La nuit, le froid, une course qui ne s’arrête pas. Ses jambes d’humains le portes d’elles mêmes. Il ne peu que aller de l‘avant sans jamais revenir en arrière car un retour lui semble impossible. Ce monde n’est plus le siens car un cœur de monstre viens emprisonner son âme. Il n’y a rien à faire, il n’y a jamais rien eu a faire, il était destinée a se transformer en monstre, alors que faire de ses résolutions que faire du sang séché maintenant que ça vie n’a plus de sens. Un loup dans un corps d’homme. Il hait l’humanité alors pourquoi ? La mort est un châtiment préférable et bien plus doux que cette vie de vagabond. Il n’a pas tué depuis bien trop longtemps, son sang réclame du sang, sa fureur appelle le combat et la chair porté a vif, c’est ainsi qu’il se sent vivant, c’est son refuge. Dans se corps d’homme il est faible, fragile et incapable. Il doit retrouver l’ancien à tout prix mais il ne sait comment faire, des mots humain lui viennent à l’esprit. : Magie, Loup- garou, …
Autant de mots qu’il peu comprendre mais qu’il ne pense pas lui être utile. Il est là, seul dans la nuit courant pour retrouver sa vie de haine, de souffrance, de rage et de peur. Il veut souffrir et faire souffrir les autres. Sa propre souffrance étant pire encore que celle qu’il inflige. Il veut la voir disparaître mais maintenant qu’il est prisonnier de cette chambre. Il doit attendre d’en être délivrer ou mourir une dernière fois. Mais avant sa délivrance et avant sa mort, il tuera et ne se laissera pas mourir, croire que c’est le cas est une erreur. C’est un chasseur, un monstre qui demande vengeance.

Il court et voit des ombres humaines, il porte la combinaison qui ne gêne pas ses mouvements en comparaison de ses vêtements, ses cheveux retenu par un frêle morceau de tissu battant le vent, mais ne les empêchant pas de lui rentrer dans les yeux, il se sent poisseux et sale. Son corps humain transpire à cause de la course et le froid raidis ses membres imberbes. Il veut retrouver sa fourrure, retrouver ses sens aiguisés, il veut retrouver ses crocs car ses dents ne sont pas faites pour attaquer la chair. Il s’arrête de marcher il y a du bruit et du monde autour de lui. Il ne comprend pas les sons, la foule d’humains appelle sa rage et sa haine. Quelqu’un doit le sentir, ou simplement l’humain qui s’esclaffe en le regardant. Son œil rouge et son œil blanc paressant aveugle se fixe sur lui. L’humain le regarde, le moque devant ses compagnons, une sorte de meute de chien incapable de se battre pour une raison valable dont il est la voix. Il n’est pas le bienvenu ici, pas a cette heure et pas aujourd’hui, on lui jette un mégot au visage, le provoquant ou essayant d’appeler la peur en lui tout simplement. Une marque de cendre reste sur sa joue droite. Il ne bouge pas et reste de pierre, c’est sans doute cela qui les déranges. Après quelques instants il frappe, pas besoin d’utilisé la combinaison, il doit s’entrainer, apprendre à se battre dans ce corps, il n’a pas plus de raison, pour lui ce n’en est pas vraiment une. La paume de sa main frappe le torse, le choc et violent, le retour dans son bras l’est tout autant. L’individu tombent au sol, hurlant plus fort encore, mais par colère plus que par douleur, le coup n’était que surprenant. Il regarde sa main, cherchant à savoir si c’est vraiment son corps. Les autres se lève, l’un d’entre eux se met à courir vers lui avec toute la lenteur de son espèce. Il veut tuer mais ce corps lui semble tellement dépourvu d’arme le lui permettant.
Il découvre ses dents et non plus ses crocs, son regard passe du néant à la colère la plus pur et la plus bestiale en quelques secondes, il sent ses dents devenir plus aiguisé, mais elles restent les mêmes. Il voute son dos, prêts à foncer vers eux, ses bras sont ouverts les mains prêtes à attraper un adversaire. Un filet de salive pourrait couler de sa bouche s’il ne le retenait pas, sa noblesse d’esprit lui empêchait ce genre de chose. La colère grimpe encore. Le choc ne se fait pas attendre. L’individu est seule face à lui les autres se contentant de regarder. Il le regarde avec toute son acuité de chasseur, constatant sa force et la faiblesse dans se jambes. Cependant il n’aura pas le temps d’attaquer, l’homme devant lui, le charge épaule en avant, son équilibre encore incertain dans ce corps ne lui laissera pas le temps de se déplacer. Il prend le coup de plein fouet et tombe au sol, l’autre s’avance à nouveau pour l’attaquer. Il se redresse, un genou au sol prêt à bondir vers l’avant. L’autre approche cherchant a envoyé un coup de pied dans sa tête à proximité placé à la bonne hauteur pour ça. Le coup de pied est envoyé mais il n’atteindra pas sa cible, L’homme loup attrapera la jambe le plus fermement possible avant de se redresser, la levant autant qu’il le peut. L’obligeant à tomber face a son incapacité à lever la jambe jusqu’à un certain point. Le loup se jette sur le corps au sol, commençant déjà à se relever. Il tombe dessus de tout son poids, l’individu en a le souffle coupé pour quelques secondes et par chance Il en profitera, pour attaquer, cherchant encore la méthode la plus rapide de lui faire des dommages. Il griffe d’abord le visage, mais ses mains viennent immédiatement le défendre. Ne lui laissant que peu de chance de le tuer. La paume de sa main frappe le torse, lui ressent le recul de son bras. L’autre sentira une de ses cotes se fendre.

Il frappe encore et encore, un bras après l’autre pour plus de rapidité, il sent les os qui se cassent face à sa violence, Lui ne s’attendait certainement pas à se battre contre une chose dont la volonté et de tuer plus que de battre. La paume de sa main se transforme en arme. L’autre attaque avec un de ses poings, le loup bloque d’une main, mais son manque de force n’empêchera pas le coup d’atteindre son visage, le coup sera amoindri par la combinaison mais sa volonté de ne pas l’utilisé pour ce combat lui permis de sentir le sang s’écoulé de son nez. L’homme loup frappe à nouveau, et le bras se rétracte cherchant à protéger. Il frappe encore et encore, jusqu'à ce que de l’autre ne sorte plus que des gémissements puis du silence, il n’aura pas fait coulé le sang et c’est bien la première fois que cela lui arrive. Tout est allé tellement vite, est-il vraiment mort ? Il aimerait s’en assurer, mais n’as pas le temps car déjà les autres le frappe en utilisant une pierre, il voit un couteau, un pistolet autant d’arme dont il connaît maintenant le nom. Ils sont une quinzaine, l’un d’entre eux est au téléphone, il n’entend pas ses mots mais il le regarde, signifiant qu’il est la cible de l’appelle. L’homme à la pierre le frappe à nouveau tandis que les autres s’assurent que leur champion est encore en vie.

Il se fait agresser, les coups pleuvent, mais il reste de marbre face à la violence encore insuffisante pour le faire réagir, il ne sent pas de menace alors qu’il est rouées de coups, la combinaison sur son corps le protège de toute façon. Combien d’ombres autour de lui ? Combien de coup ? Il se perd dans ses pensées. Son visage se lève vers le ciel et vers la lune qu’il ne voit que trop mal à cause des lumières de la ville, il hurle, pousse son chant à la lune. Et sa rage augmente sa fureur continue de s’accumuler. Il a les crocs et ce soir, il versera du sang pour la lune. Il se relève faisant fi des coups qui pleuvent de cette bande d’abruties. Il serre les dents, son regard s’anime d’une flamme bestiale et insatiable, il veut recevoir de la haine et de la peur, il veut voir le sang car le sang l’appelle. Sa rage se déchaine et dans son corps il sent le changement qui s’opère. Ses dents s’allonge, sa mâchoire change de forme, sur son corps ses poils poussent, son corps se rétracte, ses vêtements tombent, à chaque seconde le monde lui semble être plus clair, il retrouve la vue, il n’est plus aveugle, son corps souffre et les ombres se précise, les bâtiments ne sont plus de simple monolithes de pierre. Il est dans un parc, au milieu de la jeunesse humaine, se reculant effrayé, mais aussi attiré par ce spectacle qui n’a jamais était vu, ils sont environ une quinzaine, il n’y en avait que quelques uns pour le frapper mais l’attraction de la soirée se transforme en monstre blanc, il lui faut peu de temps car la rage qui monte en lui accélère sa transformation, son cœur bat de plus en plus fort, réclamant du sang. Ses os se durcissent. Il se sent fort, loin de sa faiblesse d’avant, la rétraction de son corps et la douleur qui en découle le fait se sentir vivant à nouveau. Ses pupilles se rétractent, son flaire lui redonne l’odeur de la puanteur nauséabondes de la ville. Il veut la transformer en mausolée, la remplir de mort, car la ville de pierre est rempli d’une fausse vitalité a ses yeux, déjà morte.

Il est seul menant un combat contre de parfait inconnu, un combat nocturne sous les lumières jaunâtres et sous la lune. Il fait claquer sa mâchoire, sa force décupler par la combinaison rend ce claquement sonore et complètement irréel. Ce soir il n’y aura pas de survivants. Les autres sont figés autour de lui, une arme à feu se dresse, d’un simple mouvement il fait un bond de deux mètres, restant au ras du sol avant de s’élever vers l’arme. Il croque le bras, celui-ci ne résistant pas face à la force de la combinaison, il crache le morceau de chair restant dans sa gueule. Le bras tombe au sol, lourdement et avant même que le choc ne retentisse le loup est déjà ailleurs, L’homme à la pierre n’aura pas le temps d’entendre le son, le loup le percute de plein fouet de son épaule, la combinaison lui offrant plus que simplement le mettre au sol, broieras sa cage thoracique en un instant, il mourra d’une hémorragie interne quelques instants plus tard. Son corps au sol se refroidissant lentement. Il en reste treize, encore. Aucun ne sachant comment se défendre face à la rapidité animal et sa force surnaturel. Les fuyards ne sentiront que le regard de la bête blanche vêtu de noir s’abattre sur eux. Les combattants n’auront pas le temps de comprendre quel malheur tombe sur eux. Les crocs frappes et ne s’arrête jamais, les corps sont mutilés, la chair mise à vif. Les corps et les cris retentissent dans ce parc vide. Les quinze sont maintenant des êtres damnées qui n’appartiennent plus à ce monde, seul la chair à vif et le sang séchant lentement reste.




Une voiture s’arrête et cinq hommes en sorte, les épaules larges, muscles saillant caché derrière des costumes de hautes marques. Un appelle provenant d’un des leurs les avaient amené dans le parc, à la recherche d’un corps frais à vendre au marché noir, pour certains individus. Sur place ils trouvèrent des corps en carpaccio, le sang recouvrant les chemins du parc, au centre de celui ci un humain encore hurlant, une masse noire et blanche animal se nourrissant de ses entrailles, le sang recouvre sa gueule. L’animal semble être en plein festin, son souffle est lourd et de sa gueule sort une fumée blanche. L’homme-repas finir par ne plus crier et s'éteins, le loup s’en détourne ne trouvant plus d’intérêt a ce corps dont il retient le nom des organes. Il voit les cinq hommes, son flaire retrouvé lui souffle leurs présences. Aurait-il trouvé une cible plus intéressante que cette plèbe ?
Les hommes s’approchent marchant tranquillement vers le loup, un dialogue des plus simples se faisant entre eux.

- C’est le clébard qui nous a appelés tu penses ?
- Je pense plutôt que c’est le gars entre ses pattes, ça change pas grand-chose, Je pense pas qu'ils est envie de passer derrière un clébard pour bouffer. On a qu’à se casser.
- Attends, ils n’ont pas parlé d’un loup à la télé dernièrement, genre le grand méchant loup ?
- Si et je pense que c’est lui, même si il était censé être à Tokyo. Je propose qu’on le tues, je n’aime pas voir autant de cadavre ça fait désordre dans les journaux et donc ralentir les affaires.

Pas besoin de plus pour eux, le loup comprend assez vite leurs intentions quand il voit les armes sortir des costumes, trois sabreurs et deux tireurs. Les sabreurs s’avance vers lui et le loup disparaît dans les ténèbres du parc. La végétation qu’il trouve le camoufle. Ses hommes sont a sa poursuite, il doit les tuer. Un sabreur passe à coté de lui, il se glisse entre ses jambes et le fait tombé au sol, ils se jettent sur son dos. Plantent ses griffes dans la chair à travers le tissu. Sa gueule brise la nuque sans plus attendre. En insistant un peu sur la combinaison, il arrache la tête, une envie comme une autre. Un acte de barbarie comme un autre. Il retourne dans les ténèbres, cherchant protection sans se rendre compte qu’ils sont déjà sur lui. Un des sabreurs lui fonce dessus, lame en avant tandis que derrière lui un des tireurs encore a une vingtaine de mètres s’approche, s’apprêtant à tirer en même qu’il sort une lame courte de son manteau. Le loup n’a pas beaucoup de choix, il saute vers le sabreur, rase le sol et se laisse glisser sur les gravier, attrape une jambe et d’un claquement de mâchoire la coupe jusqu’à l'os. Le sabreur tombe mollement au sol, par chance il ne s’empalera pas sur sa propre lame. Son collègue fait feu sur le loup sans succès les balles semble ne rien lui faire. Serait-ce ..?

- Ce loup en est putain de monstre ! Venez m’aider !


Ils sont maintenant quatre, dont un a qui il manque une jambe, le loup n’a d’autre choix que de tous les attaqués. Il se précipite vers l’avant, sur les 5 mètres les séparant il esquive les balles du mieux qu’il le peut en prenant une trajectoire en courbe, il referme sa gueule sur la tête du tireur l’emportant au sol en le déséquilibrant, il continue d’avancer emportant avec lui sa proie hurlante, le corps traines sur le sol à mesure que le loup avance, un des sabreurs se jettent sur lui, le loup lâche sa proie et laisse le coup s’abattre sur le sol. Les tirs continuent et le loup s’enfuit dans les ténèbres, retrouvant sa place dans l’ombre. Il a tout le temps qu’il souhaite pour les tuer alors pourquoi se presser. Il commence un large tour du parc échappant au regard des deux derniers adversaires valide qu’il lui reste. L'homme au sol pleure sur sa jambe, terrorisé, un flingue dans les mains. Étonnant de voir a quelle rapidité les rôles s'échangent.

Son camarade blessé au visage est un peu perdu, cherchant à savoir pourquoi il est dans cet état, le choc sans doute. Sa tête saigne et son crane est a moitié broyer à cause de la mâchoire du loup. Ils forment un cercle a eux quatre espérant que la tactique soi victorieuse contre le loup, une lueur de terreur se lit dans leurs yeux alors que ceux du loup sont remplis de rage et d’appétit. Le Loup se trouve derrière eux maintenant, il a peu de chance de les atteindre sans subir de dommage et il le sait. Il sait aussi que sa combinaison a besoin de repos pour ne pas cesser de fonctionner comme la montrer sa dernière victime qui en portait une avec les autres monstres. Une idée lui vient. Il saute utilisant toute la force de sa combinaison dans ce seul but. C’est un saut qui plonge vers les derniers survivants. L’homme au sabre le voit et s’apprête à envoyer un coup vertical avec son arme, cherchant a le stopper. Le loup avait vu le coup venir depuis sa position et son instinct lui avait permis de prendre le sabre dans sa gueule, le tenant fermement entre ses crocs. Sa chute entraine le sabre hors de la main de son maitre. Le dernier tireur debout se trouvant juste derrière aura le droit de recevoir le sabre dans la gorge, le loup se faisant un plaisir de l’y planté. Il retombe au sol et passe derrière ses jambes pour gêner la trajectoire de l’arme du tireur unijambiste. Le loup se jette sur lui arrachant sa pomme d’Adam et le laissant là, à mourir lentement la gorge ouverte. L’adversaire avec le sabre dans le cou tombe au sol et maintenant il n’en reste plus qu’un debout tentant de sortir une lame de son fourreau le plus rapidement possible. Il n’en aura pas le temps, car le Loup s’avance lentement, déconcentrant de son regard aux yeux bleus, ce n’est qu’une question de temps avant que la mort ne s’abatte.
Le dernier adversaire dont le crane à était broyé reste au sol perdu et apparemment aveugle. Il aura tout entendu, ressentis les cries et était éclaboussés des gerbes de sang.
Le loup fini son repas, laisse le dernier d'entre eux pour qu’il y ait quelqu’un pour dire qu’un loup rôde.
Il regarde la ville et le sent, le sait, cet endroit sera sa prochaine scène.
La nuit commence à peine, et il n’y a pas eu assez de sang.


A la fin de la nuit le loup s’était retransformé. Sans son consentement personnel, mais une fois le processus enclenché il avait préféré que ce soi rapide. Après cela il était partis à travers la nuit, cherchant un endroit plus accueillant que le précédent. La destination n'était pas importante, il était humain, peu de chance qu'on le prenne pour un loup maintenant, une autre ville lui tendrait bien les bras.


« ET maintenant nous passons aux infos du jour. Pendant la nuit, une série de meurtres violents ont frappées Nagoya. En effet pendant la nuit plus d’une vingtaine de personnes sont mortes, l’hypothèse la plus probable et que le loup blanc de Tokyo, le Loup connu sous le nom de Kagome est changé de ville en un peu moins d’une semaine se déplaçant jusqu'à la ville de Nagoya. Les autorités nous rappellent que tout sera fait pour interpeler l’animal si c’est bien lui qui est la cause de ses meurtres. Nous rappelons que le bilan s’alourdis et qu’a présent nous avons a déploré…

41 Blessées
38 Morts

Il est demandé a tout citoyen apercevant un loup d’appeler la police ou le numéro d’urgence qui va être ouvert afin d’accélérer la centralisation des informations. Ce loup c’est transformé en fléau ne s’attaquant plus seulement à Tokyo, mais à Nagoya. C’est maintenant un devoir citoyen concernant tout le Japon de faire en sorte que ce Loup soi finalement stopper. Même si la perte de cette bête est regrettable, les familles des victimes s’accordent sur le fait que ce fléau doit être définitivement mis hors d'état de nuire. Chaque attaque du Loup est plus mortelle que la précédente. La clé dans sa capture réside dans la participation de tous. De nombreuses personnes se portent volontaire pour capturer la bête et la rendre aux autorités compétentes en échange d’une certaine somme. La police c’est déclaré contre le marchandage de l’animal, mais que l’insécurité la nuit qui règne au Japon doit s’arrêter et que cette solution n'est donc pas inenvisageable. Il est cependant intéressant de faire remarquer que la dernière intervention de tels groupes a causé la vie à des innocents. La police recommande donc de ne pas passer outre la loi et la sécurité des gens, toute infraction a celle ci étant sanctionnée.

Et maintenant nous recevons un psychologue spécialisé dans les animaux qui va nous expliqués sont point de vue sur le Loup, par la suite vous pourrez regarder un reportage sur le Loup Kagome, et sur son parcours du Zoo Ueno jusqu'à Nagoya. Témoignages, avis des experts, que faire contre ce mal, vous saurez tout dans un instant. »

J'imagine que je n'ai pas le choix.

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