Ce que je souhaite juste vous rappeler, ce que si votre but est de
survivre, rien ne vous oblige à prendre part aux affrontements. L'issue
serait imprévisible.

Kentaro n'avait pas fait attention mais quelqu'un voulait lui parler
il ne voulait pas lui parler il se retourna et s'éloigna.

De plus en plus de monde mettait les combinaisons et les clans commençaient
à se former : Les invisibles, les débutants et les vétérans .Kentaro se plaçaient du coter des débutants peut être un mauvais choix stratégique mais il préférait protéger et rester grouper que fonçait dans la mêle comme allait le faire les vétérans .Bien sûr il faudrait se battre restait à laisser les autres faire et se ramener des points en tuant le monstre ne serait pas survivre cela reviendrait à se suicider .Kentaro en avait marre d'attendre a chaque seconde qui passait la pression augmentait. Il prit sa mallette et allât se changer dans le couloir la combinaison était très moulante, trop moulante à l'intérieur de la mallette il y avait aussi un holster pour accrocher une arme il dut ce déshabiller entièrement pour mettre la combinaison et il remit ces vêtements par-dessus la combinaison puis mis le holster sur son jean on ne voyait maintenant la combinaison que sur c'est avant-bras. Il y mit le pistolet en forme de X laissa sa mallette à présent vide et retourna dans la pièce principale. Sakyo était à présent assis contre le mur.

Tu as réfléchi à une stratégie pour tuer ce monstre ou tu veux juste défendre Mariko.

Il se tourna et regarda ensuite Vardec

Quand à toi si tu veux nous aider je veux bien mais saches que je ne te fait pas confiance.

Ça avait le mérite d'être clair .Son regard donnait l'impression qu'il se
sentait supérieur au autres alors lui faire confiance il lui faudrait du temps.
Finalement il se tourna vers Mariko se mit a son niveau et lui parla en la regardant droit dans les yeux

Mariko tu es peut-être sous le choc mais il vaut mieux que tu écoutes ce
que je te dis .Il va falloir que tu t'armes la combinaison te protège mais il faut que tu te prépares a te défendre toute seul sinon tu mourras.

La vérité était dur mais il valait mieux l'affronter maintenant que
plus tard en face du monstre.

L'imagination de Mariko à propos d'elle est d'Isao lui permit d'oublier un temps l'horreur à venir. La gamine aussi rouge que possible, ne sortie de sa rêverie que lorsque le policier adressa la parole au groupe des nouveaux, Reika mise à part.

- Bonne chance dans votre entreprise. Loin de moi l'envie de me risquer à intervenir dans vos affaire, mais si je puis me permettre, dans ce genre de situation, il vaut mieux n'avoir qu'un seul objectif et s'y tenir. Si votre but est de protéger Mariko, alors je vous conseille de vous tenir le plus loin possible du théâtre des opérations, avec, si possible, le maximum de détecteurs. Ces derniers vous assurerons l'invisibilité. Je ne peux, en aucun cas, vous garantir une totale sécurité, mais il y a une part de chances que les créatures vous laissent tranquille. Pour avoir participer à plusieurs missions, je peux vous dire que l'attitude qu'auront les créatures n'est jamais déterminé à l'avance. Certaines sont d'office hostiles, tandis que d'autres ne réagiront pas sans provocations.

Les propos du policier intéressèrent la jeune collégienne, les créatures ne sont donc pas toutes hostiles? Voila un renseignement qui loin de servir, lui sapa entièrement le moral, elle replia les jambes contre son corps, posant son menton sur ses genoux. Dire qu'en ce moment elle devait être au prés de sa famille, jouant avec ses sœurs, s'entrainer à la danse et révisé avec son beau père. La jeune fille qui habituellement ne dégageais que de la joie, ce retrouvée maintenant en pleine déprime.

- Quant à savoir ce qui se passe si on n'abat pas les créature, je ne suis pas, non plus, en mesure de vous le dire. Dans chaque mission à laquelle j'ai participé, il y avait toujours un volontaire pour démarrer les hostilités, et jamais aucune créature debout à la fin du round. Ce que je souhaite juste vous rappeler, ce que si votre but est de survivre, rien ne vous oblige à prendre part aux affrontements. L'issue serait imprévisible.

Ces phrases lui remontèrent quelques peux le moral mais la jeune fille restée toujours dans la même position fœtal, les autres personnes présentes, semblaient plutôt d'accord sur le fait d'exterminer la créature. Mariko ne savait pas trop comment imposer son point de vue.

- Je ne sais même pas si je dois prendre ce que vous dites comme une mise en garde. Ce que vous êtes en train de nous dire, c'est qu'on ne devrait pas se battre. Autrement dit, rester ici pour toujours. Et donc n'avoir aucun autre choix que celui de mourir. Tout le monde, dans cette salle, veut retrouver sa liberté... Sur ce, je n'ai plus rien à vous dire.

Mariko regarda Sakyo, elle déplorait cette réaction, l'inspecteur venait de leurs expliqué des choses et l'écrivain l'avait rembarré aussitôt. Puis ce fut au tour du dénommé Kentaro de s'exprimer sur les évènements à venir. Il commença à s'adresser à Sakyo, ignorant la présence du policier.

- Tu as réfléchi à une stratégie pour tuer ce monstre ou tu veux juste défendre Mariko.

Puis il ce tourna vers le noble, Vardec.

- Quand à toi si tu veux nous aider je veux bien mais saches que je ne te fait pas confiance.

Puis en dernier il s'adressa à la jeune fille.

Mariko tu es peut-être sous le choc mais il vaut mieux que tu écoutes ce que je te dis . Il va falloir que tu t'armes la combinaison te protège mais il faut que tu te prépares a te défendre toute seul sinon tu mourras.

La jeune fille outrée le regarda, déplia les jambes et ce leva. Elle jeta sa valise au sol, qui afficha clairement le pseudo que Gantz lui avait affublée. Enfin elle montra l'arme qu'elle tenait.

- J'attache de l'importance à la vie, j'ai deux petites sœurs , belles, intelligentes, joyeuses, une famille qui n'est pas dépourvue d'argent, qui s'entend très bien. Mon beau père, qui ce trouvait être l'amant de ma mère avant que mon père ne décéder de sa maladie, est quelqu'un de gentil qui m'aime comme sa fille et que j'aime presque autant que mon père. J'ai quelqu'un qui m'aime et que j'aime, et avec qui je souhaite passée le plus de temps possible. Ma mère indifférente à l'extérieur de son nombril ne m'a jamais vraiment apportée d'affection, je devrais la haïr, mais non je l'aime tel quel est. A trois reprise j'ai failli être violée, que ce soit par un groupe de lycéen dans le train il y a de cela quelque temps déjà, par le frère d'une amie, ou enfin par un.....un yakusa juste avant que je n'arrive dans cette chambre. Pourtant je ne hais pas ces personnes enfin pas au point de vouloir leur mort. Et ici même je devrais abandonnée ma personnalité, ma vie tout cela parce qu'une stupide.....boule..en a décidée comme cela.

La jeune fille regarda son arme et la jeta au sol. Puis elle regarda le policier.

- Je vous remercie de m'avoir exprimé cette possibilité, je préfère encore devoir revenir ici que de tuer quelqu'un ou même quelque chose. Si ma vie est en danger je sais qu'instinctivement je me défendrais, quand le yakusa à essayé de me p....je lui ai mordu la gorge jusqu'au sang. Mais je n'ai pas essayé de le tuer je n'y ai même pas pensé et pourtant dans ce chantier abandonné il y avait des objets pouvant permettre cela. Peut être que ma conviction changera lors de cette mission, mais pour l'instant je ne me battrais pas.

Enfin elle ce tourna vers Vardec, Kentaro et Sakyo.

- Kentaro, Sakyo je vous remercie de vouloir me protéger, je ne veux pas mourir, mais je ne veux pas que quelqu'un qui essaye de me protégeais soient blessés. J'essayerais de vous aider à survivre, et malgré que cela me répugne je ne ferais rien pour vous empêcher de commettre...votre..barbarie. C'est en contradiction avec mes principes, mais c'est le seul compromis que j'ai trouvée. Monsieur..euh..Vardec pour ma part je vous remercie de votre offre et même si mes expérience font que j'ai du mal à faire confiance au gens, je ne pense pas que vous ne soyer pas sincére et je vous remercie encore.

La jeune fille larme au yeux afficha son plu beau sourire et alla ce mettre assise dans un coin, seule.

[HRP: Post qui sera de qualité moyenne vue les conditions dans lesquelles je l'écris. Mais l'essentiel sera dit il me semble. Je vais pas rester sans répondre à Kentaro >< ]

Sakyo ne pensait pas engager de nouvelle conversation dans cette chambre. En vérité, il était en train de se préparer au moment où il allait devoir réellement agir. Combattre une créature... Ce genre de préparation, il ne l'avait vécue qu'en écriture ou virtuellement, grâce à quelques jeux vidéos. Mais ici, tout était différent. Il allait réllement risquer sa vie. Tout aurait pu bien se passer dans cette préparation mentale, si seulement son autre "allié" n'était pas venu l'interpeler. Sakyo eut le sentiment que Kentaro prenait un peu trop une posture de chef. Encore, si ce dernier s'était restreint à la vérification d'un plan, cela se serait bien passé. Mais la suite plut bien moins à l'écrivain.
Ainsi donc, la "barricade à bus" voulait savoir quel aurait été le plan que lui réservait Sakyo. Mais il n'y avait absolument pas réfléchi. Son but, pour l'instant, n'était pas de récupérer les cents points. C'était de survivre. Alors chercher à tuer cette chose, ce n'était que secondaire.

Je n'ai pas réfléchi à savoir comment tuer ce truc. De toute façon, on ne pourra avoir de "plan" que lorsqu'on saura réellement comment il est. Pour l'instant, je doute qu'on puisse aller loin avec ces informations... Alors je vais me restreindre à aider Mariko. Si je dois me battre, ce ne sera qu'en cas de défense.

La réponse fut donnée sans complexe. Mais lorsque Kentaro commença à avouer directement ses pensées à Vardec, Sakyo haussa le sourcil. En effet, ces propos étaient directs. Trop directs. A quoi pensait-il en disant de tels mots à un tel homme? Et sur quels fondements? L'écrivain, lui, se méfiait de ce noble pour une bonne raison: son air profiteur, à agir par intérêt. Il semblait bien, en effet, compter sur leur protection en restant en retrait, en se manifestant seulement au moment où il avait su qu'il risquait sa vie. Mais Kentaro, que pensait-il de lui pour oser lui dire cela? Se basait-il sur ces origines nobles, quasi aristocratiques? Dans ce cas, ce collégien n'était véritablement pas intelligent... Tout le monde avait besoin de s'entraider ici. Aller jusqu'à monter une telle méfiance au premier coup d'oeil, c'était une attitude qui ne menait à rien...
Mais la suite fit sortir Sakyo de ses gonds. Les mots du collégiens commençaient à paraître plutôt comme une bonne mise en garde, un acte de gentillesse. Mais cette directive, à annoncer directement la possibilité de sa mort à Mariko parut presque sadique pour l'écrivain. Il se leva alors, surplomba ses trois compagnons. Une tendance à être un peu trop franc. Chose un peu trop nocive aussi, pour lui... Il s'apprêta à parler, mais Mariko fut plus rapide que lui [HRP: Non, vraiment, j'étais en train d'écrire. T'as carrément été plus rapide ><]
Bien plus que ce que Sakyo comptait dire à Kentaro, elle lâcha tout ce qu'elle avait sur son corps. Ne manquant pas accessoirement de rabaisser l'écrivain au plus bas de son estime, lui rappelant ainsi pourquoi elle était là... ou plutôt... à cause de qui. Aussi, cette réaction par rapport à ce qu'elle dénonçait à présent comme un "acte de barbarie" retira au romancier son caractère "humain". Elle avait raison après tout... Ces monstres ne méritaient peut-être pas la mort. Et Sakyo se désola de s'être si peu posée la question de savoir s'il était bon ou mauvais de tuer ces choses. Mais encore une fois, il voulait vivre. Et il voulait aussi que Mariko vive... C'était malheureux, mais il se dit, suite à tous ces propos, qu'elle se rendrait compte qu'il fallait qu'elle tue, elle aussi...
Mais il voulait encore parler à Kentaro, pour avoir oser dévoiler de telles paroles. Aussi, lorsque la collégienne s'écarta, il ne priva pas.

Miyuchi! Quand tu annonces de telles choses, saches utiliser un minimum de tacte! Tout le monde ici doit survivre!

Bien entendu, il savait cependant que les propos du collégiens étaient véridiques. Oui, Sakyo comptait la protéger, mais il ne pourrait certainement pas rester en permanence à ses côtés. Et oui, la prévenir des éventuels risques de sa mort étaient une bonne initiative. Mais... bon sang! Il l'avait vue pleurer, en état de choc. Il aurait dû le dire d'une façon plus douce! Sakyo, lui même, avait réussi à lui faire comprendre la situation sans lui faire monter les larmes. L'initiative de Kentaro était bien trop directe, et presque violente. Déjà deux faux pas en comptant ces mots lâchés à la figure du noble... Le romancier allait devoir faire un peu plus attention aux liens qui se nouaient dans ce groupe... Déjà, il devait mieux paraître aux yeux de tous. Alors, plutôt que de laisser un tel froid entre eux, suite à son intervention, il allait commencer par se calmer et s'excuser. Il ne pensait pas moins de ses propos. Mais il avait déjà trouvé quel prétexte utiliser.

Désolé... Mais je ne veux pas que Mariko se sente mal.

Il avait presque envie de rajouter "c'est déjà par ma faute qu'elle est ici", mais cela aurait été bien trop. Oui, il se sentait responsable d'elle, et il comptait bien le montrer. Mais dévoiler une telle faute, les origines de la mort de cette pauvre jeune fille... C'était trop pour lui, même s'il ne se voilait pas la face. Quant à la demoiselle, il n'osa même pas la rejoindre de suite. C'était sa faute si elle était là. Elle le lui avait rappelé indirectement. Et il n'allait pas oser l'approcher après avoir été déshumanisé de la sorte. Il saurait renouer des liens avec elle dans sa protection. Tout au long de la mission, cela s'arrangerait. Du moins, il l'espérait.

Toute cette agitation rendait Shino de plus en plus nerveux. Les personnes s'exitaient de plus en plus, se demandant ce qui allait se passer ensuite. Shino n'avait pas plus d'information qu'eux et pourtant il ne s'agitait pas dans tous les sens, ce n'était pas comme ça qu'ils en sauraient plus d'ailleur...
Il parcouru la pièce de son regard froid, regardant chaque personne essayant de comprendre la situation. Cette mysthérieuse boule noire que Gray appellait Gantz avait apparement finit de téléporter les morts qui participeraient à ce jeu mortel. Un des membres proposa de faire un tour de salle et que chacun se présente et en disant la cause de sa mort. Quand ce fit au tour de Shino, celui-ci se retourna vers la sphère noire, mine de rien, ignorant totallement ses interlocuteurs. Il ne trouvait aucun intéret à se présenter si la plupart allait mourir, de plus ils n'avaient aucune raison de connaître son identité et de quelle manière il était mort. Cela n'aurait rien apporté de plus aux événements.
Peu de temps après les derniers arrivants une musique retentit dans la pièce. C'était une ancienne chanson pour les enfants, Shino l'avait appris pendant son primaire, il ne pensait pas qu'il s'en souvennait encore après tant d'années...
La chanson défilait, remémorant les souvenirs d'une jeunesse perdue. Puis la musique s'arreta à la dernière note, et Gantz s'ouvrit en trois parties. Deux d'entres elles contenaient des armes d'un design futuriste et d'une grande complexité. Tandis que l'autre stockait des sortes de malettes grise où des noms étaient inscris sur le dessus.
Shino qui se trouvait du coté arrière de Gantz, tendit le bras pour attraper l'une des armes situées devant lui. Elle avait la forme d'un gros fusil tout droit sortit d'un film de sciences-fiction et était munie d'un viseur permettant surement de se servir de l'arme comme d'un snipe. Fasciné par cet engin, Shino s'asseya contre le mur pour le prendre à pleine main et contempler cette merveille. Il releva les yeux et remarqua un objet pour le moins étrange. Il l'attrapa d'une main hésitante et inspecta la chose. Un écran, plusieur boutons et une forme en longueur avec un bracelet pour l'accrocher au poignet. Un peu comme une sorte de mp3. Il se rappella que l'allemand s'était servit d'un appareil identique à celui-ci pour se rendre invisible, il serait pratique d'en avoir un. Faudrait il déjà savoir son fonctionnement... Shino le reposa à sa place et tourna la tête vers la troisième partie déployée, à la recherche d'un autre engin tout aussi fascinant que les deux premiers et son regard se porta sur des étranges malettes grise, rangées horizontallement.
Il en déduit qu'elles contenaient certainement la myshtérieuse combinaisons que les "anciens" portaient déjà sur eux. Tenté par ce que disait Gray sur sa surpuissance il tira les malettes les une après les autres, repoussant celles qui ne portait pas son nom. L'une d'entre elles était marquée "Sniper maladroit" Shino avait bien deviné qu'il s'agissait de lui. Comment ce Gantz pouvait-il écrire une telle idiotie ?! Faisait-il allusion au fait qu'il soit sniper et qu'il est fait une chute mortelle, ou bien était-ce une provocation sur sa façon de tirer ? Pris d'une violente colère et il lacha sa malette sur le sol et s'en alla d'un pas décidé et d'un air froid dans le couloir qui longeait la salle.

Les intentions du flic étaient bien sombres avec les paroles qu'il venait de prononcer au groupe de nouveaux, il était d'accord avec ce que disait Sakyo. Ne connaissant pas assez les différents protagonistes dans la pièce, il ne pouvait pas encore établir un profil psychologique complet pour les cerner comme il en avait l'habitude, chacun ici présent pouvait avoir une double pensée en agissant de telle ou telle manière, ce n'était pas de la paranoia mais de la prudence. En sement la confusion, involontairement il facilité la réussite du plan de Vardec qui consistait à gagner leur confiance pour pouvoir les manipuler comme il le désire. Cependant, le comportement de chacun était différent à son égard, Sakyo se méfiait de lui mais faisait avec, Kentaro montrait clairement ses soupçons mais Mariko avec ces dernières paroles venait de montrer qu'elle accordait un peu de sa confiance et ce qui comptait.

Pour ce qui était de ces deux gardes du corps, il improviserait. Au pire, il les neutraliserait si il n'avait pas le choix, ceci ne lui posait aucun problème. Pour répondre aux mots de Miyuchi, Von Casteirn le foudroya du regard puis prit la parole pour les séduire avec de belles paroles, il parlait aux de autres garçons du groupe mais continuait de le fixer.

"Je comprends parfaitement vos méfiances à mon égard et cela ne me dérange pas. Je suis conscient que mon comportement déclenche chez vous une certaine réticence. Il n'y a aucune manipulation derrière ma proposotion. Comme chaque humain sur cette Terre, je posséde également une face noire. Par exemple, je ne suis pas contre le point de vue de Machiavele disant que la faim justifie les moyens. Je trouve qu'il a percé, avec cela, la nature profonde de l'homme même si certains agissent volontairement ou involontairement."

Il s'approcha du collégien aux yeux bleus puis continua.

"Votre réaction est surement due à une accumulation de stresse causée par la situation dangereuse dans laquelle nous sommes, ce qui vous rend relativement irritant. De plus, vous devez savoir que ce n'est pas parce que je suis de rang noble que je suis comme ces politiciens ou ces chefs d'entreprises prêt à tout pour arriver à leurs fins quitte à mentir à tout le monde. Je vous conseille de garder votre sang-froid pour éviter d'être envahi par la paranoia qui peut être provoquée."

Il tourna sa tête vers la jeune collégienne assie dans un coin puis s'approcha d'elle en ramassant l'arme au sol, pour qu'il puisse s'adresser à celle-ci.

"Votre décision bien que suprenante de vouloir garder les mains blanches pour ne pas trahir vos sentiments et vos valeurs, et légitime. De ce fait je trouve que vous étes parmi nous la plus courageuse, puisque même si nous nous dirigeons vers l'inconnu vous campez sur vos positions malgré certaines remarques."

Il s'agenouilla pour être au même niveau que Mariko.

"Ceci est une qualité que j'apprécie grandement et qui est de plus en plus rare chez les gens, de nos jours. Si nous n'étions pas dans une situation aussi compliquée, croyez-moi je vous appuierai. Seulement, ne croyez-vous pas qu'il vaudrait mieux pour vous de mettre toutes les chances de votre côté si vous désirez revoir votre famille."

Puis il tendit l'arme avec délicatesse à la jeune fille en la fixant dans les yeux.

"Sans vouloir vous offenser, vous devriez tout de même la prendre, même si vous ne comptez pas vous en servir. Dans le cas où vous désiriez conserver vos valeurs coûte que coûte, vous n'aurez qu'à l'utiliser qu'en dernier recours."

Il avait pris un gros risque en parlant autant, leurs réactions étaient totalement imprévisibles.

[Hj: Désoler surplomber au niveau boulot]

Gray toujours dans son coin commence à mourir d'impatience à vrai dire il faudrait bien que la.... La musique commence et c'est le cas, il relève la tête toujours contre le mur fixant la boule. Il tire encore sur sa cigarette savourant les bouffés comme si c'était ses dernière. Il vit le message des précédentes mission et ainsi soit il toujours avec son humour grotesque la cible.

*Le martien Sroned? C'est quoi ce délire... Aime la gandja et les choses bien roulé... Un extraterrestres défoncer par de la drogue et si il à des potes on est pas dans la merde... Et puis je la sent pas cette foutue missions, on est trop nombreux*

Gray se parle tous seul dans ses pensés perturber par temps de gens présent dans la chambre, c'est pas normal. Mais bon voila que la sphère s'ouvre et que les autres donne leurs directive. Gray en profite ainsi il à le temps de s'équiper sans problème et question. Il se redresse et jette son mégot au sol pour prendre son armement. Il retire 2 X-gun, comme par son habitude ces joujou lui on sauvé la mise... Mais cette fois une nouvelle arme, un gros fusil de calibre spécial extra-terrestres. Faut essayer et Gray y compte bien, il prend le fusil et le pose contre le mur ou il compte se posé en attendant le transfert. Il laisse par contre l'émetteur car il lui sert à rien. Gray se baisse et prend sa ceinture de pantalon pour attacher avec un système D le fusil qu'il mets en bandoulière ainsi il la met dans le dos avec ses mains libre et ses X-gun prêt à être déployer. Content de sa petite initiative il se redresse et regarde tous le monde presque paniquer face à la situation, pendant qu'il flippait chacun dans leurs coin ou s'habillait Gray en profita pour se rallumer une cigarette. Maintenant tous le monde semblait plus ou moins présent et équipé, il se racla la gorge et parla.

"Bon, les nouveaux... Je me considère pas comme votre chef loin de la, mais maintenant ce n'est pas un jeux. Cette extra-terrestre que la boule nous à montrer existe et il n'est surement pas seul, ne croyez pas non plus qu'il est faible de part son apparence car sa cache enormement de chose. Ensuite, pour ceux qui ont peur ou qui ne se sente pas capable de quelque chose il le dise, prendre la fuite vous causera la mort. Si on veut vivre faut rester en groupe au maximum et ensuite savoir travailler en coordination. Pour l'utilisation des armes le Français vous à tous dit, rien d'autres. Ceux qui sont sure d'eux en tir à distance ou qui sont désavantager comme le petit gamin vétéran maintenant."

Dit il en regardant Kyou.

"Favoriser vous un de ses fusils, il tire de loin et ainsi vous couvez l'équipe présente sur le sol en attaque et en appât. Je vous mets tous en garde, ce qui va arriver dans peux vous étonnera tous et ne sera pas facile. Vous pouvez mourir une seconde fois et ne plus jamais revenir, ne paniquer par si l'un de vos camarade fait boum, se fait broyer, dépecer et j'en passe. On est des souris dans un vivarium une fois le transfert effectuer. Juste une chose rester le plus serieux possible essayer pas de vous démarquer et faire les malins car vous allez le regretter.... Maintenant qu'une chose à vous dire bonne chance à tous que ce soit psychologiquement que physiquement."

Gray se tourna alors vers la sphère et regarda une dernière fois la photo, ses deux X-Gun ranger et son fusil dans le dos. Il était prêt enfin à passer le cape et essayer de changer ses tactique bien qu'il doute rechuter dans la solitude et le pousser à tous vouloir faire seul et ce la jouer solo. Il laissa sa cigarette se consumer en douceur dans sa bouche tous en prenant de temps à autres quelques bouffer.

Vardec s'approcha le fusilla du regard et commença à parler

"Je comprends parfaitement vos méfiances à mon égard et cela ne me dérange
pas. Je suis conscient que mon comportement déclenche chez vous une
certaine réticence. Il n'y a aucune manipulation derrière ma proposition. Comme chaque humain sur cette Terre, je possède également une face noire. Par exemple, je ne suis pas contre le point de vue de Machiavele disant que la faim justifie les moyens. Je trouve qu'il a percé, avec cela, la nature profonde de l'homme même si certains agissent volontairement ou involontairement."

Plus il parlait et plus kentaro le trouvait bizarre il disait qu'il comprenait pourquoi on se méfiait de lui mais en même temps il expliquait que « la fin justifiai les moyens ».Kentaro ne savait pas du tout pourquoi il disait cela au niveau de la confiance, ça l'enfonçait plus qu'autre chose .Il était peut-être plus stupide qu'il en avait l'air mais il s'exprimait d'une manière bizarre très... chevaleresque.
Ensuite il s'adressa a lui .

"Votre réaction est surement due à une accumulation de stresse causée par la
situation dangereuse dans laquelle nous sommes, ce qui vous rend relativement irritant. De plus, vous devez savoir que ce n'est pas parce que je suis de rang noble que je suis comme ces politiciens ou ces chefs d'entreprises prêt à tout pour arriver à leurs fins quitte à mentir à tout le monde. Je vous conseille de garder votre sang-froid pour éviter d'être envahi par la paranoïa qui peut être provoquée."

Le stress était présent mais il n'y avait que son corps qui le ressentait la situation dangereuse il ne faisait que parler pour l'instant .le sang froid il l'avait mais plus il entendait parler Vardec et plus il se disait que ce mec était bizarre.

Tu sais je m'appelle kentaro pas la peine de me vouvoyer je peux comprendre que tu crois que je stress mais j'ai assez de sang froid. Pour l'instant la situation n'est pas dangereuse .Ah et arrête de jouer les chevaliers servant ce rôle ne te vas pas bien et surtout essaye de parler normalement je n'aime pas la façon dont tu t'exprime le prend le prend pas mal.

La réaction de Mariko était violente mais kentaro voulait la faire réagir il avait réussi cela serait plus facile pour lui maintenant de lui faire comprendre. Kentaro s'approcha d'elle il savait que c'était dur pour elle mais pour tout le monde c'était pareil il se mit a genou pour se mettre à sa hauteur a cote de Vardec il lui parla doucement, tranquillement qu'elle soit la seul à l'entendre .

C'est justement parce que tu tiens à toutes ces choses à ta famille qu'il faut te battre je ne te demande pas de tuer je te demande de te défendre si tu te retrouve seul sinon je serais là avec Sakyo et Vardec pour te protéger. Tu t'es presque fait violer mais tu t'es défendu je veux que si le monstre t'attaques tu te défendes comme tu la fais .Si tu ne t'en sens pas capable cours aussi vite que tu peux .Moi aussi j'ai quelqu'un que j'espère revoir à l'extérieur et c'est pour ça que je dois me battre et survivre a cette « chasse ».

Après avoir dit ça kentaro regarda les autres personnes présente dans la pièce 2 filles était colles ensemble la vedette est une autre fille qui avait l'air de la protéger .Le reste de l'assemblée était en train d'attendre.

Mariko dans son coin, pleurée à chaude larmes. Elle ce trouvait dans une situation qu'elle ne comprenait pas, qu'elle en maitrisait pas. Les larmes s'écoulées le long de son visage pour finir sur ses lèvres ou sur sa combinaison, sans que la jeune fille ne cherche à les arrêter. Cela ne faisait même pas une minute qu'elle venait de quitter le groupe des nouveaux pour pouvoir être seule, que Vardec vint la rejoindre. Il lui adressa la parole, la jeune fille le regardant ne cherchant pas à cacher ses larmes.

- Votre décision bien que surprenante de vouloir garder les mains blanches pour ne pas trahir vos sentiments et vos valeurs, et légitime. De ce fait je trouve que vous êtes parmi nous la plus courageuse, puisque même si nous nous dirigeons vers l'inconnu vous campez sur vos positions malgré certaines remarques.

La jeune fille fut quelque peu étonnée des dires de cet homme. Celui ci décida de ce mettre au même niveau qu'elle, Mariko pouvait voir ses yeux, des yeux noirs contrastant quelque peu avec le visage pâle de l'homme. Mariko fut étonnée de voir à quel point l'homme était sophistiqué, il devait surement prendre bien soin de lui. Il enchaina avec des paroles toutes aussi agréable pour la jeune fille chamboulée.

- Ceci est une qualité que j'apprécie grandement et qui est de plus en plus rare chez les gens, de nos jours. Si nous n'étions pas dans une situation aussi compliquée, croyez-moi je vous appuierai. Seulement, ne croyez-vous pas qu'il vaudrait mieux pour vous de mettre toutes les chances de votre côté si vous désirez revoir votre famille.

L'homme lui tendit l'arme que la gamine avait jeter au sol en quittant le groupe. La jeune fille regarda l'arme puis écouta de nouveau Vardec.

- Sans vouloir vous offenser, vous devriez tout de même la prendre, même si vous ne comptez pas vous en servir. Dans le cas où vous désiriez conserver vos valeurs coûte que coûte, vous n'aurez qu'à l'utiliser qu'en dernier recours.

Mariko décida doucement de prendre l'arme qu'elle sera contre sa poitrine. Puis elle enlaça le noble, ses pleurs s'étant calmer pour finir par stopper à la fin de cette conversation.

- Merci, je.e..e...e vous pr..omet de l'u..tiliser..si je n'ai pas le choix.

La jeune fille relâcha son étreinte pour finalement s'appuyer contre le mur.
Un des vétérans parla, la gamine l'écouta au début, mais décrocha bien vite, elle ne voulait pas entendre à nouveau la sois-disante nécessitée de ces meurtres. L'homme eu finis, Mariko entendit des bruits de pas, ce retourna et remarqua que Kentaro venait vers elle. Que voulait t'il? Elle n'appréciait pas trop ses manières, le fait qu'il ait ignoré le policier, qu'il ait critiqué Vardec sans même le connaître, Mariko quand à elle, lui accordée sa confiance, avec une légère appréhension tout de même. D'ailleurs la jeune fille ce rendit compte que sa garde s'était effritée à la rencontre de l'écrivain, elle espérait que cela ne l'amène pas encore dans une situation ou elle regretterais cela. Kentaro ce mit à genoux pour lui parler sans qu'elle ce torde le cou.

- C'est justement parce que tu tiens à toutes ces choses à ta famille qu'il faut te battre je ne te demande pas de tuer je te demande de te défendre si tu te retrouve seul sinon je serais là avec Sakyo et Vardec pour te protéger. Tu t'es presque fait violer mais tu t'es défendu je veux que si le monstre t'attaques tu te défendes comme tu la fais .Si tu ne t'en sens pas capable cours aussi vite que tu peux .Moi aussi j'ai quelqu'un que j'espère revoir à l'extérieur et c'est pour ça que je dois me battre et survivre a cette « chasse ».

La jeune fille ce raidit à l'écoute de Kentaro, il venait de dire à peut prés la même chose que le Noble, mais contrairement à Vardec, le collégien lui renvoya en pleine face les tentatives de viols qu'elle avait subie. Puis le collégien s'était détourné pour regarder la pièce, laissant Mariko seule avec ses douloureux souvenir.

- Je n'ai pas demandée à ce que l'on me protège..... je n'ai rien demandée.....

La jeune fille ne put finir ce qu'elle voulait dire, la téléportation venait de commencée.

hrp 1 : Post raccourci, car dépourvu d'interlocuteur.
hrp 2 : J'ai pas précisé si la valise que j'envoyais vers Mamoru était la bonne, ni la trajectoire exacte de mon lancé. Libertas.

Tandis qu'il écoutait les propos des nouveaux locataires de la Chambre à la sphère noire, de son air le plus compatissant, Akira souriait intérieurement. Le petit groupe était plus divisé que jamais. Chacun se maintenait dans ses retranchements, chacun affichait une position radicalement différente de ses semblables, et était à même d'apporter une opposition farouche, à un quelconque leader qui tenterait de s'imposer à eux. La réaction de la jeune Mariko dépassait toutes les espérances de l'agent Muto. Non seulement, elle restait sceptique quant à la nécéssité d'abattre ses choses, mais allait même jusqu'à maintenir une certaine ethique quant à ces créature inconnues. Cette situation lui était tellement insupportable qu'elle s'effondra en larme, quittant le groupe, obligeant ces derniers à de nouvelles frictions. Dans la mesure du possible, l'agent Muto n'avait pas grand chose à faire de plus. C'était à eux, de réagir, de se laisser guider par leur convictions, et de ne pas les laisser croire, à aucuns moments, que leur propres buts puissent arranger qui que ce soit.

Face au jeune écrivain démoralisé, Akira Muto sentait pointer en lui une certaine once de culpabilité. Mais, comme il savait si bien le faire, il s'en dédouana très vite. Après tout, il n'était en rien responsables de ces règles stupides, ni même ces élans moraux qui poussent parfois les hommes à placer leur intérêt après ce qui leur semblent juste. Même s'ils étaient des plus rares, Akira Muto avait du mal à y croire, comme certains occidentaux n'arrivent plus à croire en Dieu, comme si cela était possible.

Il voulu dire quelque chose au jeune ecrivain, quand il vit l'attention de ce dernier se braquer subitement.
La jeune fille, objet de tout les élans chevaleresque, s'en allait dans les profondeur du systême de transfert Gantzien. Ce qui interpella le jeune homme, qui, paniqué, pris la parole.

AH! Elle est téléportée? Est-ce que ça commence? Comment ça va se passer maintenant? On va se...

- Ne bouge pas. Tout cela est normal...

Sans perdre de temps, Akira tourna le dos au jeune écrivain, et, son enveloppe à la main, se dirigea vers l'une des valise, rapidement, mais sans heurt, allant trouver celle qui portait la mention "poulet rôti". Plaçant l'enveloppe sous son bras, il se recroquevilla, regarda autour de lui les gantzers qui disparaissaient un à un. Maintenant le bas de la valise avec son pied, il ouvri de ses deux main, y placa l'envelloppe, et se redressa, et donna un de pied sur la valise, afin de l'envoyer vers la porte. Ainsi, cette dernière sera incontournable.

Constatant que l'homme à lunettes n'était toujours pas équipé, Akira pris au hasard une des valise restée dans le ratelier, et l'envoya en direction du novice.
Répliquant sèchement, comme si on lui avait adressé un reproche.


- Tu me remerciera plus tard...

Avant de voir si son projectile avait atteint sa trajectoire, le champ de vision de l'agent de Muto changea de nature. C'était le transfert vers une nouvelle mission qui l'attendait. Mais cette fois-ci, l'équipe parraissait des plus convenable...

Ayant disparu de la vue des autre gantzers Antonio était tout simplement en train de tester sa nouvelle acquisition : un petit appareil qui été à première vue capable de rendre son utilisateur invisible. la première fois qu'il eut connaissance de l'existence de cette appareil c'était ce morveux de Nishi qui était en train de s'en servir.

Et pendant ce temps les palabres et autres remarques fusaient dans la pièce, la gamine continuait à faire son cinéma accompagnée de ses trois comparses, Kyou laissait voir un stress compulsif dut à sa situation précaire, Akira et Gray tentaient tant bien que mal de calmer le jeu et de véhiculer des informations.
Une pensée cynique mais justifiée vint à Rossa.
* Au pire la nature fera la tri parmis les nouveaux participants s'ils ne sont pas capble d'écouter 2 minutes ce qu'on leur dit... *

Puis Antonio se reconcentra pour évaluer la situation actuelle... Cette fois-ci il était prêt, il connaissait les armes, la puissance de sa combinaison ainsi que sa durée de vie, il maîtrisait aussi cette couverture optique et pour courronner le tout il était en pleine possession de ses moyens grâce à son entrainnement physique régulier.
Il se détendit un peu pensant à l'object qu'il avait attaché à son poignet. Son moral et sa confiance au beau-fixe.
* C'est bien pratique ce truc, ma survie devrait en être bien améliorée, il faudra cependant faire attention aux ennemis. Rien ne m'assure qu'ils ne peuvent pas me voir ou me détecter dans tous les cas... *

Satisfait de ses essais il réapparut au milieu de la pièce.
Au même moment les alterquations persistaient au sein du groupe de gamins improvisé.
* Pfffff quel manque de maturité, c'est pas la compétition à celui qui sortira la bonne réponse en premier ici... *

La transfert commença pour Kyou, la gamine commença a suivre alors qu'elle répondait au collégien. Elle n'était d'ailleurs pas la seule puisque ce fut au tour de l'écrivain en panique de l'accompagner.

Antonio se retourna vers Kentaro, il l'avait entendu moultes fois rouler des mécaniques alors qu'il était complétement ignare sur la situation. il décida de lui faire une petite reflexion.
" Hé gamin, je sais pas où tu te crois ni pour qui tu te prends, mais du haut de tes 14-15 ans et avec tes trois poils sur la tige tu devrais arrêter un peu de faire ton show de gros dur devant tout le monde. "

Il laissa en suspend ses mots le temps qu'ils fassent leur effet. puis reprit...
" Tu connais rien à la situation actuelle, t'es largué, alors respecte un peu ceux qui prennent l'initiative d'expliquer ou bien tu vas finir seul et crevé dans un caniveau. T'es pas le chef, tu t'impose pas aux autres, tu reste à te place, tu observe et après peu-être que tu pourras agir en conséquence. En attendant garde ta salive et ta rengaine de justicier en bois pour toi. "

Alors qu'il finissait d'envoyer des piques au collégien à l'égo aussi grand que son cortex était petit le transfert commença, avant que ce dernier ne puisse répondre. La vue d'Antonio se brouilla pour laisser apparaitre un nouveau décor...

Klaus attendit, attendit et attendit encore.
Mais rien ne se passa.
Il se leva, marchant vers la sphère.
Mais il se figea alors que son fusil disparaissait.
Un nouveau sol apparut dans le viseur.
Instinct, peur, énervement? Toujours est-il que Klaus tira à nouveau, actionnant les deux gâchettes.
Mais le fusil ne bougea pas, figé qu'il était par la masse qui disparaissait rapidement.
Ce fût le tour de Klaus de disparaitre, ses avant-bras ressentant de l'autre côté le vrombissement qu'il avait précédemment perçut.
Puis Le processus s'accéléra, emportant jambes et tête.
La dernière chose qui disparut fut le nombril du germanique.

Vardec n'avait que faire des remarques de Kentaro, pour lui ce collégien représentait typiquement le genre de personne qui prouvait que la bêtise humaine était infinie. Cela lui rappelait certaines paroles de Einstein.

**Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue**

Il avait réussi ce qu'il voulait gagner la confiance de la jeune fille, de plus il avait placé Miyuchi dans une situation délicate.

**Deux points pour moi**

Puis il vit que les gens de la pièce commencaient à disparaitre, en attendant son tour il s'appuya contre le mur en fixant Kentaro. Il ne lui restait plus qu'à donner l'illusion qu'il la protége tout en se servant d'elle voir de l'écrivain. Puis le paysage changea soudainement, il allait rejoindre Mariko.

Kentaro disparu petit a petit comme d'autre personnes de la salle . La nouvelle technologie l'étonné de plus en plus .

Shino s'adossa au mur du couloir et attendit la suite des choses. Il allait forcément y avoir quelque chose pour faire en sorte que les membres rencontrent le martien Stonen. Il regarda son X-Shotgun encore une fois. Comment une arme aussi puissante avait put atterrir entre ses mains...
Ses pensées furent coupées par l'intervention du collégien prénommé Nishi. Il portait déjà la combinaison noir sous ses vêtements, preuve que ce n'était pas la première fois qu'il venait ici. Il lui envoya la malette que Shino rattrapa des deux mains, et d'un ton froid ajouta:

"Enfile la ! Ce n’est qu’un conseil, si tu ne la mes pas…tu es mort !"

Le collégien lui tendit ensuite l'appareil semblable au mp3, celui que Shino avait reposé peu de temps avant.

"Utilise ça aussi, ça pourrais t’être utile !"

Nishi porta un regard discret dans la salle et poursuivit:

"Je sais tu dois te dire que ces ridicule comme combinaison, Oui je suis d’accord avec toi, on ressemble à des perso de mangas là dedans, mais cette tenue apporte force et résistance inimaginable ! Dans ce genre de déguisement nous sommes des dieux ! Mes la !"

Shino le regarda suspicieux, ne disant toujours rien. Il se retourna pour se changer et remarqua avec stupeur que la tenue était faite sur mesure, et qu'il devait enlever jusqu'a ses sous-vêtements pour l'enfiler. Une fois que le dernier bouton fut clipser, il pris ses vêtements pour les enfiler par dessus la combinaison et attacha le contôleur à son poignet gauche avant de se retourner vers Nishi. Un frisson lui parcourut le corps, la même sensation sentit avant d'attérir dans cette fameuse salle.
La téléportation commença.

Pas trop tôt. Les gamins commençaient seulement à être transférés. Où ? il l'ignorait, mais ça ferait moins de chahut. De tous, il était le seul à ne pas s'être armé, ni de la combinaison, ni des armes futuristes. Pourtant, la situation ne le préoccupait pas, il restait étrangement calme et concentré. On insista pour qu'il la porte. Un homme lui envoya une valise juste avant de disparaître.
Elle glissa sur le parquet jusqu'à ce que l'aveugle ne la réceptionne en la bloquant avec se semelle. Drôle de conteneur. Sur le boîtier, une inscription était gravée.

* ... Chien ? *

Subséquemment, un couinement animal se fit entendre sur sa droite. Il découvrait alors l'animal concerné, langue pendante et queue agitée, prostré à côté de lui, un peu comme si il demandait qu'on lui mette sa combinaison.
Habiller un chien...

" Ne compte certainement pas sur moi... "

Il ne dialoguait pas avec l'animal, il s'interdisait juste l'idée d'avoir à vêtir un canidé. La bête n'eut pas le temps d'implorer l'aveugle, son tour arriva. Mamoru demeurait dans les derniers. Cette pièce était décidément bien mieux une fois vide. Il aurait aimé avoir un appartement dans ce genre.

* ... Cette chose en moins, ou en miniature. *

Il esquissa un léger sourire et enjamba les paquets de combinaisons et autres vêtements déposés grossièrement au sol. Devant la Sphère, il attendit son tour. Un pincement le saisit...

" Enfin... "

Mamoru disparut pièce par pièce de la chambre, lui aussi.