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| [A5-2N] (2) 3ème étage. [ Kuwabara / Kakuzawa - Shirokawa / Eileen - Takeshi ] / ! \ PUBLIC AVERTI | |
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Gantzer AKuwabara Kazuo | |
Jeu 21 Oct 2010, 13:42 |
| Bizarrement, Kuwabara ne s'offusqua pas du silence de sa proie. Il aurait sans doute préféré des cris, des pleurs, des supplications pour agrémenter l'ambiance sonore, donner plus d'emphase à tout ça. En vérité, il était concentré sur une seule et unique chose : son plaisir. Présentement, c'était tout qui l'importait, bien plus qu'une quelconque résistance de la part de cette pseudo-chienne, ou que de lui faire ressentir de la douleur ou de l'humiliation. Le chat avait suffisamment joué avec la souris, dorénavant il passait à table.
Mis en appétit par ses premiers coups de reins, il poursuivit dans sa lancée avec d'autant plus de ferveur et de vélocité. Il la bourrait, littéralement, ne lâchant pas une seconde l'étreinte qu'il exerçait sur ses hanches faciles à agripper, comme dessinées pour remplir spécialement cette fonction. A chaque mouvement brusque, sa poitrine opulente était victime des lois de la gravitation, soumise à des ondulations érotiques des plus excitantes.
Naturellement cambré, Kuwabara affichait une expression traduisant un bonheur intense, un plaisir réel. Ses longs cheveux bouclés, légèrement mouillés de transpiration, accompagnaient chaque mouvement. Son souffle était relativement synchronisé, son coeur accélérait, se faisant sentir à travers la grosseur de son membre qui avait pris quelques petits centimètres en plus dans l'antre de la dépucelée. Cognant bien au fond de son intimité, sans scrupules, il appréciait toutes les sensations que l'acte lui faisait ressentir, que ce soit le contact des parois chaudes, presque brûlantes, qui frottait contre son gland, ou les clapotis générés par le lubrifiant naturel qu'ils sécrétaient, il se régalait.
Quant à savoir s'il avait remarqué l'intention meurtrière de sa proie, c'était une autre affaire...
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InvitéInvité | |
Ven 22 Oct 2010, 16:51 |
| Condamnée à subir cet acte d’une cruauté sans pareil, Eileen essayait d’élaborer un quelconque plan pour se venger comme il se doit. Mais la puissance et l’intensité des coups de reins de Kuwabara l’empêchaient de réellement se concentrer. Elle n’avait plus vraiment mal, en vérité elle ne ressentait pas grand chose, son inimité toujours endolorie de cette morsure achevante, ainsi que de son dépucelage brutal. Mais elle savait, que bientôt elle aussi ressentirait du plaisir. Après quelques longues minutes de pénétrations, des frissons commençaient à grimper le long de son épine dorsale, traduisant un plaisir timide se manifestant. Sans trop pouvoir se retenir, Eileen lâcha un gémissement mêlant plaisir, douleur et terreur. Emportée par l’excitation encore très faible, mais néanmoins présente, elle éleva son bras en se permettant librement de caresser le torse au relief parfait de son agresseur. Ses doigts glissèrent un instant dessus, avant de retomber mollement sur le matelas. Quand à la réaction de Kuwabara, naturellement la demoiselle se préparait au pire, à une nouvelle torture sans doute. Mais cela commençait à l’importer peu : de toute manière, elle le tuerait. Toujours dans son optique de vengeance sanguinaire, elle ne tolérait pas un tel déshonneur à sa personne. Non pas l’acte sexuel, mais ces humiliations morales et physiques continues. Décidément, ce monde était bien peuplé de tarés. Gardant toujours l’arme rétractable dans son champ de vision, la jeune femme se laissa alors aller, reprenant du répondant, entre deux coups de reins. « Tu ne sais faire que ça ? En plus d’être précoce, tu sembles impuissant ! Vraiment décevant ! » |
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Gantzer AKuwabara Kazuo | |
Ven 22 Oct 2010, 17:08 |
| Comme attendu, la réaction du violeur fut virulente. Une de ses mains gantées quitta ses hanches pour agripper fermement la gorge de sa victime. Il n'avait pas été affecté par les propos de Hyde, il avait décidé de la punir au moment même où le premier mot de sa phrase était sortie de sa bouche. Exerçant une pression considérable sur sa trachée, coupant de nouveau sa respiration, il la releva face à lui sans décoller son bassin du sien. L'étouffant de la sorte, il poursuivit la pénétration et la rendit frénétique. A chaque fois, il touchait le fond de son intimité, sentant totalement son membre cogner au plus profond de sa chair. Se délectant du tout, il se réjouit bien assez vite des couleurs que prenait le visage de son esclave. Incapable de respirer, la circulation sanguine bloquée pendant plusieurs secondes, elle devait sentir sa tête sur le point d'exploser et son corps froid, soumis à des tremblements gelés. Il mit fin à cette souffrance pour mieux en provoquer une autre. " Je t'ai dis de la fermer !! " Laissant éclater sa rage, il relâcha l'étreinte sur sa gorge pour mieux la frapper. De plein fouet, elle reçut son crochet du droit qui l'envoya percuter le matelas. Désormais rallongée, la joue gonflée, son nez comme sa lèvre saignaient. Protégée jusque là par la combinaison, elle était désormais exposée à toute l'étendue de la violence de son agresseur impitoyable. Immédiatement, Kuwabara replaça ses forces dans ses hanches afin de reprendre son action avec la même intensité, bien que cette fois, il ne se retint pas d'agripper les cuisses de son jouet pour les relever au niveau de son torse, pressurant au passage la plaie qui devait à l'instant être moins douloureuse que le visage de la bourgeoise. |
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InvitéInvité | |
Ven 22 Oct 2010, 18:11 |
| À trop tenter le diable, Eileen reçu une réaction éclatante en plein fouet. On ne pourra pas dire qu’il ne l’avait pas cherché.
D’abord, Kuwabara s’empara de la gorge de sa victime, la serrant à bout de bras. Etouffée, la demoiselle suffoquait péniblement, la respiration bloquée. Les secondes lui parurent interminables, et la mort soudainement si proche. Elle se débattait vainement, ses bras battant l’air, et parvint à griffer bénignement le visage de son agresseur. Il l’a lâcha subitement, hurlant à son visage, et l’envoya dans le coma proche qu’un revers de poings sans mesure de force. Le visage d’Eileen valsa à toute vitesse, pour retomber mollement sur le matelas, lâchant des filets de sang de son nez et de sa bouche. Le souffle court, elle respirait difficilement, seul la haine et la violence la maintenaient consciente. S’en était bien trop, pour qu’il quitte cette pièce vivant. Elle l’amocherait autant qu’elle pourrait, sans vergogne. Lorsqu’il la releva contre lui, l’occasion était parfaite pour saisir le sabre. Cependant, une fois qu’elle l’aurait en main, lui était toujours invincible avec cette combinaison. Bien qu’il n’en portait plus que les gants, le pouvoir du vêtement semblait toujours faire effet. Au contrario d’Eileen, totalement dévêtue, vulnérable à n’importe qu’elle offensive.
Il fallait lui ôter ses gants. De n’importe qu’elle manière, il le fallait. Eileen, au bord des larmes, commençait à n’en plus pouvoir. Elle aurait donné n’importe quoi pour ne pas avoir survécu à son suicide sous le coup de la défonce. De son regard flamboyant, elle fixa la lame. Elle pouvait très bien se la planter d’un coup dans le cœur. Au moins, elle n’aurait plus à subir cet enfer. Mais l’idée de sa carcasse abandonnée une fois souillée sur ce lit, dans cet endroit si morbide ne lui donnait guère satisfaction. Pour une personne comme elle, une mort digne se méritait.
Tiraillée entre le dilemme d’attendre que le temps passe, et celui de se défendre jusqu’au dernier souffle, Eileen resta un bon moment sans réaction, le gout du sang mariné sur la langue. Elle restait encore écœurée d’elle-même, à cette idée d’avoir pu, rien qu’un court instant, s’intéresser réellement à Kuwabara. Sa vie était-elle résumée à ça, à tomber sur des gens tous aussi pourris les uns que les autres ? À se faire profiter, et profiter ? Triste réalité. |
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Gantzer AKuwabara Kazuo | |
Ven 22 Oct 2010, 18:28 |
| Elle s'était tue, enfin un peu de répit.
S'adonnant à son plaisir, le violeur appréciait de mieux en mieux la situation. Défoulé par ce coup de poing qui avait mis K.O la bavarde, il avait pu décharger par le biais de cet accès de colère toute sa haine. Malheureusement pour elle, Hyde n'était que le bouc-émissaire dans cette histoire. D'habitude dominante et conquérante, la voilà maîtrisée et soumise. Elle n'y était pour rien, bien qu'indirectement elle était à peu de choses près pareille à celle qui avait trompé son agresseur. Cette dernière envahissait d'ailleurs son esprit par moments. C'était ponctuel et extrêmement désagréable. La rancoeur bourgeonnait à nouveau... Se faisant justice de façon peu conventionnelle, Kuwabara prenait au moins son pied avec le trou de sa proie. Il se fichait bien de la bourgeoise, bien que son corps fut été attrayant, il ne le prenait plus en considération dès à présent, focalisé sur son plaisir qui grimpait.
Le corps transpirant collé aux jambes relevées de sa prisonnière, il fermait les yeux, se vidant la tête au maximum, sans quoi sa mémoire tentait de lui jouer des tours, comme pour le dissuader d'arrêter tout ça. En vain. Croire un instant qu'il y avait encore une parcelle bonne en cet être vil était d'une crédulité navrante. Une ridicule utopie.
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InvitéInvité | |
Sam 30 Oct 2010, 20:06 |
| Le temps lui semblait interminable. Depuis combien de temps était-elle coincé dans cette pièce avec son ravisseur ? Peut-être à peine une heure, et pourtant, Eileen était persuadée que des jours entiers avaient coulés. Encore sonnée par le crochet qu’elle avait reçu en pleine face, sa lèvre gonflée et saignante lui pulsait la douleur dans tout le visage. Entendre Kuwabara haleter tout en continuait de prendre son pied commençait à écœurer de plus en plus Eileen. Elle aussi était animée de haine, et ne perdait pas un instant de vue le sabre posé soigneusement au bord de lit. Si elle étirait suffisamment son bras, elle pourrait le saisir. Sa main lui démangeait de sauter sur l’arme, pour l’enfoncer cruellement dans l’abdomen du jeune homme. Mais en vain, l’éternelle question était comment pouvoir le blesser ? Désespérée, Eileen lâcha un long soupire de désarroi, son souffle saccadé par les violentes secousses qu’elle subissait. Elle pouvait hurler, s’égosiller à crier à l’aide. Mais ils étaient bel et bien seuls à cet étage, hormis les monstres (et Eileen doutait fortement qu’ils puissent lui venir en aide). Et de toute manière, qui pourrait bien secourir cette méprisante et arrogante jeune fille ? De plus, l’orgueil de la bourgeoise ne supporterait pas d’être vue dans une telle position de faiblesse. C’était donc indéniable, elle devrait se débrouiller seule, face au fou furieux qui l’avait prit comme cible. Le regard vide, elle fixa le plafond sombre de la chambre. Elle se sentait à présent sans aucun sentiment, vidée de toute émotion. Bien qu’au fond encore bouillonnante, ne réclamant qu’une revanche sanglante, pour la première fois Eileen se sentait désemparée, à court de ressource. Si elle s’amusait encore à faire des commentaires désobligeants, elle savait qu’elle se ferait torturer à petit feu. Mollement, elle se passa une main sur le visage, se dégageant de ses mèches de cheveux égarées. Elle tourna la tête de profil, se sentant de plus en plus faible. « Tu me réveilles quand c’est fini, hein … » Murmura t-elle, d’une voix presque inaudible. Puis elle ferma les yeux, dans l’espoir que le temps passe plus vite. |
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• Dieu Suprême •Gantz. | |
Lun 01 Nov 2010, 13:25 |
| PNJ4 : Kakuzawa Yu. Chirurgien agressé dans son propre service par un ennemi inconnu. 32 ans. Il est cartésien, obstiné et nonchalant. PNJ5 : Shirokawa Elisa. Assistante du docteur Kakuzawa Yu, elle l'a trouvé mort puis a été agressée elle aussi. 27 ans. Elle est discrète, dévouée et sensible. Pour les médecins, il est temps que cela se finisse. Après avoir terrassé le dangereux Martien ressemblant à s'y méprendre au Dr.Shimaki, ils doivent désormais faire face à leur dernier adversaire. Il y a peu encore allongée sur la table, soumise aux opérations effroyables du Martien Doctor qui semblaient lui procurer un plaisir indécent, le Martien Nurse debout pousse un cri vengeur étouffé, morceau de verre dans sa main gantée puis s'avance vers les fauteurs de troubles. Encore sous le choc de la mort répugnante du précédent ennemi, Shirokawa demeure immobile, en larmes. Kakuzawa lui, réalise à temps l'offensive qui se prépare. D'un revers de main il essuie le fluide qui encombre à moitié son visage et pointe le crâne lisse de l'infirmière mutante avec le canon de son arme. Sans hésitation, il tire à deux reprises. Dans sa démarche tordue et démente, l'infirmière se convulse et semble jouir - séquelles de " l'opération " de tout à l'heure sans doute -, un long filet liquide et dilué s'écrasant au sol dans un bruit dégoûtant. Les derniers cris de plaisir gémis, la tête se gonfle et explose, répandant son contenu un peu partout autour. Le corps décapité grossièrement rejoint celui de son semblable au sol sous les yeux des bourreaux affligés. " Quel cauchemar... " murmure le praticien en se redressant lentement. Il finit par baisser son pistolet aux déflagrations paranormales et observe sans comprendre toute cette scène d'épouvante. Vengé ou pas, il comprend qu'il faut exterminer toutes ces choses, à la fois pour le salut de l'hôpital... et le leur. |
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Gantzer AKuwabara Kazuo | |
Lun 01 Nov 2010, 20:47 |
| Bien que la violer lui procurait un certain plaisir, il était amené à diminuer en raison de l'inactivité totale de sa proie. Il lui avait trop souvent demandé de fermer sa gueule et elle trouvait toujours l'audace de l'ouvrir plutôt que de se débattre comme une vraie victime. Cette fille... était vraiment bizarre, et chiante de surcroît. Après quelques derniers coups de rein, il se retira. La toisant du regard derrière ses mèches bouclées, les muscles luisants d'effort, il inspira une grande bouffée d'air et relâcha ses épaules. Las, il finit par détourner les yeux et murmura, cependant assez fort pour que la concernée puisse l'entendre. " Peuh... quel ennui. Je m'attendais à mieux venant d'une pute internationale. " Comme elle, il appréciait la provocation. Même s'il la considérait comme une fille dérangée, elle ne pouvait que le haïr profondément après tout ça et avoir une envie irrépressible de le tuer, le torturer avec autant de haine qu'il l'avait fait. C'était évident, et il attendait ce moment avec impatience... Mais présentement, quoiqu'elle dise, il ne lui laisserait pas l'opportunité. S'emparant de sa Gantz Blade posée négligemment sur le lit, il se mit à découper sans se presser de longues lanières de tissu dans les draps. Son esprit tordu avait d'ors et déjà trouvé un usage on ne peut plus intéressant à ces solides bandelettes. " J'ai fini de jouer avec toi... " déclara-t-il dans l'intention de jeter le doute. Alors que faisait-il ? De plus, n'était-ce pas improbable qu'il s'arrête maintenant, sans avoir conclu ? C'était louche. La réponse survint elle-même lorsqu'il termina sa phrase, un sourire naissant sur ses fines lèvres gourmandes. " ... à ce jeu là, en tout cas. " Sur ces mots inquiétants, il attacha fermement les deux chevilles de Hyde grâce à une liane du drap préalablement déchiré. Ses pieds n'étaient pas collés, il les avait simplement enlacés. Ceci fait, il la tourna brusquement sur le ventre et s'empara de ses bras qu'il leva au dessus de sa tête pour exécuter la même manoeuvre, sauf que cette fois les poignets étaient bloqués l'un contre l'autre. En dépit de toutes protestations ou cris de détresse, il se concentra sur son acte. Il utilisa sa dernière lanière -la plus longue- pour l'accrocher au lien de ses poignets. La tirant par les cheveux vers les coussins, il l'amena en dessous de la grande sangle en métal suspendue qui servait initialement à maintenir en l'air les plâtres des blessés. Faisant passer un bout de la lanière à l'intérieur, il déroula sa longueur qui fit se redresser complètement le corps soumis de sa victime. Il ne restait plus qu'à relier avec le lien qui maintenant ses jambes de catin écartées, ce qu'il fit, au prix d'une douloureuse contorsion pour cette dernière. Désormais suspendue dans la vide, ventre face au lit, pieds et mains liés et bloqués, elle avait le dos extrêmement cambré dans cette position douloureuse digne d'un film de bondage. Kuwabara admira son oeuvre avec délectation, se délectant de la vue de ce corps qui lui appartenait et qui venait de trouver un nouvel intérêt à ses yeux perfides, pour assouvir ses pulsions les plus viles et les plus basses. " Ben voilà... c'est mieux... hurle un peu comme une truie si tes poumons de suceuse te le permettent... fu fu... " Il lui administra une vive claque sur la joue. |
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InvitéInvité | |
Mar 02 Nov 2010, 11:29 |
| Visiblement, la lassitude et l'inactivité d'Eileen portèrent ses fruits : Kuwabara afficha une mine contrariée bien que toujours méprisante envers elle. Lorsqu'il se plaint, la demoiselle ouvrit un œil, le fixant d'un regard septique. Immédiatement, elle rétorqua sur le même ton qu'il avait employé. « Ha, je me fais vraiment trop chier. Pour un mec qui bourre tout ce qui a un trou, j'en attendais beaucoup plus. » Alors qu'il avait retiré son dard brutal du corps de la jeune fille -ce qui au fond la soulagea beaucoup, il s'empara fermement de son arme. Une poussée de sueurs froide glaça le dos d'Eileen. Elle redoutait qu'il l'ampute ou la mutile d'avantage. Au contrario de ses craintes, le violeur préféra soudainement faire du drap du lit une multitudes de bandelettes. La bourgeoise afficha un sourire narquois ; était-il tellement déçu qu'il s'adonnerait au tricot pour passer le temps ? Kuwabara lui annonça subitement qu'il en avait finit. Pas le moindre signe de réjouissance ne s'inscrivait sur le visage d'Eileen. Il bluffait, c'était certain. Il ne s'était vidé qu'une fois, et la demoiselle était persuadée qu'il ne la laisserait pas tranquille tant qu'il ne l'aurait pas bourrée dans tous les trous et positions possibles. Et elle vit juste ; à peine eut-il annoncé qu'une nouvelle manche débutait, qu'il se mit à fermement ligoter les chevilles de sa proie. Prise au dépourvue, Eileen n'eut même pas le temps de se débattre. Sans attendre plus, Kuwabara s'occupa difficilement de ses poignets : la victime se débattit férocement, vociférant des insultes diverses et variées au nez de son ravisseur. Mais cela n'arrêta en rien la pratique tordue à laquelle s'adonnait le jeune homme. La demoiselle finit accrochée, les poignets et chevilles reliés, à une barre métallique au but initial purement médical. Elle avait l'impression d'être un gros saucisson pendu chez le boucher. Animée d'incrédulité et d'aversion envers cette pratique complètement absurde et grossière, elle se mit à s'énerver. « Putain ! Mais c'est plus une case qu'il te manque là, mais la moitié de ton fukin' brain ! » La position dans laquelle était pendue cambrait péniblement son dos. Il était vrai qu'Eileen était dotée d'une grande souplesse, mais elle n'était pas non plus faite de caoutchouc. Son corps semblait s'offrir volontairement à Kuwabara ; ses seins opulents s'écartèrent dans cette position, comme pour l'inciter à venir y prendre du plaisir. La demoiselle ignorait combien de temps elle pourrait tenir dans cette contorsion ; la sadisme du violeur ne lui laisserait pas de répit, car comme depuis le début, il lui fera quitter cette torture pour en retrouver une autre. Pour finir, il la défia de nouveau en se permettant de la gifler. La réaction immédiate de la demoiselle fut de lui cracher un amas de salive au visage. Le regard brulant, elle rétorqua. « Ah oui, c'est vrai, t'es incapable de bander si je ne hurle pas, ou que je ne me débat pas ? Pitoyable. » |
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Gantzer AKuwabara Kazuo | |
Mar 02 Nov 2010, 15:47 |
| De nouveau entré dans un état second, l'envie de tuer était ancrée en sa personne. Un désir irrésistible d'écorcher vive cette femme, cette chose... Son regard noir ne vacillait pas. Essuyant le crachas sur sa joue avec sa main droite, il se redressa pour admirer un instant le corps appétissant de sa proie. De la vilaine plaie à sa cuisse dégoulinait des filets de sang... Amusé, en avançant tout doucement sur le côté, comme un client devant un étalage bien fourni, il distribua en passant une pichenette sur la blessure. Cela devait être affreusement douloureux, les muscles de sa cuisse ainsi tendus alors qu'ils étaient meurtris... En arrivant au niveau du bassin d'Eileen, il remarqua des tâches de sang, cette fois plus brun. Intrigué, il la contourna et arriva au bord du lit, s'offrant une vue sur le vagin dilaté de sa victime qui laissait perler ledit liquide. Un coup d'oeil sur son sexe dressé, légèrement rouge, lui confirma la récente perte de virginité de l'anglo-saxonne. Il se mit à rire, la paume de sa main libre sur son front. " Ha ha ha ha... Ca, ça fait vraiment pitié. " déclara-t-il en pointant du doigt son intimité elle aussi meurtrie. Quelques pas lui suffirent à atteindre l'autre côté du lit. Désormais à la droite de son esclave, il regarda ses bras levés et bloqués par sa structure de tissu. Kuwabara avait faim. Sa langue s'approcha de sa peau et la lécha pour la goûter, tandis qu'entre ses doigts il faisait tournoyer son arme. De temps en temps, les reflets nocturnes glacés se reflétaient sur le tranchant de l'arme et éclairaient une fraction de seconde le visage d'Eileen, dévoilant en fait une véritable peur sous ce masque de marbre. Levant son bras armé au niveau du biceps droit de sa victime saucissonnée, il apposa le fil de la lame contre sa chair. Doucement, il la fit descendre, exerçant une pression suffisante sur la peau pour la trancher. Jubilant dans le silence, le violeur se pencha à l'oreille de sa charmante partenaire pour la provoquer une fois de plus. " Je suis incapable de bander avec un corps comme le tien, c'est vrai. T'inquiètes, ma belle, je vais arranger ça... " et il s'empressa de lui mordre le lobe jusqu'au sang, puis se retira. Le filet qui perlait le long de son menton fut méticuleusement récolté. Pas de gaspillage. Levant encore une fois la Gantz Blade en direction du membre déjà entaillé, il visa cette fois l'avant-bras. La boucherie commençait, dans la joie et la bonne humeur. |
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InvitéInvité | |
Mar 02 Nov 2010, 18:44 |
| Eileen pensait qu'elle parviendrait peut-être à refroidir son ravisseur avec son audace et son humour inapproprié à la situation. Hélas, il était bien naïf de sa part de croire qu'on pouvait arriver à bout d'un tel personnage avec une technique si futile. L'avoir défié de la sorte et le provoquer d'avantage mettait Kuwabara dans une colère noire, à deux doigts de stranguler violemment la demoiselle. Mais au lieu de se jeter avidement sur elle, il s'amusa une énième fois sur sa blessure à la cuisse, et railla encore une fois Eileen sur sa nouvelle virginité. Mais il n'avait plus envie d'être aussi gentil que précédemment à présent. Sans vergogne, il entailla le bras d'Eileen, lui jurant qu'il embellirait son corps de la sorte. Dans un cris de haine et de douleur, la demoiselle sentit le désagréable fluide brulant dévaler ses côtes. Kuwabara s'amusait à la meurtrir au lobe d'oreille, ainsi qu'une nouvelle fois à son bras. Le corps secoué de spasme de douleur, Eileen finit par capituler. « Arrête putain, arrête ! S'il te plait, arrête, merde ! » Comme objectif initial, Eileen ne devait en aucun cas le supplier. Mais c'était trop tard, elle savait très bien qu'il la tuerait avant la fin de cette dite mission. Elle vivait ses derniers instant, et finalement aurait préféré se battre contre d'ignobles monstres, moins ignobles que son agresseur. Quelle carte jouer, quel discours et attitude adopter pour se tirer de là ? La bourgeoise se sentait dans une impasse. Elle avait un chasseur de trop haut niveau devant elle, c'était certain. Un homme beaucoup trop taré, beaucoup trop atteint pour qu'elle puisse se jouer de lui. Sa première mort était relativement pitoyable. Mais la seconde allait dépasser l'imaginable. Ainsi, Eileen était tombé aussi bas ? Elle avait eu une opportunité en or, et elle l'avait bêtement gâchée par envie lubrique, par soif de conquêtes ? De toute manière, personne ne l'attendait. Personne ne la regretterait, elle ne manquerait à personne. Alors à quoi bon tenter de survivre, si ce n'était que pour elle, et continuer cette vie si superficielle et solitaire ? Kuwabara allait s'amuser à la mettre en pièce, détruisant le seul atout qu'Eileen avait : son corps, souvent dit tombé du ciel pour ses proportions utopiques. Et survivre en tant que femme-tronc, non, la bourgeoise préférait de loin la mort. Elle poussa un faible soupire d'angoisse, secoué d'un souffle saccadé, traduisant un désarroi et une envie d'en finir vite, et pour de bon. |
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Gantzer AKuwabara Kazuo | |
Mar 02 Nov 2010, 19:01 |
| Enfin, il était arrivé à provoquer la situation idéale, le résultat voulu. Sa jubilation croissait. Elle l'implorait, le suppliait. Elle avait lâché prise. " Tu craques, ma belle salope ? " cracha-t-il à son oreille croquée alors qu'il entaillait son coude. De nouveau droit, maintenant une posture dominante, il savait exactement comment amener la suite. Plutôt que de continuer à la charcuter, il la caressa. Les doigts gantés de sa main libre glissèrent le long de son dos courbé et transpirant alors que la pointe de sa lame écartait minutieusement les cheveux cachant son visage. Elle transpirait de peur, incapable de cacher sa tourmente plus longtemps. Il fut parcouru d'un frisson d'extase. " Si tu veux que j'arrête, il va falloir me dire des choses gentilles... tu as été si méchante avec moi. " Il avait intentionnellement adoptée une voix boudeuse, comique, alors qu'il lui imposait une nouvelle torture, psychologique cette fois. Il allait véritablement la détruire, sans une once de pitié. Pour la soumettre d'avantage, et l'effrayer d'autant plus, il commença à faire glisser le long de son ventre le fil du Katana, comme s'il rasait cette chair ferme de près. Si elle s'agitait trop ou le contrariait encore une fois, elle se viderait lentement, dans une souffrance intenable, contrainte à regarder ses organes pendre alors qu'elle se ferait souiller... jusqu'à la mort. |
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InvitéInvité | |
Mar 02 Nov 2010, 19:26 |
| Comme elle le redoutait, sa capitulation fit jouir immédiatement Kuwabara. Entre cette lutte acharnée de dominant, savoir qu'il remportait la bataille était bien trop bon. Eileen se sentait terriblement humiliée d'avouer sa défaite ; son ravisseur en était bien conscient, et s'amusa de bon cœur à l'enfoncer un peu plus, ainsi que son arme dans son coude. Haletante, elle sentit la lame glacée effleurer ses joues, frôler son front pour dégager son visage à la fois haineux mais épuisé. Bien qu'elle était toujours emplie d'envie de vengeance et de violence, elle était bien trop faible, et ne faisait pas le poids face à son agresseur. Ce dernier se délecta de pouvoir enfin admirer la frayeur qui courbait les traits du visage d'Eileen. Il continua de se faire plaisir, en insistant sur le fait que la demoiselle devrait se faire pardonner. Un haut le cœur saisit la demoiselle, jouer la pauvre soumise ou quoi qu'autre idée dans se genre la révulsait plus que d'avaler des excréments humains. Son souffle tremblant, elle n'eut pas le temps d'hésiter d'avantage, quand elle sentit la lame galoper sur son ventre. Immobile, elle retint son souffle pour essayer de la toucher le moins possible. « D-D'accord ... Je ... Je te demande pardon. » Finit-elle par lâcher, d'une voix couverte de honte. Eileen commençait à regretter sa démarche, mais c'était trop tard puis, elle ne voulait vraiment pas mourir en petits morceaux. |
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Gantzer AKuwabara Kazuo | |
Mar 02 Nov 2010, 20:53 |
| Elle acceptait sa demande, ce qui était prévisible, mais n'accéda pas immédiatement à sa requête... Non, à son ordre. Il se fichait bien des excuses, même si elles étaient agréables à entendre, il désirait des compliments, des louanges, des éloges... L'humiliation pour cette catin. Kuwabara ne s'arrêta pas faire jouer sa lame avec le ventre de sa victime, employant de nouveau un ton plaintif pour s'exprimer. Il se moquait d'elle, de son arrogance, de son orgueil. " Allez, lance-toi... Pour cracher tes "fuckin" insultes, tu as de quoi gueuler mais dès qu'il faut se montrer douce... tu ne sais pas y faire, hein ? " Pour rendre cette situation réellement insupportable, il usait lui-même de la douceur. Une tendresse hypocrite, dans cette gestuelle destinée à être bienveillante, constituée de caresses dociles. Présentement, il cavaler sur ses épaules avec ses doigts, descendaient le long de ses hanches, sur ses cuisses... mais ne s'approchait jamais de son intimité, étrangement. Cet élan de mansuétude cessa. Comme pour la presser, il entailla la peau de son bras ensanglanté, juste au niveau des triceps, puis fit descendre la lame jusqu'à l'aisselle pour l'entailler également. La contorsion du corps devait écarter d'avantage les plais fraîchement ouvertes dans la peau, les rendant d'autant plus affligeantes. Il finit par la menacer en soupesant avec l'acier froid, cruel et tâché de sang sa somptueuse poitrine, faisant rebondir ses seins opulents... " J'attends... Je suis encore tout triste, tu sais. " |
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InvitéInvité | |
Mar 02 Nov 2010, 21:09 |
| Pensant que la tension était redescendue d'un cran, Eileen avait tout faux. Hésitante à se lancer dans une complainte flatteuse pour le ravisseur, celui-ci n'était pas d'humeur à attendre d'avantage. Il se montra ferme, comme il l'avait été depuis le début. Et sans doute par plaisir, il décida d'entailler un peu plus le bras déjà meurtrit, dont la douleur devenait insupportable pour la demoiselle. Elle lâcha une nouvelle série de cris de douleurs et d'angoisse, sa chair à vif lui démangeait désagréablement. Soudainement, elle redoutait de finir comme le draps : en lambeaux. Elle se précipita, bredouillant des mots incompréhensibles, puis finit par articuler. « P-Pardon, je suis désolé d'avoir été méchante, je n... Je ne le pensais pas, t-tu baises vraiment bien, et bien trop pour moi et... » Les yeux rivés au sol, elle ravala péniblement toute sa honte et son envie de pleurer. « Tu n'es pas du tout taré, c'est ... C'est plutôt moi qui le suis... » Paniquant de se faire recaler et trancher encore un peu plus, elle serra les dents, comme dans l'espoir que l'inspiration viendrait plus vite. La douleur que son bras lui lançait la déconcentrait fortement. Mais elle n'avait pas le temps de faire une pause, son dos tordu commençait à lui aussi faire des siennes. Le souffle court, elle enchaina. « C'est juste moi qui suis inférieure à toi. » Tout son corps mutilés lui faisait horriblement mal, tellement qu'elle pensait déjà ses séquelles innombrables. Bien qu'elle ne pensait pas un seul mot de ce qu'elle disait, Eileen essaye de parler le plus doucement possible, redoutant de contrarier une nouvelle fois Kuwabara qui lui ferait payer le prix fort. |
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Gantzer AKuwabara Kazuo | |
Mar 02 Nov 2010, 21:46 |
| Eileen parla, tentant de ravir son tortionnaire du mieux qu'elle le pouvait. Celui-ci restait immobile, cessant toute activité sur le moment afin de profiter au maximum des paroles amères de sa proie. Quoi de mieux que d'entendre cette catin se rabaisser ? Elle acceptait enfin sa condition déplorable, l'insignifiance de sa petite personne répugnante. Kuwabara en était euphorique. D'abord, un sourire naquit, puis se transforma en rictus. D'excitation, son sexe tremblait alors que ses yeux lubriques décrivaient attentivement ce corps emprisonné et frémissant d'angoisse. Son regard de prédateur s'aiguisa. Il s'efforça malgré tout de conserver ce timbre de voix ironique et méprisant. " Oh... vraiment ? Vraiment ? " Elle réfutait avec difficulté tout ce qu'elle lui avait craché au visage. Quel exercice détestable cela devait être, après tout ce qu'il lui avait infligé... Le pire étant d'imaginer que ce n'était que le début. Est-ce que ce cauchemar aurait seulement une fin ? " C'est bien que tu reconnaisses ton infériorité mais... c'est tout ? " rétorqua-t-il en riant. Il fit quelques pas autour du lit pour se retrouver derrière elle, son ombre menaçante la couvrant totalement. En sifflotant de façon à peine audible, comparable à la sonnette du serpent, il fit glisser l'acier sur les fesses d'EIleen et d'un mouvement sec du poignet, il accompagna son arme qui vint claquer la chair, non pas avec le tranchant, mais avec le plat. A proximité des liens, il pouvait les entendre se tordre sous le poids de la prisonnière. Ces morceaux de tissu étaient assez solides pour la supporter elle, cependant serait-elle capable d'endurer ces entraves ? Des rougeurs commençaient à apparaître sur les chevilles férocement attachées... chaque mouvement, chaque protestation irritait et tirait un peu plus sa peau de pêche. Quel dommage qu'il faille l'abîmer pour en arriver là ! Kuwabara s'en désolait vraiment, à moitié. Il préférait l'entendre geindre et ravaler sa fierté pitoyable. " Franchement, j'avais raison. Tu n'es bonne qu'à insulter, et encore... " Sans crier gare, il entailla légèrement sa cuisse, d'un geste vif et précis, avec la pointe de la Gantz Blade. |
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InvitéInvité | |
Mer 03 Nov 2010, 11:46 |
| Alors qu'elle commençait à s'essouffler et à perdre de l'inspiration, Eileen était écœurée de voir Kuwabara se réjouir faussement. Cependant, ça ne lui suffisait, comme toujours. Il en demandait plus, poussait sa victime encore plus loin dans le rabaissement, l'humiliation et la torture morale. Cette dernière tentait de paraitre insensible à ces railleries, mais en vain, il était vrai qu'elle en prenait un très sérieux coup à son orgueil. Son corps allait atteindre ses limites, la douleur était bien trop grande. Les lanières qui violaçaient ses poignets et chevilles semblaient eux aussi trancher un peu plus la chair à chaque instant. Le menaçant Kuwabara se déplaça à pas de velours derrière elle, la couvrant bravement de sa supériorité. Bouillonnante, Eileen avait la désagréable envie de lui sauter au cou pour l'étrangler. Cette cuisante défaite était inadmissible pour la bourgeoise. Pour la provoquer un peu plus, Kuwabara claqua le fessier d'Eileen avec le plat de sa lame. Dans un sursaut de frayeur, la demoiselle avala un litre de salive et se mit à enchainer très vite, mais pas assez pour éviter une énième taillade à sa cuisse. Dans un gémissement de douleur, elle reprit ses esprits et enchaina. « Je regrette tout ce que j'ai pu te dire, je ... Je te ... » Ce mot, si difficile à sortir, lui écorchait la gorge. Mais elle pensait que ça serait le seul moyen de s'en sortir. « Je ne me révolterais plus et ne te ferais plus ... Plus de mal, parce-parce que je ... » Elle sentait sa gorge se nouer rien qu'à l'idée d'admettre cette humiliation suprême. Mais elle voulait juste en finir. « Je te suis soumise. Alors arrête de me mutiler, s'il te plait ... » Finit-elle par péniblement lâcher. Elle ferma les yeux, pour s'éviter de voir l'euphorie s'emparer de Kuwabara, et espérait que ça abrègerait au moins cette boucherie. |
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• Dieu Suprême •Gantz. | |
Mer 03 Nov 2010, 17:40 |
| PNJ4 : Kakuzawa Yu. Chirurgien agressé dans son propre service par un ennemi inconnu. 32 ans. Il est cartésien, obstiné et nonchalant. PNJ5 : Shirokawa Elisa. Assistante du docteur Kakuzawa Yu, elle l'a trouvé mort puis a été agressée elle aussi. 27 ans. Elle est discrète, dévouée et sensible. Aussitôt débarrassés d'un problème, les médecins se voient concernés par un autre. En effet, des cris intenses mais éloignés parviennent jusqu'à eux, toujours de la même pièce qu'ils avaient manqué de visiter. Tournés en direction de la porte de la chambre, désormais plus éloignée, ils tendent l'oreille, aux aguets. Avant même que l'un d'eux n'entreprenne de s'avancer, un grincement se fait distinctement entendre à quelques mètres derrière. Ils se retournent immédiatement, appréhendant l'arrivée d'une nouvelle créature infernale. La luminosité idéale leur offre à nouveau le spectacle effroyable d'un Martien Nurse en mouvement. D'abord seul, il est rapidement rejoint par des créatures quasiment identiques, venant tous d'un même endroit. " C'est pas vrai ! C'est une fourmilière ! " Kakuzawa n'est plus en proie à la crainte ou la stupéfaction, il n'est que colère et agacement. D'un bond, il s'avance vers les aliens... mais son pied glisse maladroitement sur la "mouille" laissée au sol par la dernière cible abattue. Entraîné violemment vers l'arrière, le docteur glisse, pousse un cri de surprise et tombe lourdement. Sa tête et son dos heurtent douloureusement le sol. Shirokawa l'appelle avec inquiétude, le rejoignant promptement et vérifiant instinctivement qu'il n'est pas blessé. " Bordel de merde... " grogne-t-il, se redressant avec l'aide de son assistante. " Do... Docteur ! " Cette fois, elle ne l'appelle pas, elle désigne en fait le groupe d'ennemis qui se tient là-bas, armé. A une quinzaine de mètres, quatre infirmières mutantes se tiennent là, presque immobiles, simplement animées de spasmes irréguliers. Arrêtées comme si elles se fascinaient par la lumière extérieure, elles semblent inoffensives pour le moment. Une fois debout, Kakuzawa n'hésite pas, il se rapproche suffisamment pour être sûr de ne pas les rater, espérant qu'elles ne se jetteraient pas sur lui en courant... Il déteste ce genre de choses qui ont le don de le prendre au dépourvu. Justement, il aurait dû rester à sa place. Ce fut le fond de sa pensée lorsqu'un second grincement se manifesta, derrière eux. Des bruits de pas succèdent au grincement, et quand ils se retournent en même temps, les chirurgiens découvrent non sans inquiétude de nouveaux Martiens Nurse. Kakuzawa demeure bouche-bée, soudainement inquiet de leur sort. " Putain, putain. " C'est tout ce qu'il parvient à marmonner, ne sachant plus ou donner de la tête. Ils étaient cernés. |
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Gantzer AKuwabara Kazuo | |
Sam 06 Nov 2010, 17:12 |
| Au coeur des ténèbres, le regard de Kuwabara étincelait et renvoyait toute sa démence qui faisait fuir jusqu'à la lumière.
L'espoir aussi était parti, définitivement, abandonnant Eileen à son triste sort, lâchant délibérément sa main pour la laisser entre celles du monstre qui se tenait derrière. Les derniers mots de sa proie avaient provoqué chez le prédateur obscène une extase démesurée, qui s'apparentait à un soulagement intense, comparable à l'action de s'asseoir après trois heures de marche. Tout son corps avait été parcouru de violents frissons proches de l'orgasme... En vérité, ils n'avaient fait qu'aiguiser son appétit déjà vorace.
Sans mot-dire, le violeur bondit sur le lit, se retrouvant véritablement au corps à corps avec son met. Son membre durci et lubrifié à l'extrême frottait à nouveau impatiemment contre celui de la pauvre métisse complètement soumise et impuissante. Car il se penchait au dessus d'elle, épée toujours en mains, son sexe embrassait furieusement le sien, non sans envie. Le souffle de plus en plus rapide, fouettant même l'épaule de la femme rendue objet, il s'aventurait. Dans sa gestuelle même, quoique difficilement perceptible pour Hyde, le désir était lisible. Et menaçant. Toujours. Bien tôt, l'acier froid fut de retour, peut-être moins glaçant que la respiration de son manieur. D'abord, le plat métallique se frottait à la chair vierge, puis monta. Il gravissait les courbes et atteignit la nuque, s'ouvrant un passage au travers de cette chevelure en pagaille et dégageant une forte odeur de transpiration. Il l'aéra, faisant délicatement onduler quelques mèches qui parfois se coupaient maladroitement en se risquant trop près du fil encore teinté de sang. La lame apparut alors sous la gorge, puis devant les yeux de la victime immobilisée, qui pouvait se distinguer au travers du reflet sombre.
Pas un mot ne sortit de la bouche de Kuwabara, alors que son pénis redoublait d'initiative et que sa main libre s'était posée sur les hanches tordues de sa prisonnière.
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InvitéInvité | |
Sam 06 Nov 2010, 17:40 |
| Pensant calmer les ardeurs tortionnaires de son ravisseur, Eileen fit totalement le contraire. Elle raviva la flamme bestiale qui l’animait. À présent, il était définitivement sourd à la raison, la morale ou même l’humanité. À croire qu’il l’avait toujours été. Kuwabara bondit sur elle, alléché de voir sa victime si parfaite ; terrorisée, soumise, et ayant admis sa défaite indéniable. Elle pensant qu'à présent, tout le reste ne se résumerait qu’à un « banal » viol. Hélas, elle avait faux sur toute la ligne, une fois de plus. L’acier glacé commençait à explorer un peu plus son corps, semblant lui aussi se délecter de ses courbes. Il termina ses escapades gourmandes pour aller se placer, menaçant, sur la gorge de la demoiselle. Celle-ci laissa échapper un soupir angoissé. Visiblement, elle était destinée à se faire duper éternellement avec ce chasseur là. Son vulgaire sexe manifestait par des frictions lubrifiées son envie incessante de venir prendre un plaisir solitaire dans l’intimité de sa victime.
Son corps se recouvrait peu à peu de son sang brûlant, qui ne cessait de lui rappeler les cruelles mutilations qu'elle avait subit. La lame tranchante sur sa glotte lui transmit qu’il y en aurait encore d’autre. Sa peau lui brûlait, elle semblait se détacher de son corps, sous cette douleur complètement insupportable. Eileen ne disait plus rien, le regard dans le vide, fixant sans émotion le matelas goutté de cette couleur de mort. Quand serait-elle achevée ? Elle avait presque hâte. Sentir son ravisseur la toucher, serrer ses courbes, caresser sa peau, donnait juste envie à Eileen de sauter par la première fenêtre qu’elle trouverait. S’être faite piégée de la sorte la remettait sérieusement en question. Où allait-elle dans cette voie là ? Nul part. De toute manière, où qu’elle irait, ça serait un « nul part ». Elle n’avait pas de chemin, pas de destin, par de rêve ou ambition. Elle n’était qu’une prostituée pour tous, une femme de luxure pour certain, et une sale trainée pour d’autre. Et elle aimait terriblement ça.
Dernière édition par Eileen C. Hyde le Sam 06 Nov 2010, 18:28, édité 1 fois |
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Gantzer AKuwabara Kazuo | |
Sam 06 Nov 2010, 18:07 |
| D'un coup sec, il rentra.
Le mouvement de hanches avait été si fort et violent qu'il avait fait se redresser un peu plus le corps courbé de son jouet, qui fut coupée au menton par l'acier comminatoire. Son membre avait cogné au fond, entouré de chaleur et de chair serrée et humide. Ce trou était parfait pour lui à l'instant présent. Dans un râle galvanisé il se pencha, collant son corps à bouillant celui de sa victime. Il était électrifié.
Kuwabara se mordit la lèvre, ses doigts pressurant la fesse sans ménagement. Il se servit de cet appui pour ses prochains coups de rein, usant de sa force décuplée par l'installation de fortune qui soumettait Eileen à ses désirs les plus vils, accentuant par ce biais chaque vas et viens qui lui donnaient un plaisir intense et réel. Malgré sa brutalité, il prenait son temps. Ses pénétrations étaient lentes mais complètes, comblant entièrement le moindre espace disponible qui lui était attribué à l'intérieur. Vivant pleinement toutes sortes de sensations, il ravalait des grognements bestiaux, le plaisir lui piquant l'échine à intervalles régulières.
D'un point de vue extérieur, il passait par une phase "saine", car il ne pensait plus à torturer sa proie. Il n'y pensait même plus du tout, absolument concentré sur une seule et même chose. Enivré, emporté dans une spirale de bonheur, il ne prévoyait pas de s'arrêter avant un moment, moment qui durerait une éternité pour sa malheureusement victime, sans nul doute.
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InvitéInvité | |
Dim 07 Nov 2010, 12:30 |
| Sans doute trop impatient de prendre son pied, Kuwabara pénétra sa victime attachée sans retenue. Dans un sursaut de douleur incontrôlé, la lame menaçant vint entailler un peu plus la peau d’Eileen à son menton cette fois-ci. La demoiselle d’abord désespérée qu’il la torture de plus belle, ne remarqua plus aucune attaque par la suite. Aurait-ce été un simple « accident » ? Son corps plié en deux subissait les désagréables pénétrations étrangement lentes de l’agresseur. Celui-ci semblait vouloir longuement profiter de son met, tout en malaxant fermement la chair sur sa fesse. Il laissa échapper des onomatopées de plaisir, traduisant qu’il ne s’arrêterait pas avant longtemps. La nouvelle coupure d’Eileen la démangeait fortement, et lui brûlait la chair en même temps. La bouche pincée, elle se demandait combien de temps allait-elle rester ligotée de la sorte. La douleur croissait, et il y aurait forcément un moment proche ou lointain, où elle ne pourrait plus supporter cette torture. Pour essayer de faire « passer le temps » et s’empêcher de se faire envahir une nouvelle fois par la haine, Eileen scruta la pièce du regard. Elle avait du mal à pouvoir identifier la barricade de meubles devant la porte. Entre deux coups de reins impulsifs, elle essaya d’élaborer un plan qui lui permettrait de s’échapper rapidement. Une lueur d’espoir ? Très rapidement éteinte, quand elle se rappela l’étreinte dans laquelle elle était piégée. * Bordel, je vais finir par perdre mes mains ! * Se dit elle, alarmée. Les liens pressaient sa peau violacée, glaçant ses mains et ses pieds, privés de toute circulation sanguine. Discrètement, Eileen tenta de tirer sur ses bras, les ramenant vers elle, comme dans l’espoir de faire céder les lanières de tissus. Hélas, elle ne subit qu’une pression encore plus forte, sans entendre le moindre bruit de déchirement des bandelettes. Dans un gémissement étouffé de douleur, elle essaya de jeter un vif coup d’œil à Kuwabara dans son dos. Il était complètement adonné au plaisir qu’elle lui procurait, presque ignorant de tout ce qui l’entourait. * Il a vraiment un tête de poney quand il baise. Guy, you make me earl … * Se moqua t-elle intérieurement. Néanmoins, la lame saillante était toujours devant elle, prête à l’égorger si l’occasion se présentait. Immobile, Eileen resta à subir, sans même oser respirer trop fort. On est jamais trop prudent, n’est-ce pas. |
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Gantzer AKuwabara Kazuo | |
Dim 07 Nov 2010, 12:49 |
| Il avait désormais accéléré, augmentation de vitesse qui accrut sa luxure et son avidité. Il en voulait encore plus.
Son regard devenu presque indolent s'était figé sur l'épaule gauche de ce morceau de viande. Il bougeait, suintait, il avait une odeur. Son estomac était appelé, l'eau lui monta à la bouche. La colère et la gourmandise. Ses râles devinrent muets alors qu'une envie sanguinaire s'empara de lui. D'un bond, il mordit la chair convoitée, ses canines pénétrant la peau et dégustant le nectar qui en découlait.
Kuwabara se redressa les lèvres empourprées du liquide de vie, poussant un nouveau soupir de soulagement qui s'étira. Il décida soudain d'abandonner la dégustation du corps humain, coinçant entre ses dents colorées le manche de son arme qu'il avait ôté de la gorge profonde d'Eileen. Il quitta aussi ses fesses pour se consacrer à des formes plus attirantes et délaissées. Ses doigts gantés caressèrent ses côtes en se déplaçant jusqu'à atteindre cette poitrine opulente. A pleines mains, il s'en empara.
Obligée de se redresser un peu plus, également à cause des coups de hanches toujours aussi violents, Eileen se faisait désormais peloter sans retenues. Son agresseur jouait avec ses seins, appréciant leur texture douce, moelleuse et ferme à la fois. Il les pressait, les malaxait, pinçait ou caressait les tétons. Son rythme de pénétration était normal et régulier en parallèle, et son souffle s'était calmé. On entendait plus que les claquements de chair qui caractérisaient l'acte, ceux provoqués par le choc des fesses rebondies contre le bassin musclé.
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InvitéInvité | |
Dim 07 Nov 2010, 13:07 |
| Les doux vas et viens ne durèrent pas longtemps : Kuwabara était sur la pente du désir, et en voulait encore plus, toujours plus. Alléché visiblement, il pénétra plus rapidement sa victime, elle toujours secouée par ses impulsions bestiales. Les liens à ses poignets et ses chevilles se resserraient un peu plus à chaque instant. Une grimace de douleur déformait le visage angélique d’Eileen. Et sans crier gare, le violeur s’élança pour mordre férocement l’épaule de son gibier. Il la croqua littéralement, se délectant du sang chaud jaillissant des petits trous causés par ses canines aiguisées. Immédiatement, la demoiselle lâcha un cri de douleur. « A-Aaaarrête ! Ça fait super mal ! » S’exclama t-elle. Elle se tu subitement, comme effrayée d’avoir pu contrarier son agresseur en se plaignant. À sa plus grande surprise, il ôta l’épée de Damoclès prête à trancher sa gorge. À la place, ses deux mains gourmandes caressèrent le corps de la bourgeoise, et vinrent se placer sur la poitrine généreuse, en profitant pleinement. C’était au moins plus agréable que le sabre tranchant. De plus les pratiques auxquelles il s’attelait n’étaient pas désagréables. Peu à peu que Kuwabara continuait de prendre son pied en accélérant, Eileen commençait à ressentir des brides de plaisir. Son intimité était plutôt lubrifiée, mais pas assez pour la trahir. Comble de l’histoire, allait-elle elle aussi avoir du plaisir ? Cependant, la contorsion dans laquelle elle était ficelée l’interdisait strictement de toute source de plaisir possible. Si seulement elle pouvait être détachée, si seulement. |
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Gantzer AKuwabara Kazuo | |
Dim 07 Nov 2010, 13:40 |
| Ses mains poursuivaient leur plaisant travail, étreignant dans tous les sens et par tous les moyens les généreuses formes que la métisse avait.
Chaque coup distribué redoublait d'intensité. Frénétiquement ses testicules gonflées claquaient sur son clitoris. Aussi bien dans son membre que dans son être tout entier, Kuwabara sentait l'allégresse grimper, à l'instar d'un thermomètre qui affichait une température croissante jusqu'à atteindre une fièvre critique. S'il n'atteindrait pas le point de non-retour une seconde fois avant un moment, il ne pouvait contenir les vagues et frissons incessants quoique mineurs qui le traversaient.
C'est involontairement que des images défilèrent dans son esprit, réminiscences du passé. Inutile de mentionner qui était représenté et quelles scènes, tout était assez équivoque. Il s'abandonnait complètement au plaisir, alors pourquoi ce genre de souvenirs l'attaquaient ? Il ne comprenait pas mais comme si ça avait été un message subliminal, il ne changea ni d'attitude ni de rythme, bien que son cerveau ait pris connaissance de ce qu'il avait généré.
Au bout d'un certain moment, Kuwabara qui atteignait une vitesse ahurissante faisant crisser le lit entier, se déchaîna. D'une main, il s'empara de sa lame et réduisit sa taille significativement. Ce n'était plus qu'un couteau de cuisine, extrêmement tranchant. Avec rage, il commença à entailler dans tous les sens le dos si parfait de sa victime, des petites entailles courtes et peu profondes mais répétées, qui se croisaient, s'enchevêtraient, se répétaient, jusqu'à ce que son dos courbé ne se recouvre de sang.
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