que lui le voyait presque au ralenti, un filet de bave dégoulinant de ses lèvres tandis qu’il croyait percevoir un sourire sur le visage du faux collègue médecin, ancien très bientôt, qu’il contra son attaque.

La trajectoire ne faisait aucun doute, la tête, son scalpel géant à lui aller pouvoir faire ses preuves a nouveau, il l’envoya de toutes ses forces la lame faisant une large courbe directement vers le médecin. Le bras baissé du médecin après qu’il est attaqué ne laissé plus rien comme protection.

Finalement la douleur vint en même temps que la lame devait touché cette chose, il ne devait pas la sentir, la refoulé et vite car derrière le médecin il voyait déjà un autre qui l’attendait.
En finir avec celui-ci est avancé encore.

Il ne savait pas ce que faisait les autres derrière lui mais il était en première ligne et il devait se dépêcher d’en finir, déjà son bras ouvert commencer a saigné abondamment sur cette large coupure, son bras serait immobilisé pour le moment.

L’opération chirurgicale n’était pas finie de toute manière,
Ce serais peu être a celui qui aurait le plus long scalpel qui sait…


[Action : Contre à l’arme blanche.]

Le membre 'Kentaro Miyuchi' a effectué l'action suivante : Destin

'Destin' : 10

Yarashin se tenait prêt, mas pas au point de voir un scalpel jaillir de la porte pour imprimer sa marque sur le bras de l'appât.
Oputincékoicetruc?!?
La lame était accompagnée d'un bras blanc surmonté d'un furoncle sur-dimensionné.
Remarquant finalement la tête lui tenant compagnie, il tenta d'aligner cette cible.
estimant être hors de portée des interférences de la victime actuelle du xéno, il vida la moitié de son chargeur dans un élan posé de panique forcennée.
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAArgh!

Par où commencer, voyons… Par la ou c’était fini la dernière fois tiens !
L’attaque sanglante porté au médecin morbide premier du nom, belle attaque, un peu plus et il ce serais pris pour un samurai même si il était plus habile de ses poings qu’avec un sabre, enfin le principe de la prendre comme une batte de baseball marchait bien.


* Theme *



« La balle approche et…Oui il frappe dedans !!!! Mais que se passe t-il ? Un liquide se répand sur lui. Pourrat-Il faire un homerun et ainsi finir son tour ?!! »

« Eh bien mon cher je ne crois pas, voyez vous le batteur commence a fatigué. Son entraîneur ma tenu au courant de toutes les infos sur lui et ce dernier a eu des problème de santé résolu il y a peu mais qui on laissé des marques, je ne vous parle même pas de son bras droit en mauvaise état. »

« Je vous rappelle qu’il est gaucher et qu’un espoir subsiste, oh mais que vois je, son bras droit laisse tomber sa batte rouge a terre et va se plaquer contre son ventre entaillé ! Il se retrouve collé au mur sans pouvoir rien faire, une décision s’impose, mais que fait-il ??? Il tombe a terre , ce n’est pas possible qu'une tel situation se produise habituellement a ce sport que va t’il bien faire ? »

« Que voulez vous il était pourtant si près de finir son tour remportant ainsi la manche… Quoiqu’il en soi le médecin est formel ! Si il bouge son ventre risque de s’ouvrir encore plus, la coupure est nette et risque carrément de laisser ses organes traînés et nous ne lui souhaitons pas ça bien sur… »

« Tout à fait et nous souhaitons par contre que le jeune public éteigne la télé, le sport devenant bien trop sanglant. Revenons au match que va faire le challenger a présent !!? Il ne lui reste plus qu’un joueur à mettre Out, baissera t’il les bras !? Mais quel sport magnifique que celui-ci, du sang des larmes, de la joie, de la haine que demander de plus ? »

« J’en profite d’ailleurs pour rappeler que notre sponsor… Oui le chauve là bas dans sa grosse boule noire… est particulièrement fier de notre équipe et espère juste qu’elle ira loin est… »


Du pus et du sang voilà tout ce qu’il récoltait, la satisfaction de l’avoir battu disparaissais en même temps que ce goût atroce arrivait a ses lèvres. Mais pas le temps de souffler le second fonçait déjà sur lui, d’un mouvement latéral celui ci l’attaqué avec son scalpel. Kentaro se recula pour esquiver le mouvement ample du médecin, problème il était déjà dans les cordes et il se retrouvait acculés contre le mur sans possibilité. Le scalpel fit son boulot.

Au premier abord ça piquait un peu, un peu quand on se fait mal la première pensé «ça va passé dis rien ça va passé ». La ce fut pareil pour lui pendant que la lame l’entailler et que la vague de douleur lui monter au cerveau.

Premier réflexe il lâcha son extincteur et porta sa main a l’entaille en même temps il glissa le long du mur et s’arrêta les fesses a terre. Un peu froid le mur…
Le monstre était en face de lui, il le voyait mal mais il ne pouvait pas le raté vu la distance.

Vivement il attrapa son sabre et le cala du mieux qu’il put le tenant d'une main.

* C’est le moment de percer les boutons part’naire…*

Le bouton agrandir j’espère, c’est fou ce qu’il voit mal, pourquoi tant de ténèbres, je crois qu'il est en train de partir, merde …
En tout cas il appuya dessus, le sabre en direction du monstre qu’il le regardait de haut. Pourtant il s'en moquait il ne devait plus bouger a présent et si ça ne marchait pas il aurait besoin d'aide car il était a terre est sans défense en plus d'être blessé...




[Action : Agrandissement/rétrécissement de la lame en direction du monstre, le choix au MJ / En train de tomber dans les pommes ]

Le membre 'Kentaro Miyuchi' a effectué l'action suivante : Destin

'Destin' : 11

Encore enserré partiellement dans les bras de Morphée, Sakyo entendait comme des sons caverneux parcourir sa tête. Sans savoir vraiment ce qui faisait ce raffut. Mais en observant le comportement des autres gantzers, il semblait que cela ne posait pas vraiment de problème. Aussi, il essayait d'évacuer le soucis du sommeil en sautillant sur place et en accélérant sa respiration. Peu de temps après, c'est Yarashin qui sortit de la salle d'où semblait finalement venir la cause de ses maux de tête. Ce dernier lui lança une nouvelle arme, une espèce de lance de fortune. C'était bien vu, tout de même... Créer une arme aussi vite, qui puisse contrer les problèmes sur l'équipement de Gantz... Il y aurait éventuellement pensé s'il avait vu alors une boîte à outils quelque part.
Ramassant la lance, il se rendit compte d'un coup qu'il se sentait déjà mieux. Légèrement plus réveillé, sans vraiment savoir ce qui causait cela. Peut-être était-ce le fait d'avoir cette nouvelle arme qui lui procurait un plus grand sentiment de confiance. L'écrivain ne comptait pas s'en servir en vérité, mais il se rendait compte alors que cet endroit regorgeait de quoi se défendre. Il fallait simplement improviser et tout le moyen de faire tourner ce lieu à son avantage.

"Merci Yarashin."

Finalement, il tendit son arme à Konoe qui était la plus vulnérable. Les autres ayant presque tous de quoi se défendre avec quelque chose autre que l'équipement gantzien, il considéra qu'elle en avait besoin plus que quiconque. Et notamment lui qui avait déjà sa baïonnette pour tenir les ennemis à distance. Avec cette lance, elle pourrait faire de même si elle ne pouvait pas attaquer.

"Tiens Konoe. Tu en auras besoin pour tenir tes ennemis à distance."

Mais à peine eut-il le temps d'effectuer son action que Kentaro avait commencé à ouvrir la porte, se retrouvant sous les attaques d'un des étranges médecins pustuleux qui étaient en face. De nouveaux adversaires, donc... Heureusement, le boxer réussit à esquiver l'attaque avec brio... Enfin, pas vraiment. Malgré son handicap, Sakyo avait vu un filet de sang s'échapper de son biceps. Cela dit, ce ne fut de toute évidence pas un problème, puisqu'il réussit à contrattaquer en éclatant l'amas de pus qui se trouvait sur l'épaule de la créature. Zurui qui avait enchaîné avec plusieurs tirs avait de toute évidence réussit à achever le monstre... Pour laisser la place au deuxième...
Le deuxième qui sut attaquer l'abdomen de Kentaro sembla d'un coup réveiller l'écrivain, qui vit là le danger qu'encourait son compagnon. Il avait été blessé deux fois... Maintenant que Sakyo s'était repris, il se devait de l'aider.
Sautillant sur place depuis tout à l'heure, cela additionné à la surprise de voir ces monstres puis la vulnérabilité de son coéquipier, il se permit d'enfin attaquer. Il fit sortir la lame d'une trentaine de centimètres de plus que le canon puis le pointa vers le ciel tandis qu'il chargeait vers le dernier ennemi debout. Lorsqu'il fut à portée, il visa l'épaule de la créature, puisque cela semblait être son point faible, comme l'avait confirmé l'assaut premier du boxeur. Retenant sa respiration, il espérait aussi que si le pus giclait, cela ne passerait pas à travers son masque hygiénique. Il était quasiment certain qu'il devait y avoir quelque chose de toxique à travers cela.

"Lâche le!" avait-il hurlé contre la créature.

Vargas reporta son attention sur ce qui se passait du côté de Kentaro et Sakyo qui avaient ouvert une nouvelle porte.

Il semblait y avoir une nouvelle attaque à en juger par l'agitation qu'il y avait. Le vieil sera la béquille qu'il tenait et se précipita vers le groupe attaqué de nouveau.

Un hurlement retentit, il ne savait pas comment l'interprêter. Est-ce celui d'un de ces monstres?

En approchant, du sang était visible sur le seuil. Il suivit le regard de Sakyo pour découvrir une nouvelle créature sortie tout droit d’un film d’horreur.

Il plaça la béquille en avant à la manière d’une lance.

Les lunettes de Yarashin protégèrent ses yeux contre la gerbe de pus qui purent constater le succès de son assaut.
Ouais!!
Ce ne fut pas le cas de sa bouche, grande ouverte, qui reçut le liquide en proportions notables.
La réaction aux vertus gastronomique de ce fin mélange de rance et de pourriture, amplifiée par une vue rapprochée de la peau tuméfiée du second zombi cuivré, ne se fit pas attendre.
D'abord une grimace, puis des crachats et des raclements alors que le lance-clou tombait au sol et enfin le bouquet final.
Le second martien, alors occupé à opérer l'appât, se prit le diner de l'otaque en pleine face.
BLEUARGH....

Du sang partout, une horreur bossue. Kentaro était blessé. Un martien à terre, l'autre apte à menacer la vie avec son scalpel.

"Ne le touchez pas !"

Vargas se laissa guidé par le feu de l'action, il fonca vers ce nouvel adversaire décidé à protéger ces jeunes gens et frappa de toute ses forces dans la direction du dos de la chose à la blouse blanche tachetée.

"Arrgghhh !"

Quand est-ce que cette mission se terminerait?

Il espérait le plus tôt possible mais en vue des attaques qu'ils subissaient, la fin n'était pas pour maintenant. Ca lui rappela que d'autres personnes étaient parties explorer les étages, il espérait qu'ils allaient bien.

L'intervention de deux nouvelles créatures hideuses et repoussantes avait finie par avoir raison de la bravoure de Konoe.

Désormais tétanisée, la jeune fille est collée au mur, fixant avec des yeux vides d'expression le spectacle gore et horrible qui vient de se terminer, aussi vite qu'il avait commencé. Serrant la lance artisanale donnée par Sakyo et confectionnée par Zurui, sa main porteuse tremble comme le reste de son corps.

Muette, il observe non sans crainte le corps du monstre allongé sur le garçon étrange et turbulent.
Son désir de fuir n'a jamais été aussi grand... courir, encore et encore, c'est tout ce qu'elle souhaite maintenant. Mais pour aller où ?